Voila un facteur inattendu, qui a un impact sur ta production énergétique.nemo a écrit :Je me souviens très bien de tout cela, justement. Tu donnes de l'eau à mon moulin.

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Voila un facteur inattendu, qui a un impact sur ta production énergétique.nemo a écrit :Je me souviens très bien de tout cela, justement. Tu donnes de l'eau à mon moulin.
phyvette a écrit :Voila un facteur inattendu, qui a un impact sur ta production énergétique.nemo a écrit :Je me souviens très bien de tout cela, justement. Tu donnes de l'eau à mon moulin.
hé oui les abiotiques c'est pas automatiqueenergy_isere a écrit :Production de pétrole: la Russie risque de perdre son leadership
"Les ressources qui sont exploitées depuis longtemps sont pratiquement épuisées.
http://www.usinenouvelle.com/article/st ... ie.N181014Statoil et Rosneft forment une alliance en Russie
30 Aot 2012 Usine Nouvelle
Cette opération intervient au moment où le projet gazier Chtokman semble avoir du plomb dans l’aile.
Le projet d’alliance avait été annoncé en mai dernier. Il prévoit la prospection conjointe d’un gisement dans l’Arctique, dans les eaux russes de la mer de Barents, et de trois autres en mer d'Okhotsk dans l'Extrême-Orient.
Le groupe russe devrait détenir 66,7% des actifs et Statoil les 33,3% restants. Le norvégien doit prendre à sa charge l’intégralité des coûts de prospection. Au total, six forages exploratoires sont prévus entre 2016 et 2021.
Pour le groupe russe c’est la troisième alliance conclue ces derniers mois après celles passées avec l’américain ExxonMobil et l’italien Eni.
Pour le norvégien, ce rapprochement est l’occasion de prendre pied en Russie, pays où le vaste projet gazier Chtokman dans lequel il est impliqué semble prendre l'eau.
Cette annonce fait suite à celle de Gazprom le 29 août, qui signifiait le énième report d’une décision de lancement du projet Chtokman. Faute d'un accord à la date-limite du 30 juin, Statoil a déjà restitué sa part de 24% dans Shtokman Development. C’est cette entreprise qui doit développer ce gisement dont les réserves sont estimées à 3 800 milliards de mètres cubes mais difficile à exploiter en raison de son éloignement et de son environnement arctique.
Le tour de table initial comprenait aussi Gazprom (51%) et le français Total (25%) qui a plusieurs fois affirmé qu'il restait intéressé.
http://www.oilvoice.com/n/Russias_oil_o ... 85bfa.aspxRussia's oil output up to 10.34 million bpd in July
August 02, 2012
Russian oil output was at 10.34 million barrels per day (bpd) in July, up from 10.32 million bpd in June. This keeps ahead of its nearest rival, Saudi Arabia, Energy Ministry data showed.
Saudi Arabia output was at 10 million bpd in July, according to a survey by Reuters. Russia's post-Soviet record was 10.36 million bpd.
The ministry said that total crude production stood at 43.74 million tonnes in July.
Output growth was less than 1% compared to July 2011. Russian oil firms raised output by nearly 50% between 2002 and 2010.
Gas production stood at 1.45 billion cubic meters (bcm) a day in July, which is down from 1.54 bcm the month before. Total output for the month was 45 bcm, down 4.5% from July 2011.
Bien trouvéThéotrace2 a écrit :hé oui les abiotiques c'est pas automatiqueenergy_isere a écrit :Production de pétrole: la Russie risque de perdre son leadership
"Les ressources qui sont exploitées depuis longtemps sont pratiquement épuisées.
Increased production by Rosneft helped to lift Russia's oil output by 0.5 percent in October to a post-Soviet high of 10.46 million barrels per day (bpd), data showed on Friday.
http://www.reuters.com/article/2011/12/ ... 5R20111202MOSCOW, Dec 2 (Reuters)
Oil output in Russia, the world's top crude producer, stayed at a post-Soviet high of 10.34 million barrels per day (bpd) in November, encouraged by a record rally in its Urals blend, though analysts said it would struggle to fully exploit high prices.
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Pétrole Loukoïl débourse 1,25 milliard d'euros pour un champ en Sibérie
25/12/2012
Le deuxième producteur russe de pétrole, Loukoïl, a remporté une licence d'exploitation d'un vaste gisement de brut en Sibérie pour environ 1,25 milliard d'euros, a annoncé mardi l'agence publique russe en charge des ressources naturelles.
Pour cet appel d'offres, lancé à un prix moitié moindre, le groupe privé était en compétition avec le géant public Rosneft et la filiale pétrolière du groupe gazier Gazprom, selon un communiqué de Rosnedra.
Loukoïl se voit ainsi attribuer les droits d'exploitation d'une partie des gisements Imilorskoïé, Zapadno-Imilorskoïé et Istotchnoïé, situés dans le centre de la Sibérie.
http://www.boursorama.com/actualites/la ... fdfbd6bc09La Russie ouvre les vannes de son nouvel oléoduc vers le Pacifique
26 Dec 2012
La Russie, très dépendante de ses exportations d'énergie, a mis en service mardi le deuxième tronçon de l'oléoduc Sibérie-Pacifique, voué à ouvrir encore les marchés asiatique et américain au pétrole pompé dans le riche sous-sol sibérien.
Ce tronçon de plus de 2.000 km relie Skovorodino (région de l'Amour, Extrême-Orient russe) à la baie de Kozmino, sur la côte russe de la mer du Japon, et aura au début une capacité annuelle de 30 millions de tonnes de pétrole.
A terme, le tuyau pourra transporter 50 millions de tonnes par an vers ce port industriel, jusqu'ici alimenté par train, selon Transneft, la compagnie publique chargée du transport du brut russe.
Le premier tronçon, une canalisation de 2.694 km et d'une capacité de 30 millions de tonnes de pétrole par an, relie Taïchet (Sibérie orientale) à Skovorodino. Il a été mis en service en décembre 2009.
La mise en service du deuxième maillon dote la Russie "d'un réseau d'oléoducs reliant la Baltique au Pacifique", a souligné le président de Transneft Nikolaï Tokarev.
Elle va aussi "renforcer considérablement" le développement économique de l'Extrême-Orient russe, a déclaré le président Vladimir Poutine, cité par les agences russes, en suivant la cérémonie par téléconférence.
"C'est un événement important", a-t-il insisté.
Le pétrole et les produits pétroliers représentent la moitié des exportations et des revenus du budget fédéral de la Russie, premier producteur d'or noir dans le monde au coude à coude avec l'Arabie Saoudite.
Au moment où la crise économique plombe la demande en Europe, Moscou compte beaucoup sur l'Asie, région locomotive de la consommation d'énergie ces dernières années, pour élargir ses débouchés.
Une branche de 930 kilomètres qui relie le premier tronçon de l'oléoduc Sibérie-Pacifique aux raffineries de la ville chinoise de Daqing, dans le nord-est, est entrée en opération début 2011.
Mais avec le deuxième tronçon, c'est toute la région Pacifique que vise la Russie. Vladimir Poutine a souligné qu'une fois chargé dans les tankers, le brut sibérien serait dirigé, outre la Chine, vers le Japon, la Corée du Sud, Singapour, les Philippines et Taïwan, mais aussi les Etats-Unis.
A l'heure actuelle, 35% du pétrole transitant par le port de Kozmino part en direction des Etats-Unis, premier pays consommateur de pétrole dans le monde, a indiqué le président de Transneft.
Quelque 30% de l'or noir est destiné au Japon, 25% à 28% à la Chine et le reste à Singapour, à la Malaisie et à la Corée du Sud.
"Je pense que ces proportions resteront les mêmes", a avancé le dirigeant.
Transneft espère porter les quantités de pétrole exportées depuis Kozmino de 15,6 millions de tonnes cette année à 21 millions de tonnes l'an prochain, puis 30 millions de tonnes à l'horizon 2015.
"L'oléoduc Sibérie-Pacifique est avant tout orienté vers le Japon, la Corée, la Chine", a tempéré l'analyste Viacheslav Bounkov, de la société d'investissement Aton.
Ces pays asiatiques représentent des marchés plus dynamiques, en Chine en raison de la forte croissance économique, au Japon en raison de la mise à l'arrêt du parc de centrales nucléaires après la catastrophe de Fukushima.
Aux Etats-Unis, la consommation reste nettement inférieure à ses niveaux d'avant la crise financière de 2008 et la production de brut du pays a augmenté ces dernières années.
La Russie n'a représenté en 2011 que 5% des importations américaines de brut, mais cette part a quasi doublé en cinq ans, selon des statistiques du gouvernement américain.
"Aux Etats-Unis, les besoins en pétrole russe sont liés à des problèmes logistiques", explique l'analyste Valeri Nesterov, de Sberbank Asset Management.
Les infrastructures pétrolières américaines sont essentiellement concentrées sur la côte Est américaine, notamment autour du golfe du Mexique (sud-est).
Via le Pacifique, le brut russe peut alimenter directement la côte Ouest, notamment la Californie, où le brut produit est par ailleurs de qualité moindre que le pétrole sibérien et donc plus coûteux à raffiner.
http://www.usinenouvelle.com/article/no ... 12.N188772Nouveau record pour la production pétrolière russe en 2012
le 02 janvier 2013, MOSCOU (Reuters)
La production pétrolière russe a augmenté d'environ 1% en 2012 à une moyenne annuelle record de 10,37 millions de barils par jours, contre 10,27 millions en 2011, selon des chiffres publiés mercredi par le ministère de l'Energie.
La production de pétrole brut a atteint 518,018 millions de tonnes en 2012, contre 511,432 millions en 2011 - année qui comptait un jour de moins.
La Russie est le premier producteur mondial de pétrole. Les revenus tirés de l'exploitation du pétrole et du gaz représentent environ la moitié des recettes de l'Etat, qui souhaite maintenir une production annuelle de brut supérieure à 10 millions de barils par jour jusqu'en 2020.
Le Kremlin a encore renforcé son emprise sur ce secteur stratégique en 2012 lorsque Rosneft, première compagnie pétrolière du pays, est parvenue à un accord de rachat de son rival anglo-russe TNK-BP pour un montant de 55 milliards de dollars (environ 41,5 milliards d'euros).
Lorsque cette acquisition sera finalisée, au cours de la première moitié de l'année, Rosneft deviendra le premier producteur mondial d'hydrocarbures avec 4,6 millions de barils équivalent pétrole par jour. En attendant, sa production a été de 2,4 millions de bpj en moyenne en 2012.
Au mois de décembre la production pétrolière russe a atteint 10,48 millions de barils par jour, contre 10,50 millions en novembre, un nouveau record depuis la fin de l'ère soviétique.
La production gazière en 2012 a diminué à 1,79 milliard de mètres cubes par jour contre 1,84 milliard en 2011. Cette baisse se situe dans le contexte d'une moindre demande européenne.
sur 2000wattsLa Russie, deuxième producteur d'or noir de la planète peu après l'Arabie saoudite, a augmenté sa production de plus de 40% depuis le début des années 2000. Les autorités comptent notamment sur l'Arctique pour poursuivre sur cette lancée.
Mais les experts de l'agence de notation Fitch ont prévenu dans une note publiée aujourd'hui que la production du pays allait probablement atteindre un pic dans les prochaines années. Le fameux peak oil!
Les gains de production obtenus grâce aux nouveaux champs pétroliers sont compensés par la chute de production des gisements existants, estiment-ils.
Selon des chiffres gouvernementaux cités par Fitch, la Russie a produit 518 millions de tonnes de brut en 2012, soit 10,4 millions de barils par jour en moyenne, un record depuis la fin de l'Union soviétique.
Ce niveau a été atteint aux prix d'investissements de plusieurs milliards de dollars pour prolonger la durée de vie des champs pétroliers en exploitation grâce aux nouvelles technologies, dont la fracturation hydraulique, explique Fitch.
Mais pour l'agence de notation, la marge de progression est désormais très limitée et les nouveaux projets, dans des zones difficiles d'accès, nécessitent des capitaux très importants et d'accélérer l'exploration.
Plusieurs groupes étrangers ont noué des alliances avec leurs concurrents russes pour pouvoir extraire des hydrocarbures en Russie. Le géant pétrolier ExxonMobil est lié à Rosneft par un partenariat stratégique. Le britannique BP doit en outre monter à près de 20% du capital du groupe public russe, à qui il a cédé récemment sa part de 50% dans le numéro trois russe du secteur, TNK-BP.
http://www.businessweek.com/news/2013-0 ... u-tek-saysRussia February Oil Output Near Post-Soviet Record, CDU-TEK Says
March 02, 2013
Russia, the world’s biggest oil producer, boosted crude and gas condensate production 1.1 percent in February from a year earlier to 10.46 million barrels a day, near the post-Soviet record.
Daily output rose 0.1 percent from January, according to preliminary data e-mailed today from the Energy Ministry’s CDU- TEK unit. The record of 10.49 million barrels a day was reached last November. Soviet-era output in Russia peaked at 11.48 million barrels a day in 1987.
Russian oil production is expected to be unchanged or increase slightly this year, Deputy Prime Minister Arkady Dvorkovich said Feb. 22. President Vladimir Putin has set a goal of keeping output at more than 10 million barrels a day.
Oil exports in February rose 1.7 percent from the previous month to 5.23 million barrels a day after storms and a pipeline leak in January delayed several cargoes from Novorossiysk. Exports declined 0.7 percent from a year earlier.
Natural gas output fell 0.4 percent last month from a year earlier to 2.06 billion cubic meters a day. OAO Gazprom, Russia’s gas export monopoly, cut production 3.2 percent to 1.53 billion cubic meters a day.
http://www.bloomberg.com/news/2013-04-0 ... -says.htmlRussia March Oil Output Near Post-Soviet Record, CDU-TEK Says
Apr 2, 2013
Russia, the world’s biggest oil producer, boosted crude and gas condensate production 1.2 percent in March from a year earlier to 10.47 million barrels a day, close to a post-Soviet era record.
OAO Gazprom led the gains, with liquids output up 18 percent from a year earlier, according to preliminary data e- mailed today by the Energy Ministry’s CDU-TEK unit. The record of 10.49 million barrels a day was reached in November. Soviet- era output in Russia peaked at 11.48 million barrels a day in 1987.
Gas condensate is helping to maintain President Vladimir Putin’s goal of output at more than 10 million barrels a day as crude production falls. Companies are drilling more wells in the mature west Siberian oil province to stem declines.
“Gas condensate production is the real driver behind the growth,” Alexander Nazarov, an oil and gas analyst at OAO Gazprombank in Moscow, said by phone today. “Crude oil output is falling and organic growth currently is impossible.”
Output at OAO Lukoil, Russia’s second-biggest producer, slipped 0.1 percent from a year earlier to 1.7 million barrels a day, according to CDU-TEK. Lukoil agreed to buy Hess Corp. (HES)’s Samara-Nafta asset for $2.1 billion this year. The purchase will help the Russian company reverse declining production because additional drilling is not enough, Nazarov said.
Eurasia Drilling Ltd., Russia’s largest provider of onshore drilling services, increased the total distance it drilled last year by 27 percent, the company said today in an e-mailed statement. Lukoil increased drilling 30 percent in 2012, Eurasia said.
Russia’s oil exports in March fell 0.6 percent from the previous month to 5.24 million barrels a day. Exports declined 0.5 percent from a year earlier.
Natural gas output slid 2.2 percent last month from a year earlier to 1.95 billion cubic meters a day. Gazprom, Russia’s gas export monopoly, cut production 6.8 percent to 1.41 billion cubic meters a day.