Site dédié à la fin de l'âge du pétrole
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par mobar » Aujourd’hui, 17:39
energy_isere a écrit : ↑Aujourd’hui, 15:52 Justement, le fait d'être un ''cartel'' s'oppose au marché idéal.
par energy_isere » Aujourd’hui, 15:52
GillesH38 a écrit : ↑Aujourd’hui, 13:58 supert a écrit : ↑Aujourd’hui, 12:33 Une question toute bête, l'Arabie Saoudite gagne-t-elle plus d'argent en vendant plus de pétrole moins cher ou moins de pétrole plus cher (on négligera la gestion des ressources à long terme) ? Et la Russie ? c'est pas une question "toute bête", mais c'est la question universelle pour l'équilibre entre production et consommation, dans un marché idéal la production se stabilise à une valeur qui maximise le produit production*prix de vente...
supert a écrit : ↑Aujourd’hui, 12:33 Une question toute bête, l'Arabie Saoudite gagne-t-elle plus d'argent en vendant plus de pétrole moins cher ou moins de pétrole plus cher (on négligera la gestion des ressources à long terme) ? Et la Russie ?
par phyvette » Aujourd’hui, 14:52
par supert » Aujourd’hui, 14:26
par GillesH38 » Aujourd’hui, 13:58
par supert » Aujourd’hui, 12:33
par energy_isere » Hier, 22:21
«Une bombe nucléaire sur le marché» : malgré la chute des cours, l’Opep+ accélère la hausse de production de pétrole Par Le Figaro avec AFP 03 mai 2025 Huit pays membres de l'Opep+ ont annoncé samedi une forte hausse de production de pétrole pour le mois de juin, accélérant le rythme de réouverture des vannes, au risque de plomber des cours déjà très bas. L'Arabie saoudite, aux côtés de la Russie et de six autres membres du cartel, vont sortir de terre 411.000 barils par jour, comme en mai, selon un communiqué, alors que le plan de réintroduction initial prévoyait une augmentation de seulement 137.000 barils. «L'Opep+ vient de lancer une bombe sur le marché pétrolier», a commenté pour l'AFP Jorge Leon, de Rystad Energy. «Après le signal du mois dernier, la décision d'aujourd'hui envoie un message clair: le groupe change de stratégie et cherche à regagner des parts de marché après des années de coupes», poursuit-il. Un revirement qui permet aussi de «tisser de bonnes relations avec les États-Unis de Donald Trump», selon l'analyste. Peu après sa prise de fonctions, le président américain avait demandé à l'Arabie saoudite de produire davantage pour faire baisser les prix de l'or noir. Les membres de l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep), menée par Ryad, et leurs alliés conduits par Moscou, ont noué en 2016 un accord appelé Opep+ pour mieux peser sur le marché. Ces 22 pays, pour la plupart très dépendants de la manne pétrolière, jouaient jusqu'à récemment sur la raréfaction de l'offre pour doper les prix, gardant en réserve des millions de barils. Avec un effort plus marqué de la part de huit membres, qui ont consenti à des réductions supplémentaires: outre l'Arabie saoudite et la Russie, sont concernés l'Irak, les Émirats arabes unis, le Koweït, le Kazakhstan, l'Algérie et Oman. Après avoir repoussé à plusieurs reprises la réintroduction de ces volumes, ils ont enclenché début avril le processus et appuient désormais sur l'accélérateur.
par energy_isere » 23 avr. 2025, 18:03
L'Opep+ pourrait accélérer l'augmentation de la production pétrolière en juin Plusieurs membres de l'Opep+, groupe comprenant l'organisation des pays exportateurs de pétrole et ses alliés, proposeront d'accélérer en juin l'augmentation de la production de pétrole pour un deuxième mois consécutif, ont déclaré à Reuters trois sources proches des discussions. REUTERS 23 avril 2025 Huit pays de l'organisation se réuniront le 5 mai pour décider du plan de production de juin. Les trois sources, qui se sont exprimées sous le couvert de l'anonymat, ont déclaré que certains membres souhaitaient augmenter leur production d'un volume similaire à celui convenu pour le mois de mai, ce qui a déjà attisé les tensions entre les membres qui s'en tiennent aux objectifs et ceux qui les dépassent. L'Organisation des pays exportateurs de pétrole et les autorités saoudiennes n'ont pas immédiatement répondu aux demandes de commentaires de Reuters.
par energy_isere » 15 avr. 2025, 02:09
La consommation mondiale de pétrole augmentera moins que prévu en 2025, selon l'OPEP AFP le 14 avril 2025 L'Opep a revu légèrement à la baisse sa prévision de croissance de la demande de pétrole pour 2025 notamment en raison des droits de douanes américains, selon son rapport mensuel publié lundi. Le cartel anticipe désormais que la demande en or noir dans le monde augmentera de 1,3 million de barils/jour (mb/j) en moyenne cette année, contre 1,4 mb/j prévu en mars, et qu'elle s'élèvera à 105,05 mb/j au total. "Cet ajustement mineur est principalement dû aux données reçues pour le premier trimestre 2025 et à l'impact attendu sur la demande de pétrole, compte tenu des droits de douanes américains récemment annoncés", a indiqué l'Organisation des pays exportateurs de pétrole, qui révise chaque mois ses prévisions en fonction de la conjoncture. La demande d'or noir s'est élevée en 2024 à 103,75 mb/j. Après une augmentation de la demande mondiale de 1,3 Mb/j au premier trimestre, l'Opep escompte un ralentissement de la croissance au deuxième trimestre à 1,1 mb/j par rapport à la même période en 2024, avant une accélération au 3e trimestre (1,5 mb/j) et un dernier trimestre en croissance de 1,3 mb/j par rapport au quatrième trimestre 2024. La croissance de la demande mondiale devrait être tirée en 2025 principalement par la Chine et l'Inde. Dans les pays de l'OCDE, la demande de pétrole devrait "être sous pression, en raison de l'impact probable des nouveaux droits de douanes des Etats-Unis sur les importations", a détaillé le cartel dans une note du rapport. "En conséquence, la demande de pétrole au deuxième trimestre dans la zone Amérique de l'OCDE devrait se contracter de 70.000 barils/jour" par rapport à 2024, alors que dans le même temps, les pays européens de l'OCDE devraient voir la demande fléchir de 20.000 barils/jour, et la région Asie-Pacifique de l'OCDE devrait rester stable. Ces régions devraient connaître un rebond au second semestre, concentré au 3e trimestre. Pour 2026, l'Opep a également révisé à la baisse la croissance de la demande, dans les mêmes proportions qu'en 2025, passant également de 1,4 mb/j à 1,3 mb/j, portant sa prévision de la demande mondiale de pétrole à 106,33 mb/j, contre 106,63 mb/j dans son rapport de mars.
par mobar » 09 avr. 2025, 16:41
par GillesH38 » 05 avr. 2025, 21:21
mobar a écrit : ↑05 avr. 2025, 09:58 Le baril était à moins de 20 dollars il y a 70 ans, il est monté à 140 dollars et redescendu à moins de 50 dollar pour chaque fois créer et booster des alternatives qui se sont installées, ces mécanismes de cliquet vont se poursuivre jusqu'au remplacement de tous les fossiles et fissiles par des ressources d'énergie durables et inépuisables mais dont le flux utilisable en temps réel bien que limité sera de beaucoup supérieur à nos consommations actuelles!
par mobar » 05 avr. 2025, 09:58
energy_isere a écrit : ↑24 sept. 2024, 20:22 Climat: pour l'Opep, la sortie des énergies fossiles est un "fantasme"
Climat: pour l'Opep, la sortie des énergies fossiles est un "fantasme"
par energy_isere » 04 avr. 2025, 23:58
L'Opep+ accélère la hausse de la production de pétrole, les prix chutent Huit pays de l'Opep+ sont convenus jeudi d'accélerer leur plan d'augmentation de la production de pétrole, additionnant 411.000 barils par jour à partir de mai, une décision inattendue qui a amplifié la chute des prix du brut, qui reculaient déjà en raison des craintes que les droits de douane américains ne pénalisent la demande. REUTERS 03 avril 2025 Huit membres de l'Opep+, le groupe comprenant l'organisation des pays exportateurs de pétrole et ses alliés, avaient initialement prévu d'augmenter leur production de 135.000 barils par jour (bpj) en mai, mais à l'issue d'une réunion tenue en ligne jeudi, ils annoncé une hausse de 411.000, citant "des fondamentaux de marché toujours solides et des perspectives de marché positives". "Cela comprend l'augmentation initialement prévue pour le mois de mai en plus de deux augmentations mensuelles", a déclaré le groupe.
par energy_isere » 11 déc. 2024, 19:36
Pétrole: L'Opep abaisse ses prévisions de croissance de la demande pour 2024 et 2025 L'Opep a revu à la baisse ses prévisions de croissance de la demande mondiale de pétrole pour 2024 et 2025, pour le cinquième mois consécutif, en invoquant notamment une faible demande en Chine et en Inde. REUTERS 11 décembre 2024 Cette nouvelle révision à la baisse des perspectives souligne le défi auquel est désormais confronté l'Opep+, qui comprend l'Organisation des pays exportateurs de pétrole et ses alliés comme la Russie. L'Opep+ avait déjà annoncé le 5 décembre avoir reporté de trois mois son projet d'augmentation de la production de pétrole à avril, en raison de la faiblesse de la demande et de la montée en puissance de l'offre des autres producteurs. L'Opep dit mercredi s'attendre désormais à ce que la demande mondiale de pétrole pour cette année augmente de 1,61 million de barils par jour (bpj), ce qui marque un ralentissement par rapport à sa prévision de 1,82 million de bpj annoncée le mois dernier. Avant cela, l'Opep avait maintenu ses perspectives pour cette année inchangées jusqu'en août. L'organisation a également réduit son estimation de la croissance de la demande mondiale de pétrole pour 2025, à 1,45 million de bpj, contre 1,54 million de bpj précédemment.
par energy_isere » 23 nov. 2024, 12:16
Le pétrole déterminant pour l’économie mondiale malgré l’urgence climatique (OPEP) Agence Ecofin 21 nov 2024 Le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) a démontré qu’il serait de plus en plus difficile d’atteindre les objectifs de l’Accord de Paris sur le climat sans une réduction drastique de l’exploitation des énergies fossiles. Haitham Al Ghais (photo), le patron de l’organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP), s’est prononcé mercredi 20 novembre au sujet de l’importance des énergies fossiles dans la lutte contre le changement climatique. S’exprimant à l’occasion de la COP 29 qui se tient actuellement en Azerbaïdjan et qui devrait se clôturer vendredi 22 novembre, le secrétaire général de l’organisation a rappelé que l’accent doit être mis sur la réduction des émissions de CO2 plutôt que sur l’abandon des combustibles fossiles qu’il considère comme « un don de Dieu », dont l’humanité doit continuer de profiter. À travers son intervention, le patron de l’OPEP a réitéré la position du cartel, soulignant l’importance de soutenir les investissements dans l’industrie pétrolière mondiale. Selon lui, cette industrie restera déterminante pour l’économie globale pendant de nombreuses années. Cette prise de position de l’OPEP fait écho à l’avis du président azerbaïdjanais Ilham Aliyev en même temps qu’elle conforte celle des dirigeants africains qui plaident pour une justice climatique impliquant la poursuite de l’exploitation des combustibles fossiles. Elle va cependant à l’encontre des alertes du GIEC qui a insisté sur l’urgence de diminuer de manière drastique et immédiate, leur utilisation afin d’éviter des impacts climatiques graves et limiter le réchauffement à des niveaux soutenables. D’après des projections du fournisseur de données sur l’énergie Rystad Energy, les émissions de CO2 issues des combustibles fossiles devraient atteindre un nouveau pic de 39 gigatonnes par an (Gtpa) d’ici l’année prochaine. De son côté, son homologue Wood Mackenzie a estimé qu’il faut un investissement mondial mutualisé de 3500 milliards de dollars par an, dans les énergies vertes, si l’on veut atteindre des émissions nettes nulles de gaz carbonique d’ici 2050.
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