Ils l’ont dit

[energy_isere]

Un beau!

Jim Rogers, trader américain

Un jour, on produira davantage de pétrole qu'on en consommera ; on extraira plus de cuivre qu'on en aura besoin ; il y aura quantité de fonds d'investissement sur les matières premières. Un jour, cela arrivera, mais cela prendra du temps. En 2019, peut-être.

et

L'once d'or pourrait atteindre 1 000 dollars (673,50 dollars, jeudi 4 mai). Dans le passé, la phase de hausse des cours des matières premières la plus brève a duré quinze ans et la plus longue vingt-trois ans. Si l'histoire est guide, la hausse du marché peut se prolonger jusqu'en 2014 ou en 2022.

p'tain , il lit dans le marc de café pour dire des choses pareilles !


Effectivement un prix à lui decerner

[metamec]

Jim Rogers, 63 ans, a créé le fonds spéculatif Quantum avec George Soros en 1973

Soros financier philanthrope qu'admire Minitax
ici
Toujours la même école.

Le marché peut tout, même trouver du pétrole et du cuivre là où il n'y en a pas.

Quand Total annoncera d'une année sur l'autre que ses réserves et sa production baissent, est ce que l'action tiendra??
il y a des gogos qui risquent de se faire avoir

Si il y a une grosse récession, il peut parfaitement avoir raison .

Récession qui viendra du prix des matières premières?

[epe]

Chakib Khelil : “Un baril de pétrole à 9 dollars est possible”

Selon lui, il convient de tirer les leçons du passé, c'est-à-dire des chocs pétroliers de 1986 et de 1998. Le concept de base est que la demande pétrolière est liée à la croissance économique. En 1998, les prix du pétrole ont chuté à cause de la crise asiatique qui a entraîné une récession. La demande sur le pétrole diminue en récession et partant, les prix baissent. Aujourd’hui, la situation est tendue. Très peu de pays producteurs ont un surplus de capacité. On est en flux tendu. Cela crée une situation d’instabilité. N’importe quel problème a un impact sur la situation des prix. Les facteurs géopolitiques jouent un rôle important.
Les prix du pétrole, a-t-il soutenu, peuvent dégringoler en cas de récession, en cas de catastrophe politique… Le ministre de l’Énergie et des Mines a laissé entendre qu’un baril à 9 dollars est possible. C’est donc l’incertitude sur les prix au cours des prochaines années, d’où la nécessité de diversifier l’économie nationale. Ce qui est certain, c’est que l’Algérie engrangera des recettes pétrolières importantes en 2006. En 2007, c’est l’inconnue. On sera fixé à la fin de l’année, a-t-il ajouté.


Là ce ne serait plus une récession mais la fin d'une civilisation!

[MadMax]

Challenges.fr | 11.05.2006

«nous allons connaître un contre-choc pétrolier au cours de la prochaine décennie»

(Trouvé par Pura Vida)

[EPZ]

c'est quoi un contre-choc pétrolier ?

[MadMax]

Des prix qui baissent (offre abondante de pétrole/faible demande de pétrole).

[energy_isere]

Des prix qui baissent (offre abondante de pétrole/faible demande de pétrole).

ce qui s'est passé dans les années 1990. ( pétrole pas cher jusqu'a 2002)

[tom]

Les prix du pétrole devraient se stabiliser puis baisser progressivement pour s’établir à 40 dollars le baril en 2010, prévoit la Banque mondiale, déclare Andrew Burns, l’un de ses économistes, dans l’édition d’hier du journal portugais Publico. « Nos prévisions à long terme tablent sur un baril de pétrole à 40 dollars en 2010. Nous prévoyons un prix moyen de 69 dollars cette année et 59 dollars l’année prochaine, puis une réduction progressive », a déclaré M. Burns au quotidien.
« Les prix élevés du pétrole s’expliquent à la fois par une forte demande et une faible expansion de l’offre. L’offre met un certain temps à réagir. Il faut attendre entre 3 et 6 ans avant qu’un nouveau projet pétrolier commence à produire. Nous observons également un ralentissement du côté de la demande », a-t-il expliqué.
« Tant que les prix se situent dans les 60, 70 dollars le baril, l’impact sur la demande devrait se poursuivre. C’est cela qui nous amène à croire qu’à long terme, les prix du pétrole devront revenir aux coûts d’extraction d’un baril, c’est-à-dire 20 dollars pour les plus optimistes et 40 dollars pour les plus pessimistes », a-t-il ajouté. Andrew Burns est l’un des auteurs du rapport sur le Financement du développement dans le monde 2006 de la Banque mondiale (Global Development Finance 2006) qui doit être présenté mardi. Le document aborde la situation conjoncturelle et les perspectives concernant les flux de capitaux dans les pays en développement.

[sceptique]

« Les prix élevés du pétrole s’expliquent à la fois par une forte demande et une faible expansion de l’offre. L’offre met un certain temps à réagir. Il faut attendre entre 3 et 6 ans avant qu’un nouveau projet pétrolier commence à produire. Nous observons également un ralentissement du côté de la demande », a-t-il expliqué.

Justement, ils sont ou les les nouveaux projets dans 3 à 6 ans ? Car, rien que pour compenser le déclin naturel (3% en moyenne) il faut mettre en production, chaque année, 2.5 Mb/j. Donc d'ici 6 ans 15 Mb/j. Sachant que les projets qui doivent aboutir en production dans 5-6 ans sont à lancer maintenant, ou sont-ils ces projets ? En faisant le tour de l'IFP, AIE ... à la louche j'arrive à 5 Mb/j.
Ah, j'oubliais les 1-2% de croissance annuelle Prévoir donc, dans ce cas, 5-10 Mb/j en plus des 15. Mais ils ont l'air de faire une croix sur la croissance : Nous observons également un ralentissement du côté de la demande

[epe]

Le prix du pétrole baissera ... en 2011

Il faudra attendre 2011 pour que le marché du pétrole connaisse une véritable accalmie. D'ici là, la demande devrait augmenter de 2% par an, pour atteindre près de 94 millions de barils quotidiens à cette date. Tel est en tous cas l'avis de l'Agence internationale de l'énergie qui, dans un rapport publié mercredi, indique que, à cet horizon, les capacités de production non utilisées devraient grimper à au moins 4 millions de barils par jour, alors que les niveaux actuels sont très faibles. Cet indicateur est attentivement surveillé par le marché car ces capacités jouent le rôle de "coussin de sécurité" en cas de problème dans un pays producteur. L'AIE indique qu'une "bonne partie de cette augmentation proviendra des investissements récemment annoncés par l'OPEP, destinés à accroître la production de brut et de gaz naturel liquéfié".

[Sylvain]

Trouvé par Mrlargo

Pour en revenir avec la courbe des prix, les économistes ne sont vraiment pas d'accord (voir ici le nouvel obs)

Les 32 économistes interrogés pensent que l'ascension du brut cinq années durant plafonnera cette année avec le baril de brut américain à 68,37 dollars en moyenne

Bin si ce sont des économistes qui le disent, ça va sûrement se vérifier

En 2010, le prix moyen du baril de Brent est attendu à 46,79 dollars et celui du baril de brut US à 48,33 dollars

On va pouvoir partir en vacances en Thaïlande en avion pendant encore des dizaines d'années, c'est sûr !

[MadMax]

[quote="Le lundi 28 août 2006, le journal "Les Echos""]Laurence Parisot : « Les Français ont compris que barrer la route à la mondialisation est impossible » [/quote]

[MadMax]

Gaz: l'Ukraine a fait ses preuves comme fournisseur de transit fiable (ministre)

29-08-2006 21:29 KIEV, 29 août - RIA Novosti. Le ministre ukrainien des Combustibles et de l'Energie, Iouri Boïko, a une nouvelle fois insisté mardi à Kiev sur la fiabilité de l'Ukraine en tant que fournisseur de transit de gaz naturel.

Pour mémoire...

[MadMax]

Le système financier global résiste bien aux hausses de taux/FSF

PARIS, 6 septembre (Reuters) - Le système financier international résiste bien au mouvement global de hausse des taux d'intérêt, a estimé mercredi le Forum sur la stabilité financière (FSF).

"Les perspectives économiques continuent dans l'ensemble de soutenir la stabilité financière" a souligné le FSF dans un communiqué à l'issue d'une réunion à Paris.

Le FSF a par ailleurs relevé la solidité des bilans des établissements financiers et la bonne adaptation des systèmes financiers à un environnement de politique monétaire moins accommodant dans de nombreux pays.

Les déséquilibres persistants de comptes courants constituent l'un des principaux motifs d'inquiétude en raison des tensions qu'ils pourraient provoquer au sein des systèmes financiers.

Le ralentissement de l'activité aux Etats-Unis n'a pas de caractère dramatique et la reprise économique en Europe ne doit pas susciter d'excès d'optimisme, a estimé Mario Draghi, gouverneur de la Banque d'Italie et président du FSF.

"Il y a un ralentissement aux Etats-Unis mais rien ne laisse penser jusqu'à présent qu'il soit dramatique. Au même moment, il y a une reprise en Europe mais il n'y a aucune certitude sur son caractère permanent", a déclaré Mario Draghi, membre du conseil des gouverneurs de la BCE, au cours d'une conférence de presse.

"Nous sommes à un point du cycle où, l'un dans l'autre, il n'y a pas lieu de dramatiser soit positivement, soit négativement" a-t-il ajouté.

Le Forum sur la stabilité financière (FSF) réunit les autorités nationales responsables de la stabilité financière des grands centres financiers internationaux, des institutions financières internationales, des groupements internationaux d'organismes de réglementation et de contrôle, ainsi que des comités d'experts des banques centrales.

Il a été créé par les ministres des Finances et les gouverneurs des banques centrales du Groupe des Sept (G7) en février 1999, afin de promouvoir la stabilité financière au niveau international.

Même pas mal !

[thorgal]

"Nous sommes à un point du cycle où, l'un dans l'autre, il n'y a pas lieu de dramatiser soit positivement, soit négativement"

superbe phrase : plein de mots pour rien dire du tout chapeau l'artiste!