La production s'effondre passant de 990 000 tonnes l'an passé à 700 000 tonnes cette année !! soit un taux de déplétion de 29 %
les prix s'envolent et prennent immédiatement 7 % à 3 440 € la tonne
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Modérateurs : Rod, Modérateurs
En anglais on ne dit pas "pétrole" mais "huile" (et on ne dit pas "essence" mais "gaz"; puis il continuent à compter en milles et galons et pieds et pouces et toutes sortes d'autres bizarreries); mais surtout, sur ce site ci quand on parle de "pic" c'est du pic de production pétrolier qu'on parle; avant de lire l'article je croyais que c'était la production de pétrole espagnole (ou, plutôt, la production des compagnies petrolières espagnoles, come Repsol; je ne sais pas s'il y a des puits en territoire espagnol) qui s'écroulait.Ferdi a écrit :Je ne vois pas le mot "pétrole" dans le post de Maurin?!?Rafa a écrit :Euh, il s'agit de la production d'huile d'olive, pas de pétrole.
Oui, il s'agissait bien d'huile d'olive, ... qui pourra peut-être se substituer en partie à l'essence dès que le prix du pétrole aura atteint environ les 600 $ !!! ...Maurin a écrit :La production s'effondre passant de 990 000 tonnes l'an passé à 700 000 tonnes cette année !! soit un taux de déplétion de 29 %
les prix s'envolent et prennent immédiatement 7 % à 3 440 € la tonne
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Endesa va augmenter sa puissance électrique de 83%
Endesa, le numéro 1 espagnol de l'électricité, a décidé d'installer 14 groupes de cycle combiné afin d'augmenter sa puissance de 83%. D'ici à 2009, Endesa "passera de 21 à 35 groupes de cycle combiné dans le monde, avec une puissance installée supérieure à 11.400 mégawatts (MW), dont 38% en Espagne, contre 6.259 MW actuellement", a annoncé le groupe dans un communiqué. La répartition géographique des cycles combinés serait la suivante :
Selon Endesa, l'investissement sera de 2,6 milliards d'euros pour ce projet "qui renforcera la position d'Endesa dans le secteur du gaz", comme le prévoit le plan stratégique de l'électricien pour 2005-09. Endesa est la cible de deux OPA, l'une de l'espagnol Gas Natural et l'autre de l'allemand E.ON.
source Enerzine du 23 Aout 2006
ENVIRONNEMENT - L’Espagne, mauvais élève de Kyoto
L’Espagne, loin de respecter les accords passés lors du protocole de Kyoto en 1990, serait aujourd’hui le pays industrialisé le plus polluant en ce qui concerne l’émission de gaz à effets de serre. La menace d’une facture-sanction de 3,5 milliards d’euros pourrait bien forcer le gouvernement à revoir rapidement sa politique environnementale
La situation environnementale en Espagne empire. Les émissions de gaz à effet de serre auraient augmenté de plus de 52.8% par rapport à 1990, année référence du protocole de Kyoto. Un chiffre catastrophique quand on sait qu’à cette date, l’Espagne s’est engagée à réduire de 5.2% ses émissions de gaz avant 2012.
D’après le rapport du département sur l’Environnement et la Commission du Travail, le pari semble loin d’être gagné. Son secrétaire confédéral, Joaquin Nieto, dénonce ainsi une absence totale de coordination gouvernementale sur le sujet. Malgré les promesses politiques, les émissions ne cessent d’augmenter, d'année en année. Et aujourd’hui, la sanction financière risque d’être lourde de conséquences pour l’Espagne : pour respecter le cadre de l'accord, le pays devra acheter à ce rythme quelque 3,5 milliards d'euros de droits d'émissions dans les cinq prochaines années.
Des mesures fantômes
Pourtant, la ministre de l’Environnement Cristina Narbona se montre plutôt confiante et satisfaite des efforts fournis. Selon elle, grâce au plan mis en en oeuvre par le gouvernement en 2006, un millier d’entreprises vont devoir se plier aux normes imposées par le protocole pour lutter contre les effets nocifs de ces gaz responsables du réchauffement de la planète. L'Espagne espère ainsi réduire de 0.4% le chiffre publié par le rapport. Un résultat toutefois bien mince quand on connaît le chemin qu’il reste encore à parcourir d’ici 2012...
Pour un pays comme l’Espagne, en pleine expansion depuis la signature de Kyoto il y a 16 ans, les engagements pris alors, et faussés depuis par de nouveaux besoins, risquent fort d’être difficiles à tenir. A moins que le pays ne se tourne vers l’énergie éolienne qui permet, aujourd’hui déjà, d’éviter l’émission de quinze millions de tonnes de dioxyde de carbone dans l’air. Après seize ans, espérons que le vent tourne enfin pour le plus gros pollueur du protocole de Kyoto.
source : http://www.lepetitjournal.com/content/view/5291/307/
http://fr.rian.ru/world/20060823/53055431.htmlL'Espagne change de politique à l'égard de l'Iran
L'Espagne change de politique à l'égard de l'Iran et intervient désormais en faveur du droit de Téhéran pour développer son propre programme nucléaire, a déclaré mercredi dans une interview à la Radio nationale espagnole l'ambassadeur Maximo Cajal.
Comme tu dis! Là je suis vraiment pris par surprise, je ne m'y attendais pas.MadMax a écrit :Hoho...