Trafic aérien

Répondre


Cette question vous permet de vous prémunir contre les soumissions automatisées et intensives effectuées par des robots malveillants.
Émoticônes
:D :geek: :ugeek: :ghost: :wtf: :-D :) :-) :-( :-o :shock: :? 8-) :lol: :-x :-P :oops: :cry: :evil: :twisted: :roll: ;) ;-) :!: :?: :idea: :arrow: :-| :mrgreen: =D> #-o =P~ :^o [-X [-o< 8-[ [-( :-k ](*,) :-" O:) =; :-& :-({|= :-$ :-s \:D/ :-#
Plus d’émoticônes

Le BBCode est activé
La balise [img] est activée
La balise [flash] est activée
La balise [url] est activée
Les émoticônes sont activées

Relecture du sujet
   

Agrandir Relecture du sujet : Trafic aérien

Re: Trafic aérien

par energy_isere » 12 févr. 2025, 23:28

Transport aérien : pour la première fois, les aéroports européens dépassent en 2024 leur trafic passagers d'avant Covid-19Ce sont les lignes internationales qui ont tiré les chiffres à la hausse, tandis que les vols intérieurs restent inférieurs aux niveaux pré-pandémiques.

Boursorama avec Media Services •12/02/2025

Pour la première fois depuis la fin de la crise sanitaire, les aéroports européens ont accueilli en 2024 plus de passagers qu'en 2019, grâce au dynamisme des liaisons internationales, a annoncé mercredi 12 février leur principale association.

L'année dernière, "les aéroports européens ont finalement dépassé leurs volumes de passagers d'avant Covid-19, avec plus de 2,5 milliards de voyageurs ", a précisé ACI Europe dans un communiqué, citant des données provisoires. Cela représente une hausse de 7,4% sur un an , et une progression de 1,8% par rapport aux niveaux pré-pandémiques, selon l'association qui fédère plus de 600 aéroports du Vieux continent et au-delà, jusqu'en Asie centrale et en Israël.

Ce sont les liaisons aériennes internationales qui ont tiré la reprise, avec une progression de 8,8% sur un an. En revanche, la fréquentation des lignes intérieures est restée 6,3% inférieure aux niveaux de 2019, selon ACI Europe, qui a évoqué "un report modal partiel vers le train" dans certains pays.

Le rebond du secteur aérien européen, gravement affecté par la crise sanitaire à partir de début 2020, s'est produit "malgré une forte hausse des tarifs des billets, une chaîne d'approvisionnement sous pression, une croissance économique atone et des tensions géopolitiques" , a remarqué le directeur général d'ACI Europe, Olivier Jankovec, cité dans le communiqué.

Une reprise à "plusieurs vitesses"

Olivier Jankovec a aussi décrit une reprise "à plusieurs vitesses", dont les compagnies à bas coût et les aéroports qui les accueillent sont sortis gagnants.

Les aéroports en Albanie, dont le tourisme s'est fortement développé ces dernières années, ont vu leur trafic plus que tripler (+220%) depuis 2019, devant ceux d'Ouzbékistan (+186%) et du Kazakhstan (+74,7%), ces deux pays semblant bénéficier pour leur part d'un report du trafic vers la Russie après les sanctions imposées dans la foulée de l'invasion de l'Ukraine.

Parmi les plus grands marchés pour le transport aérien dans le périmètre d'ACI Europe, la Turquie (+23,1% depuis 2019) semble également profiter de ce phénomène, tandis que l'Italie (+17%) et l'Espagne (+13%) touchent les dividendes du tourisme.

En revanche, les aéroports en Allemagne (-16,6% sur cinq ans) et en France (-3%) souffrent d'une forte baisse de la demande intérieure.

Londres-Heathrow est resté en 2024 le premier aéroport européen par nombre de passagers (83,9 millions), devant Istanbul (80,1 millions, en hausse de 16,9% depuis 2019), Paris-Charles-de-Gaulle (70,3 millions, inférieur de 7,7% aux niveaux d'avant Covid) et Amsterdam-Schiphol (66,8 millions), juste devant Madrid (66,1).
https://www.boursorama.com/actualite-ec ... a22a76d6e1

Re: Trafic aérien

par energy_isere » 01 févr. 2025, 14:58

USA: le contrôle aérien sous le microscope après la collision à Washington

AFP •01/02/2025

La collision entre un avion de ligne et un hélicoptère militaire à Washington mercredi soir a révélé au grand public les problèmes de sous-effectif latent dans le contrôle aérien aux Etats-Unis, où les équipements sont aussi souvent vieux et parfois même complètement obsolètes.

Le syndicat des contrôleurs aériens se plaignait encore, pas plus tard que mi-décembre lors d'une audition parlementaire, de moult maux.

De son côté, un membre du Bureau de la responsabilité du gouvernement (GAO) - organisme d'audit du Congrès - craignait que le retard technologique pris par l'agence de l'aviation civile (FAA) ne la place dans une situation critique, face à la forte hausse du trafic aérien.

Une mise à niveau "sera le travail de nombreuses années et nécessitera des milliards de dollars", relevait Kevin Walsh, membre du GAO, devant une commission sénatoriale.

L'enquête sur la collision, qui a fait 67 morts, ne fait que commencer mais les critiques envers l'agence de contrôle aérien (ATC) n'ont pas tardé à fuser.

Ses difficultés ne datent en réalité pas d'aujourd'hui et des velléités de privatisation ont émergé périodiquement au fil des ans, et encore récemment par des conservateurs en amont de la seconde présidence de Donald Trump.

L'institut juridique de droite Cato qualifiait fin 2024 le système de l'ATC de "vieillot, mal géré et... se dirigeant tout droit vers une crise", estimant qu'il était tout désigné pour une privatisation dans le contexte d'une Maison Blanche conseillée par le milliardaire Elon Musk et son projet de réduire les dépenses publiques.

Mais, pour Andy Busch, professeur de civisme américain à l'université du Tennessee, la situation actuelle pourrait au contraire inciter les parlementaires "à prendre du recul et à faire preuve de prudence".

- "Mis à niveau" -

Selon Michael McCormick, qui a travaillé pour la FAA dans le contrôle aérien, les précédentes initiatives de privatisation ont échoué face à l'opposition du secteur.

"Ce tragique accident va, à coup sûr, attirer les projecteurs sur le dispositif de contrôle aérien et pourrait, au final, aboutir à un niveau adéquat de financements pour que le dispositif puisse être mis à niveau et entretenu", explique-t-il à l'AFP.

Selon lui, les technologies les plus modernes ont déjà permis à l'ATC de passer à un système d'observation s'appuyant sur les satellites.

Mais un manque de fonds a privé les systèmes secondaires, avec pour conséquence par exemple une panne en janvier 2023 qui a paralysé le ciel des Etats-Unis, rappelle Michael McCormick.

La pénurie durable de personnel s'explique en partie, d'après lui, par le départ obligatoire à la retraite à 55 ans et par des blocages budgétaires réguliers - les "shutdown" - qui ont entravé les recrutements. Ces problèmes se sont aggravés avec la pandémie, qui a gelé toute formation des mois durant.

Une situation fréquemment dénoncée par les compagnies aériennes, désireuses d'augmenter leurs programmes de vols face à la forte demande de voyages de loisirs et d'affaires.

Des centres névralgiques de correspondance comme New York ou Miami sont particulièrement affectés par le manque de personnel, n'ayant que deux-tiers voire moins des contrôleurs nécessaires.

- "Faire retomber la pression" -

La FAA a levé des restrictions sur les créneaux de vols dans les aéroports new-yorkais pour permettre aux compagnies de réduire le nombre de vols en échange de l'utilisation d'avions plus grands.

Cette initiative de l'été 2023, a été reconduite jusqu'en octobre 2025. Signe probablement que le régulateur s'attend à ce que la pénurie perdure.

En septembre 2023, l'organisation du trafic aérien et le syndicat national des contrôleurs aériens (NATCA) avaient évalué à plus de 3.000 le nombre de contrôleurs manquants dans les tours des aéroports américains.

Ils étaient environ 10.800 fin 2024. La FAA en a recruté 1.500 en 2023, plus de 1.800 en 2024 et l'objectif est d'en embaucher 2.000 de plus en 2025, avait précisé le ministère des Transports en décembre.

L'organisme Airlines for America, qui rassemble les plus grandes compagnies aériennes américaines, oeuvre avec la FAA et les universités pour accroître le nombre d'établissements de formation afin de ne plus compter que sur le centre de la FAA.

L'université Louisiana Tech a récemment reçu le feu vert pour ajouter, dès ce printemps, un premier cursus de quatre ans, avant d'aller plus loin.

La FAA "souhaite vraiment que nous nous lancions dans le programme", explique Matthew Montgomery, responsable de la branche aviation professionnelle à Louisiana Tech. "Elle veut davantage de monde pour faire retomber la pression".
https://www.boursorama.com/actualite-ec ... 1056d40164

Re: Trafic aérien

par energy_isere » 25 janv. 2025, 21:10

Dubai veut construire le plus grand aéroport du monde à 32 milliards d’euros
D’ici à 2033, l’aéroport Al-Maktoum de Dubai doit être agrandi pour devenir le premier au monde et accueillir à terme 260 millions de passagers par an.

9 juillet 2024 Challenges

Chaque année depuis 1944, toutes les compagnies aériennes se réunissent pour l’assemblée générale de leur association, Iata. Le 2 juin, c’était au tour d’Emirates de recevoir ses homologues à Dubai. L’occasion d’afficher sa toute-puissance. En mai, la plus grosse compagnie de la planète a publié le meilleur résultat d’exploitation de son histoire (5 milliards d’euros), conséquence directe de l’essor de la mégalopole : au fil des ans, l’aéroport international de Dubai (DXB) est devenu le premier hub mondial en nombre de passagers internationaux transportés (87 millions en 2023).

Idéalement située au carrefour de l’Europe, l’Asie et l’Afrique, la quatrième ville la plus visitée de la planète attire voyageurs d’affaires, touristes et passagers en transit. Mais l’aéroport né en 1960 arrive à saturation et ne peut être agrandi.

Les acteurs occidentaux craignent une concurrence déloyale

C’est donc à 65 kilomètres au sud que se dessine le futur du transport aérien émirien : à cet endroit, l’émir de Dubai, le cheikh Mohammed ben Rachid al-Maktoum, vient de confirmer l’extension de l’autre aéroport, Al-Maktoum, bien plus récent. Objectif de ce mégaprojet : créer le plus gros aéroport du monde, avec 260 millions de passagers par an à terme.

Premier bénéficiaire ? Emirates, qui déplacera toutes ses activités là-bas. « Dans les pays du Golfe, les intérêts des compagnies aériennes et des aéroports sont alignés », décrypte Kamil al-Awadhi, vice-président Moyen-Orient à Iata. Pour preuve, le PDG d’Emirates est aussi celui des aéroports de Dubai, propriétés à 100 % de l’Etat comme la compagnie aérienne.

De quoi faire enrager les acteurs occidentaux, qui craignent une concurrence déloyale : en 2015, une étude commanditée par les transporteurs américains chiffrait à 42 milliards de dollars les subventions perçues en dix ans par les transporteurs du Golfe. « Une légende », rétorque Thierry Aucoc, vice-président Europe et Russie d’Emirates, qui assure : « C’est nous qui finançons l’Etat avec nos bénéfices. »

D’autres hubs pharaoniques en Arabie saoudite et en Turquie

C’est en tout cas grâce à un chèque gouvernemental de 32 milliards d’euros que ce nouveau hub verra le jour. Agrémenté d’îlots de verdure et de nombreux restaurants, cinés et boutiques, il couvrira 70 kilomètres carrés, cinq fois plus que le hub ­actuel, et comprendra cinq pistes et 400 terminaux.

« Le parcours sera bien plus agréable, décrit Paul Griffiths, directeur général des aéroports de Dubai. Il n’y aura ni enregistrement, ni contrôle aux frontières, ni longues distances de marche grâce à de nombreuses entrées près des portes d’embarquement. »

Un bémol toutefois : d’ici à son inauguration vers 2033, d’autres hubs pharaoniques seront sortis de terre, en Arabie saoudite ou en Turquie. Pas de quoi inquiéter Tim Clark, président d’Emirates : « D’ici dix ans, le nombre de passagers dans le monde devrait encore doubler. »
https://www.challenges.fr/monde/dubai-v ... ros_898816

Re: Trafic aérien

par kercoz » 24 janv. 2025, 23:32

https://reporterre.net/Licencie-pour-av ... en-justice
"""Défendre le climat peut-il coûter une carrière ? Licencié pour avoir refusé de rentrer de Papouasie en avion, le chercheur Gianluca Grimalda vient d’obtenir réparation. Mais il n’a pas été réembauché...

Peut-on perdre son emploi pour avoir refusé de prendre l’avion ? C’est la question soulevée par le licenciement de Gianluca Grimalda. Ce chercheur en psychologie sociale de 53 ans a refusé de rentrer d’une mission en Papouasie-Nouvelle-Guinée par avion, au nom de ses convictions écologiques. Il a préféré un périple de 72 jours en transports terrestres et maritimes. Ce choix radical lui a coûté son poste à l’Institut pour l’économie mondiale (IfW) de Kiel (Allemagne).

Son combat judiciaire s’est conclu par un accord : la cour régionale du travail de Kiel a validé, le 10 janvier 2025, le principe d’un compromis avec compensation entre Grimalda et son ex-employeur, alors que ce dernier s’y opposait. Une victoire en demi-teinte — il voulait être réintégré — mais qui ouvre un débat plus large sur l’articulation entre la nécessaire réduction des émissions de gaz à effet de serre et les contraintes professionnelles.

Grimalda s’était rendu en Papouasie-Nouvelle-Guinée en 2023 pour une étude sur les effets sociaux du changement climatique. Il a passé sept mois sur l’île de Bougainville, au contact de populations menacées par la montée des eaux et l’érosion côtière. Son enquête l’a amené à parcourir une trentaine de villages."""

Re: Trafic aérien

par energy_isere » 24 janv. 2025, 19:03

Le trafic aérien en France remonte presque à son niveau d'avant la pandémie de Covid-19

Le trafic aérien français retrouve quasiment son niveau de 2019, avant la pandémie de Covid. La diminution du trafic intérieur est compensée par un trafic international en hausse vers l’Amérique du nord, l’Afrique et le Moyen-Orient, selon les chiffres publiés par la DGAC jeudi 23 janvier 2025.

Mia Goasguen--Rodeno 24 janvier 2025

Image
Le trafic aérien en France remonte presque à son niveau d'avant la pandémie de Covid-19© Alexandru-Bogdan Ghita / Unsplash

Près de 178 millions de passagers ont pris l’avion en France en 2024 selon la DGAC.
Après cinq ans, le trafic aérien français a quasiment remonté la pente. Près de 178 millions de passagers ont pris l’avion en France en 2024, ce qui représente 99,1% du niveau de 2019, selon les chiffres publiés par la DGAC jeudi 23 janvier 2025.
... abonnés
https://www.usinenouvelle.com/article/l ... 9.N2226154

Je vous jure, c'est pas moi, je n'ai pas pris l'avion en 2024 ! Pas plus qu'en 2023.

Re: Trafic aérien

par energy_isere » 13 janv. 2025, 23:06

Record de passagers pour Heathrow en 2024, mieux qu'avant la pandémie

Boursorama avec AFP •13/01/2025

L'aéroport londonien d'Heathrow, le premier du Royaume-Uni et d'Europe en nombre de passagers en 2023, a annoncé lundi avoir battu l'an dernier son record de trafic, repassant pour la première fois au dessus des chiffres d'avant la pandémie de Covid-19.


Le "hub" a vu passer 83,9 millions de passagers en 2024, "un record pour le principal aéroport du Royaume-Uni et 3 millions de plus que le précédent record de 2019", a annoncé l'entreprise dans un communiqué.

Avec plus de 7 millions de passagers, le mois de décembre a aussi été le plus chargé jamais enregistré par Heathrow, qui espère en outre augmenter encore un peu le nombre de passagers passant par ses terminaux en 2025.

Après l'effondrement du trafic lié à la pandémie de Covid-19, Heathrow a été pointé du doigt ces dernières années, comme d'autres aéroports britanniques et européens, pour une reprise poussive marquée par des annulations, des retards, des files d'attente à rallonge ou des problèmes de livraison de bagages.

L'aéroport a annoncé le mois dernier des investissements de 2,3 milliards de livres (2,7 milliards d'euros) au cours des deux prochaines années, afin de se moderniser et améliorer notamment la livraison des bagages et la ponctualité.

L'aéroport a aussi vu fin 2024 la finalisation du rachat par la société d'investissement française Ardian et le fonds public saoudien PIF de près de 38% de son capital pour 3,87 milliards d'euros, auprès notamment du groupe espagnol de BTP Ferrovial.

Ardian, avec 22,6%, est ainsi devenu le plus gros actionnaire de la plateforme, tandis que le fonds PIF en détient quelque 15%.

Heathrow avait publié en octobre une baisse de son chiffre d'affaires de 3,2% sur un an pour les neuf premiers mois de 2024, mais un bénéfice net en hausse de 7,8%, à 496 millions de livres (590 millions d'euros).
https://www.boursorama.com/actualite-ec ... 47bb2ff8d0

Re: Trafic aérien

par GillesH38 » 11 janv. 2025, 07:52

les gratte-ciels, ça brule pas aussi facilement que les pins quand même :lol:

Re: Trafic aérien

par kercoz » 10 janv. 2025, 20:08

Apres L. A. ? Il faudra cramer NY pour qu'ils arrêtent leur connerie ?

Re: Trafic aérien

par energy_isere » 10 janv. 2025, 19:21

Adieu année Covid ......
Delta Air Lines vise un bénéfice annuel record en 100 ans d'existence
(Reuters) - Delta Air Lines a déclaré vendredi s'attendre à ce que 2025 soit l'année la plus rentable de ses 100 ans d'existence, grâce à la forte demande pour ses billets "premium" et à l'amélioration du pouvoir de fixation des prix du secteur.

REUTERS 10 janvier 2025

...............
https://www.usinenouvelle.com/article/d ... e.N2225299

Re: Trafic aérien

par energy_isere » 22 déc. 2024, 13:16

Peu en Europe, beaucoup en Asie : voici les liaisons aériennes les plus empruntées en 2024

Article de Jean-Marc De Jaeger

Près de 100.000 avions commerciaux décollent chaque jour à travers le monde, empruntant des milliers de lignes intérieures ou internationales. Parmi elles, certaines sont beaucoup plus fréquentées que d’autres. Avec 6,8 millions de passagers transportés, la liaison entre Hongkong (HKG) et la capitale de Taïwan, Taipei (TPE), a ainsi été la liaison internationale qui a transporté le plus de voyageurs en 2024 selon OAG, fournisseur de données pour l’industrie du voyage (top 10 ci-dessous). Les lignes Le Caire (CAI) - Djeddah (JED) et Séoul Incheon (ICN) - Tokyo Narita (NRT) occupent les autres marches du podium.

Le classement d’OAG s’intéresse aussi aux liaisons intérieures les plus fréquentées. Dans cette catégorie, l’Asie l’emporte haut la main avec huit liaisons dans le top 10. Le trio de tête reste inchangé par rapport à 2023 avec au premier rang la ligne Jeju International (CJU) - Séoul Gimpo (GMP) en Corée du Sud, suivie de Sapporo New Chitose (CTS) - Tokyo Haneda (HND) et Fukuoka (FUK) - Tokyo Haneda (HND) au Japon.

Rome-Madrid, numéro un en Europe

Dans la zone Europe, Moyen Orient et Afrique (EMEA), la liaison internationale la plus empruntée est New York JFK - Londres Heathrow (LHR). Mais si l’on s’en tient strictement aux vols au sein de l’Europe, Rome Fiumicino (FCO) - Madrid (MAD) est la route internationale la plus fréquentée avec 2,4 millions de passagers en 2024. Quant aux lignes intérieures les plus prisées en Europe, on trouve en première position le Barcelone (BCN) - Palma (PMI), suivi d’Antalya (AYT) - Istanbul Sabiha Gokcen (SAW) et Madrid (MAD) - Palma (PMI).

Les 10 lignes internationales les plus empruntées en 2024 :

Hongkong (HKG) - Taipei (TPE)
Le Caire (CAI) - Djeddah (JED)
Séoul Incheon (ICN) - Tokyo Narita (NRT)
Kuala Lumpur (KUL) - Singapour Changi (SIN)
Séoul Incheon (ICN) - Osaka Kansai (KIX)
Dubaï (DXB) - Riyad (RUH)
Bangkok (BKK) - Hongkong (HKG)
Jakarta (CGK) - Singapour Changi (SIN)
Bangkok (BKK) - Singapour Changi (SIN)
New York JFK - Londres Heathrow (LHR
https://www.msn.com/fr-fr/voyage/actual ... 7670&ei=36

Re: Trafic aérien

par energy_isere » 10 déc. 2024, 19:15

L'IATA s'attend à une croissance record de l'industrie aérienne en 2025

par Joanna Plucinska et Emma Farge REUTERS 10 décembre 2024

L'Association du transport aérien international (IATA) a déclaré mardi prévoir un chiffre d'affaires de plus de mille milliards de dollars pour l'industrie ainsi qu'un nombre record de passagers pour l'année 2025, malgré ce que son directeur Willie Walsh a qualifié de difficultés "inacceptables" en termes d'approvisionnement de nouveaux avions.

Dans le monde entier, les compagnies aériennes ont vu leur croissance entravée par les retards de livraison chez Boeing et Airbus. Sans avoir accès à de nouveaux avions plus efficaces, le secteur craint de ne pas pouvoir abaisser les coûts de carburant tout en transportant plus de passagers.

"Nous leur avons donné du temps. Je pense que nous perdons patience. La situation est inacceptable", a déclaré Willie Walsh de l'IATA à des journalistes à Genève.

Les fournisseurs se comportent comme s'ils avaient un "quasi-monopole" et semblent profiter des problèmes qu'ils ont causés, a-t-il critiqué.

"Nous allons devoir redoubler de pression et potentiellement chercher du soutien afin de forcer les fournisseurs clés à se reprendre en main", a déclaré Willie Walsh, qui est l'ancien directeur de British Airways et de sa maison-mère IAG.

Malgré ces problèmes, l'IATA a indiqué s'attendre à ce que l'industrie génère un bénéfice net de 36,6 milliards de dollars (34,75 milliards d'euros) en 2025, comparé aux 31,5 milliards de dollars attendus pour l'année 2024. Elle prévoit également un trafic de 5,2 milliards de passagers.

Depuis que l'industrie s'est effondrée avec la pandémie de COVID-19 en 2020, enregistrant une perte de 140 milliards de dollars, la demande a repris de plus belle. Les prix du carburant devraient également baisser, offrant un peu de répit aux compagnies.

Willie Walsh s'est montré positif quant au second mandat de Donald Trump, précisant que sa politique lors de son premier mandat avait profité au secteur.

"Il semble probable que la seconde administration Trump revienne sur certaines des politiques de l'administration Biden", a-t-il déclaré.

"Je pense que l'administration Trump sera un positif net pour l'industrie", a-t-il ajouté.

En revanche, en ce qui concerne l'utilisation de carburants aéronautiques éco-responsables (SAF), l'industrie n'avance pas encore à un rythme suffisant pour atteindre ses objectifs, a déploré Willie Walsh lors du même événement.

L'IATA a l'intention d'atteindre son objectif "zéro émissions nettes" d'ici 2050.

"Nous ne progressons pas aussi rapidement que nous l'avions espéré et nous ne progressons certainement pas assez", a-t-il expliqué aux journalistes.

Aujourd'hui, le SAF ne représente que 0,3% de l'utilisation mondiale de carburant aéronautique et ne devrait représenter que 0,7% d'ici 2025, selon les données de l'IATA.

Une étude de l'IATA présentée mardi a montré que la production mondiale de carburant éco-responsable en 2024 n'avait atteint qu'une tonne métrique, un chiffre moins élevé que les attentes du groupe, qui tablait sur 1,5 tonne métrique. /!\ lecteur ce chiffre est manifestement erroné

Selon des experts, ce rythme doit s'accélérer considérablement si le secteur entend atteindre ses objectifs d'émissions.
https://www.usinenouvelle.com/article/l ... 5.N2224021

Pour le chiffre que j'ai indiqué erroné, une recherche avec Copilot me donne cette article : https://www.zonebourse.com/actualite-bo ... -48560891/
et donc le chiffre à lire est un million de tonnes.

Re: Trafic aérien

par mobar » 04 nov. 2024, 16:54

Les religieux catho intégristes ont brulé des sorcières, des indiens, des hérétiques, des cathares ... pour moins que ça et pourtant ils siègent toujours au Vatican

Ce ne serait pas ça, plutôt le problème!

Et ça vaut pour presque toutes les religions, bientôt ce sera au tour de la "science climatique" de bruler ses hérétiques, gaffe à toi mécréant!

Dis moi qui est ton hérétique et je te dirais quel Torquemada tu es!

Re: Trafic aérien

par GillesH38 » 04 nov. 2024, 16:27

mais je m'interroge, je te rassure. Sur moi et sur les autres.

Par exemple je me suis souvent demandé pourquoi des gens avaient décidé de brûler quelqu'un qui disait qu'il y avait peut etre de la vie ailleurs sur d'autres planètes. Quand on y pense, c'est bizarre de brûler quelqu'un juste pour avoir dit ça non ? ça leur faisait quoi au fond si c'était vrai ? ça gênait en quoi leur vie ?

bien sûr il pouvait aussi s'interroger sur pourquoi il avait dit ça au lieu de fermer sa gueule ...

Re: Trafic aérien

par supert » 04 nov. 2024, 16:23

Je ne peux que me répéter. Interroge-toi. Que tu ne sois pas le seul créateur du problème ne change rien à la donne. Interroge-toi. Tout seul. Pas avec ton clavier et moi.


Supertomate mort de rire

Re: Trafic aérien

par GillesH38 » 04 nov. 2024, 14:04

supert a écrit :
04 nov. 2024, 14:00
Tu ne t'interroges pas, tu interroges les autres.
je formule la question, qui peut s'adresser aussi bien à moi même qu'aux autres. Mais encore une fois ce n'est pas parce que je pose une question que j'ai la réponse.
D'ailleurs le problème de base (que je me fais insulter) est d'abord et avant tout un problème relationnel entre moi et d'autres. La réponse ne peut pas être juste en moi, elle est forcément relative à une interaction et concerne autant moi que les autres.

Haut