Site dédié à la fin de l'âge du pétrole
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par Jeuf » Hier, 18:32
mobar a écrit : ↑Hier, 05:05 Ça ne sert a rien de déplorer la baisse des populations humaines, elle est inéluctable et est le résultat dans notre prédation
par mobar » Hier, 05:05
Il est fascinant d'observer que ce modèle décrit parfaitement les évolutions cycliques du nombre de lynx et de lièvres des neiges au Canada. Au Québec, l'analyse des données de récolte de fourrures de lynx depuis 1917 a permis d'évaluer la fréquence des oscillations du cycle à 9,1 ans
par Jeuf » 23 août 2025, 15:14
energy_isere a écrit : ↑22 août 2025, 14:22 Supertomate qui devra confondre robot humanoïde avec infirmière quand il aura 90 ans et qu'il n' y aura plus de jeunes pour pour faire le boulot. Et c'est pas des chômeurs qui feront ce boulot.
par mobar » 22 août 2025, 19:57
par Silenius » 22 août 2025, 18:46
Une population de 1 milliard d'humains sera le niveau des prochains siècles
par mobar » 22 août 2025, 18:00
par mobar » 22 août 2025, 17:53
par supert » 22 août 2025, 15:01
par GillesH38 » 22 août 2025, 14:33
supert a écrit : ↑22 août 2025, 14:18 C'est incroyable la force d'une religion (ici, la religion de la croissance). Nous sommes dans une planète surpeuplée avec de fortes tensions territoriales. Nous sommes sur une planète surpolluée et ça ne va pas s'arranger. Certains pensent que dans un futur relativement proche, la population mondiale va baisser. Cool ! Ben non. En présentation, on ne nous annonce que des choses caca boudin. Je ne sais pas ce qu'il y a dans la vidéo, mais les deux lignes de présentation ci-dessus ne donnent aucune envie de la regarder. Moins de gens, moins de problème. Et l'argument du ratio actif/retraité ne vaut rien. 1-Il y a plein d'actifs qui sont inactifs (un chômeur est un actif) 2-Le défaut d'être éventuellement moins pour produire sera largement compensé par d'autres avantages 3-Contrairement à la croissance économique, la croissance démographique ne peut pas être infinie. Donc si l'on veut éviter de décroître par ce que c'est pas bien, on refile la difficulté à nos z'enfants. C'est sympa. Moi, quand je vois un problème, je n'attends pas qu'il empire pour m'y attaquer. Les tenants de la croissance démographique si. En plus d'être idiots, ils sont salauds et lâches. Supertomate qui ne confond pas les textes et les dessins, des mots et graphie
par energy_isere » 22 août 2025, 14:22
par supert » 22 août 2025, 14:18
par energy_isere » 22 août 2025, 12:35
par tita » 27 juil. 2025, 20:56
La baisse des naissances, c'est liée à la forte baisse des naissances entre 1971 (881k) et 1976 (720k). Et si tu regardes la pyramide des âges, tu constates qu'il y a un petit rebond, mais passé 2025, les naissances vont à nouveau diminuer parce qu'il y aura moins de femmes en âge de procréer.
par Jeuf » 26 juil. 2025, 11:54
alain2908 a écrit : ↑26 juil. 2025, 08:50 c'est vrai quoi, faut pas s'inquiéter pour nos retraites puisqu'on ne sera pas retraité ! https://theconversation.com/fears-that- ... ons-261031 Auteurs Leslie Root Professeur adjoint de recherche, Institut des sciences du comportement, Université du Colorado à Boulder Karen Benjamin Guzzo Professeur de sociologie et directeur du Carolina Population Center, Université de Caroline du Nord à Chapel Hill Shelley Clark Professeure de sociologie, Université McGill
"C'est tout notre modèle social qui s'effondre"
par alain2908 » 26 juil. 2025, 08:50
En tant que démographes qui étudient la fécondité, les comportements familiaux et les intentions de procréation, nous pouvons affirmer avec certitude que le déclin démographique n’est pas imminent, inévitable ou nécessairement catastrophique. Le récit de l’effondrement de la population repose sur trois malentendus clés. Premièrement, il déforme ce que les mesures standard de la fécondité nous disent sur la maternité et fait des hypothèses irréalistes selon lesquelles les taux de fécondité suivront des modèles prévisibles dans un avenir lointain. Deuxièmement, il surestime l’impact des faibles taux de natalité sur la croissance et la taille futures de la population. Troisièmement, il ignore le rôle des politiques économiques et des changements sur le marché du travail dans l’évaluation des impacts des faibles taux de natalité.
Une raison courante de s’inquiéter d’une faible fécondité est qu’elle conduit à une foule de problèmes économiques et du marché du travail. Plus précisément, les natalistes soutiennent qu’il y aura trop peu de travailleurs pour soutenir l’économie et trop de personnes âgées pour que ces travailleurs puissent les soutenir. Cependant, ce n’est pas nécessairement vrai – et même si c’était le cas, l’augmentation des taux de natalité ne résoudrait pas le problème. À mesure que les taux de fécondité baissent, la structure par âge de la population change. Mais une proportion plus élevée de personnes âgées ne signifie pas nécessairement que la proportion de travailleurs par rapport aux non-travailleurs diminue. D’une part, la proportion d’enfants de moins de 18 ans dans la population diminue également, de sorte que le nombre d’adultes en âge de travailler – généralement définis comme étant âgés de 18 à 64 ans – change souvent relativement peu. Et à mesure que les personnes âgées restent en meilleure santé et plus actives, un nombre croissant d’entre elles contribuent à l’économie. La participation au marché du travail des Américains âgés de 65 à 74 ans est passée de 21,4 % en 2003 à 26,9 % en 2023 – et devrait passer à 30,4 % d’ici 2033. Des changements modestes dans l’âge moyen de la retraite ou dans la façon dont la sécurité sociale est financée réduiraient encore les pressions sur les programmes de soutien aux personnes âgées.
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