Méthanisation / Biogaz
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Méthanisation / Biogaz
Je crée le fil Methanisation / Biogaz
ca comprend la méthanisation des déchets municipaux
la méthanisation des lisiers de porcs et bovin
les biogaz de matiéres végétales ou de boues d' épuration .....
pour débuter, sur Wikipédia : http://fr.wikipedia.org/wiki/M%C3%A9thanisation
et
http://fr.wikipedia.org/wiki/Biogaz
ca comprend la méthanisation des déchets municipaux
la méthanisation des lisiers de porcs et bovin
les biogaz de matiéres végétales ou de boues d' épuration .....
pour débuter, sur Wikipédia : http://fr.wikipedia.org/wiki/M%C3%A9thanisation
et
http://fr.wikipedia.org/wiki/Biogaz
Dernière modification par energy_isere le 27 mars 2006, 21:05, modifié 2 fois.
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Re: Methanisation / Biogaz
http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0 ... 073,0.html
Lille va traiter ses ordures ménagères pour en extraire du gaz
LE MONDE | 27.03.06 LILLE CORRESPONDANT
Votre poubelle vaut de l'or... La communauté urbaine de Lille (LMCU) veut récupérer le méthane dégagé par la décomposition des ordures ménagères pour faire rouler ses bus. Les 85 communes (1,1 million d'habitants) laissent chaque année un tas de déchets équivalant à une pelouse de football de la hauteur de la tour Eiffel. La Commission européenne a justement lancé un partenariat des villes aux biocarburants et LMCU a été chargée du management complet du projet Biogasmax regroupant 28 partenaires européens. Pierre Mauroy, président (PS) de LMCU, a présenté le dossier vendredi 24 mars à Lille, en présence des quatre collectivités les plus engagées, la région de Göteborg (Suède), les villes de Stockholm (Suède), Haarlem (Pays-Bas) et Rome (Italie).
"En France, le biocarburant liquide est focalisé sur l'éthanol, regrette Paul Deffontaine, vice-président (PS) de LMCU chargé des déchets urbains. On pense toujours au gaz issu des productions agricoles, mais rarement à celui émanant des ordures. Ce qu'on veut faire de manière industrielle se produit naturellement !"
L'idée est d'éviter la dissipation du méthane issu des résidus urbains, qui induit le réchauffement de l'atmosphère, mais aussi de produire un carburant à source renouvelable. L'originalité lilloise est de réaliser cela à grande échelle.
UNE FLOTTE DE 150 BUS
Le Centre de valorisation organique (CVO) en construction à Sequedin sera unique en Europe. D'abord par sa taille. A partir de 2007, il traitera 108 000 tonnes de déchets par an. Le plus gros centre, actuellement en Allemagne, recueille 50 000 tonnes. "Ensuite, explique Paul Deffontaine, nous aurons un garage de 150 bus directement branchés sur le biogaz. Cela n'existe pas ailleurs, excepté en Suède, mais en plus petites unités. En Allemagne, ils transforment en électricité l'énergie produite par la méthanisation."
La rivalité avec les Scandinaves a poussé LMCU à prendre le management complet du projet européen et à édifier le CVO sur l'ancien site industriel de la Pierrette. "Nous voulions être aussi novateurs que les Suédois", ajoute Paul Deffontaine : Stockholm et Göteborg ont prévu d'équiper de sept stations-service au biogaz l'autoroute E20 (500 km) qui les relie.
Le combat contre les lobbies énergétiques n'est pas gagné. "GDF a tendance à nous ignorer, explique Pierre Hirtzberger, un technicien de LMCU. Le gazier réfléchit à un compresseur à domicile qui permettrait de recharger en gaz sa voiture durant la nuit." LMCU ne cherche qu'à alimenter 150 bus et, éventuellement plus tard, les flottes automobiles des collectivités, entreprises ou sociétés de taxis. Une autarcie verte à une échelle modeste.
Actuellement, 100 bus roulent au gaz naturel, dont quatre déjà au biogaz grâce à la "digestion" de boues d'épuration à la station de Marquette-lez-Lille. Paul Deffontaine voit néanmoins deux nuages s'accumuler devant lui : "Il existe, d'une part, une méfiance devant un gaz provenant d'ordures, alors qu'on ne fait qu'accélérer le processus de fossilisation, qui dure des siècles : le biogaz n'a pas plus de germes que le gaz de ville ! D'autre part, il ne faudrait pas être taxé, ce qui rendrait le procédé trop coûteux..."
Geoffroy Deffrennes
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il y a des trucs pas mal non plus sur le Wiki:
Allemagne Biomasse
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L'Homo sapiens se conjugue à la première personne du présent irresponsable...
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Produire du méthane à partir des déchets d'élevage : un pari à 12 millions d'euros.
En Bretagne, les agriculteurs vont s'éclairer au lisier
par Pierre-Henri ALLAIN
QUOTIDIEN : lundi 17 avril 2006
Saint-Gilles-du-Méné (Côtes-d'Armor) envoyé spécial
Dans le pays du Méné, en centre Bretagne, on est un peu loin de tout mais on a des idées. Dernière en date, la création d'une usine de méthanisation pour traiter les lisiers de cochon et les déchets de l'industrie agroalimentaire, ce qui aura un double impact : lutter contre la désertification qui menace ces campagnes et résorber, à l'échelle d'un canton et dans des conditions écologiques optimales, les excédents des élevages qui empoisonnent la Bretagne. Le tout en créant une structure originale associant une coopérative d'agriculteurs et un partenaire privé, la société Adelis, structure d'étude et de développement du groupe Idex. Ce que Dominique Rocaboy, l'un des trente agriculteurs à l'origine du projet, résume d'une formule : «Je préfère avoir deux voisins que deux hectares supplémentaires de surface d'épandage.»
Multiples voyages. Dans les années 1990, alors que la chasse aux terrains susceptibles de recevoir les déjections des élevages intensifs battait son plein, le pays du Méné a fait un choix inverse : favoriser l'installation de jeunes agriculteurs sur les surfaces qui se libéraient. Du coup, le problème des excédents de lisier demeurait. «Nous avons envisagé la solution du compostage avec les déchets verts des collectivités, raconte Dominique Rocaboy. Mais celle-ci n'était pas satisfaisante dans notre logique de développement durable. Alors nous sommes allés voir ailleurs, et le procédé de la méthanisation s'est rapidement imposé.» Allemagne, Luxembourg, Danemark, Suède... Les exploitants du Méné, soutenus par l'Agence de développement et de maîtrise de l'énergie et par une association locale, la MIR (Méné initiatives rurales), multiplient les voyages, entraînant avec eux élus et acteurs locaux. «On s'est aperçus que, dans ces pays, la réflexion était collective entre paysans, collectivités et industriels», précise Dominique Rocaboy. Un modèle d'usine de méthanisation, inspirée de ces exemples européens, s'est finalement dégagé. Elle permet à la fois d'éliminer les excédents de lisier des porcheries, les boues de l'industrie agroalimentaire tout en produisant de l'énergie et, plus accessoirement, de l'engrais. Et cela sans aucun rejet néfaste dans l'environnement, puisque l'eau résiduelle ira directement étancher la soif de plantation de saules, destinés eux-mêmes à alimenter des chaufferies à bois. En 2002, il est temps de se trouver un partenaire. Là encore, le choix du groupe Idex s'impose naturellement. «Ils avaient déjà une expérience dans la méthanisation, et le patron du groupe, Alain Planchot, s'est montré très intéressé par notre démarche sans nous prendre de haut parce que nous étions des paysans.»
Si l'activité du groupe Idex, qui emploie 1 500 personnes, repose essentiellement sur la maintenance de chaufferies industrielles traditionnelles, une partie de son activité est engagée depuis longtemps dans le secteur des énergies renouvelables. Sa filiale Adelis travaille depuis plusieurs années sur des projets de parcs éoliens, d'installation de chaufferies au bois dans les collectivités ou d'usines de traitement d'ordures ménagères par méthanisation. Des marchés qui intéressent encore peu les industriels français, contrairement à leurs homologues allemands ou espagnols. «Nous faisons partie d'un groupe familial dont la logique n'est pas seulement de faire du business et de gagner de l'argent mais aussi de développer des projets ambitieux qui ont du sens, souligne Jean-Luc Le Souder, le représentant d'Adelis pour la région Ouest. Cette association avec le monde agricole était d'autant plus intéressante qu'elle nous faisait entrer dans une logique industrielle bien différente.»
Semé d'embûches. Une société anonyme, Géotexia, a été créée à parts égales par Adelis qui a investi 300 000 euros dans les études préliminaires et la coopérative d'utilisation de matériel agricole (Cuma), Méné Energie, qui regroupe les trente agriculteurs à l'origine du projet. Mais, alors que le premier coup de pioche est programmé pour septembre, le chemin a été semé d'embûches pour vaincre les résistances, bousculer les habitudes et convaincre la population, qui craignait de nouveaux rejets de l'atmosphère. Difficile, par exemple, de s'entendre sur un statut qui associe une coopérative et un groupe privé. «Un parcours du combattant», reconnaît Dominique Rocaboy. A l'arrivée, la future usine représente un investissement de 12 millions d'euros, dont 39 % sont pris en charge par les collectivités et organismes publics, Ademe et Agence de l'eau en tête. Elle doit entrer en service fin 2007 afin de traiter 70 000 tonnes de lisier et de boues résiduelles de l'agroalimentaire. Avec des revenus provenant des industriels concernés, mais aussi des agriculteurs eux-mêmes à la fois actionnaires et clients qui débourseront 6,80 euros par mètre cube de lisier traité avec l'espoir que l'électricité produite et revendue ramène progressivement ce chiffre à zéro. Les 2,5 à 3 millions d'euros de chiffre d'affaire escomptés devraient en tout cas permettre de salarier huit personnes, tout en assumant les charges de l'installation et le remboursement des emprunts.
«Notre objectif est de pérenniser notre activité, mais aussi de reconquérir la qualité de l'eau, ajoute Dominique Rocaboy. Ici, nous sommes le château d'eau de tout le versant sud de la Bretagne jusqu'à Redon.» Ou comment travailler à son propre avenir tout en oeuvrant à celui d'autrui.
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source : http://www.enerzine.com/6/392+le-millet ... ogaz+.htmlLe millet surpasserait le maïs pour produire du biogaz
L'utilisation de biomasse à des fins énergétiques s'est considérablement accrue en Allemagne. En 2005, environ 1,2 millions d'hectares de plantes énergétiques ont été utilisées pour la production de biocarburants ou de biogaz. Ainsi, d'après l'Agence des matières premières renouvelables (FNR), 10% des surfaces agricoles utilisées rentreraient déjà dans le label "de l'agriculture à l'énergie".
Depuis un an, plusieurs cultures à haut rendement énergétiques sont testées à la FNR pour des utilisations énergétiques. L'office de l'agriculture du Land de Thuringe coordonne sur 3 ans un projet comprenant 6 régions de culture permettant à chacune de tester 8 plantes énergétiques différentes. Ainsi, des cultures anciennes telles que le millet ou des cultures d'Amérique du Nord aurait une chance de dépasser le maïs pour la production de biogaz. Il est également important d'optimiser les cultures, d'où l'utilisation de cultures intermédiaires améliorées telles la moutarde.
Avec ce projet, la FNR espère disposer de la plus large palette possible de matières premières pour la production de bioénergie, et augmenter la biodiversité agricole. A moyen terme, les résultats seront utilisés, non seulement pour la production de biogaz et de biocarburants, mais aussi pour la production de biocarburant de synthèse BtL (Biomass-to-Liquid), dont l'avenir est prometteur.
(src : BE - Ambassade de France)
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http://www.environnement-online.com/inf ... ions&sp=emDéchets : Vert-le-Grand carbure au biogaz (23/05/2006)
[Déchets / Waste] [Energie / Energy]
3 millions d’euros, c’est la somme investie par G.A.S. Environnement pour installer une unité de valorisation électrique des biogaz sur la décharge de Vert le Grand (Essonne).
Inaugurée début mai, l’unité est maintenant opérationnelle. Elle permet de produire 30 millions de kilowattheures d’électricité par an, l’équivalent de la consommation électrique de 20 000 habitants. L’opérateur et l’exploitant du centre de stockage des déchets, CEL, ont signé un contrat de quinze ans. Au cœur du procédé : le méthane généré par la décomposition des ordures ménagères.
Collecté par quelque 120 puits répartis sur les 35 hectares du site, le gaz est capté grâce à des surpresseurs avant d’être brûlé et détendu dans une turbine pour actionner un alternateur et produire de l’électricité. EDF rachète celle-ci au prix de 5,5 centimes d’euros le kilowattheure. Cerise sur le gâteau, une petite installation de cogénération a été mise en place. L’installation comprend un petit échangeur de chaleur placé sur le toit d’un des locaux abritant les moteurs. Les calories assureront le chauffage des bureaux de la CEL.
Geneviève De Lacour
Il était temps, cela fait au moins 20 ans qu'elle existe cette décharge et que le méthane aggrave l'effet de serre pour rien.
A quand l'installation obligatoire sur toutes les décharges Françaises et du monde, soyons fous !!!
Le charbon et le gaz prendront sa place (temporairement).
Dans l'ordre, Sobriété, Efficacité et enfin Renouvelables (negawatt).
Attention aux utopies techniques (Global Chance)
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du nouveau en Suisse :
Produire du gaz naturel synthétique à partir du bois
L'Institut Paul Scherrer (PSI) a développé un nouveau procédé pour transformer le bois en gaz naturel synthétique, ce qui constituerait une "bonne alternative à la combustion de bois tant sur le plan écologique que sur le plan économique". Il serait ainsi possible de prélever au moins 2 millions de mètres cubes de bois Suisse par an pour le transformer en gaz naturel synthétique. Cette nouvelle énergie, qui alimenterait le réseau déjà existant de gaz naturel, pourrait être utilisée pour le chauffage des maisons, comme carburant ou pour la production de courant dans les usines électriques.
Depuis mai, le projet fait partie d'un projet de recherche de l'Union européenne. Devisé à 4 millions de francs Suisse (2,56 millions d'euros), son financement est assuré pour les trois prochaines années. L'an prochain, le PSI veut tester le nouveau procédé dans une entreprise autrichienne de gazéification du bois. Une première centrale de production pourrait être bâtie en Suisse d'ici 2010. Elle aurait une puissance de 10 à 20 mégawatts.
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fiches techniques méthanisation
il y a des fiches techniques en francçais sur des intallations de méthanisation à la ferme sur le site de l'association eden :
http://www.eden-enr.org
http://www.eden-enr.org
http://www.eden-enr.org
http://www.eden-enr.org
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productivité culture énergétique
pour mémoire
1 ha de cultures énergétiques mises en méthanisation ( herbe, sorho, autre céréale)
pemet d'obtenir le contenu énergétique équivalent à 3000 à 4000 L de fioul.
et ca marche aussi avec les déchets ( de silos céréaliers, tonte de pelouses, refus de laiterie, retrait de marchés maraichage ...)
Ca change un peu de l'éthanol, non ??
1 ha de cultures énergétiques mises en méthanisation ( herbe, sorho, autre céréale)
pemet d'obtenir le contenu énergétique équivalent à 3000 à 4000 L de fioul.
et ca marche aussi avec les déchets ( de silos céréaliers, tonte de pelouses, refus de laiterie, retrait de marchés maraichage ...)
Ca change un peu de l'éthanol, non ??
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Une grosse exploitation agricole du Québec s'équipe en bio-réacteur
Une exploitation spécialisée dans la naissance et l'engraissage des porcs (respectivement 9 000 et 3 000 têtes), dans l'Est du québec vient de s'équiper d'un système de traitement en anaérobie (sans oxygène) à basse température.
Autrement dit, le système s'occupe de récupèrer le gaz produit par la décomposition et la fermentation du lisier. Les trois bio-réacteurs (ou silos) dont elle s'est dotée ont une capacité de 100 m3 chacun et doivent être approvisionnés une fois tous les 15 jours.
Composé à 70% de méthane, 25% de gaz carbonique et approximativement 5% de sulfure d'hydrogène, ce bio gaz va être utilisé pour chauffer et pour produire de l'électricité.
Ainsi, avec15% du bio gaz obtenu, il sera possible de chauffer la bouilloire des 3 silos. Et les 85 % de bio gaz restant pourra servir à alimenter la ferme en électricité (éclairage, incinération de carcasses, etc.).
Ce système permet également de diminuer la quantité de phosphore du lisier de 50 %, ce qui réduit considérablement les odeurs à l'épandage. Il est également possible de brûler le bio gaz. Un opération beaucoup moins nocive pour l'environnement que le méthane libéré dans une fosse à ciel ouvert. Et elle permettrait en plus à l'exploitation agricole d'obtenir des crédits de gaz à effet de serre.
enerzine le 28 Aout 2006
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MadMax 3 si je peux me permettre
Le synopsis de MadMax 2 est :

Le synopsis de MadMax 2 est :
La suite dans Survivalisme et défense personnelleDans un futur non défini, les réserves de pétrole sont épuisées et la violence règne sur le monde. Max, un ancien de la sécurité routière, se porte aux secours d'une communauté de fuyards aux prises avec des pirates de la route. La bataille se concentre autour d'une citerne de raffinerie.
Méfiez-vous des biais cognitifs