Sauf que le probleme du PO n'est pas que le robinet va se fermer d'un seul coup, mais que le prix va augmenter par le jeu (plus ou moins truqué) de l'offre et de la demande.
Sur le pricipe la chose revient au meme: la disparition d'une unité de petrole amène la disparition de ce que cette unité permettait de produire.
A priori au debut de la baisse on commence par rogner, par ajustement des prix, sur les activité créant le moins de richesse.
Plus la production baisse et plus mecaniquement la production se resserent sur les production essentielle et difficilement substituable.( l'utilité marginale s'accroit)
Eviter de gacher le petrole en economie revient à créer le plus de richesse possible par unité de petrole. Ce qui revient à une forme de fuite en avant. Puisque plus la quantité de richesse produite grace au petrole est importante plus la perte d'une unité suplémentaire est couteuse pour l'economie generale.
Et pour ceux qui ne peuvent plus payer ? On leur coupe le robinet, d'un coup.
Pourquoi ne peut on plus payer? parce que l'on ne produit pas suffisament de richesse par unité de petrole. Du point de vue du commerce international, le litre de carburant qui fait tourner le groupe electrogène d'un village du fin fond du mali à moins de valeur que le 500000emme litre de petrole d'un hummer du kansas.
Si les flux monétaire des pays consommateurs vers les pays exportateur augmentent avec le prix du baril, les flux monetaire des pays exportateur vers les pays importateurs evoluent en parallele.
Plus le petrole est cher plus les pays importateurs doivent orienter leur production vers des biens vendable aupres des pays exportateurs. Les pays de l'ocde exportent des bien manufacturés, mais aussi des services financier.
L'economie des pays importateur se concentre non seulement sur les bien utiles pour ses pays, mais aussi sur les production utile pour les pays exportateurs de petrole.
Plus le prix augmente plus les pays importateur doivent exporter sur le marché mondial pour payer leur petrole. Ce qui accroit de fait... la demande de petrole.
L'accroissement du prix du petrole n'arretera pas la mondialisation, bien au contraire elle en augmentera l'intensité.
La hausse du cout de l'energie augmente les flux monetaire internationaux. Il n'y a aucun exemple historique qui montre que des echanges financiers puissent augmenter sans entrainer une augmentation de l'echange de bien physique.
Les pays africains non producteur de petrole, qui n'ont pas la capacité d'acroitre leurs exportations sortiront peu a peu du jeu. On va donc avoir une repartion des roles à l'echelle du monde entre le dealer, le drogué et le mendiant.
[quote]Sauf que le probleme du PO n'est pas que le robinet va se fermer d'un seul coup, mais que le prix va augmenter par le jeu (plus ou moins truqué) de l'offre et de la demande.[/quote]
Sur le pricipe la chose revient au meme: la disparition d'une unité de petrole amène la disparition de ce que cette unité permettait de produire.
A priori au debut de la baisse on commence par rogner, par ajustement des prix, sur les activité créant le moins de richesse.
Plus la production baisse et plus mecaniquement la production se resserent sur les production essentielle et difficilement substituable.( l'utilité marginale s'accroit)
Eviter de gacher le petrole en economie revient à créer le plus de richesse possible par unité de petrole. Ce qui revient à une forme de fuite en avant. Puisque plus la quantité de richesse produite grace au petrole est importante plus la perte d'une unité suplémentaire est couteuse pour l'economie generale.
[quote]Et pour ceux qui ne peuvent plus payer ? On leur coupe le robinet, d'un coup.[/quote]
Pourquoi ne peut on plus payer? parce que l'on ne produit pas suffisament de richesse par unité de petrole. Du point de vue du commerce international, le litre de carburant qui fait tourner le groupe electrogène d'un village du fin fond du mali à moins de valeur que le 500000emme litre de petrole d'un hummer du kansas.
Si les flux monétaire des pays consommateurs vers les pays exportateur augmentent avec le prix du baril, les flux monetaire des pays exportateur vers les pays importateurs evoluent en parallele.
Plus le petrole est cher plus les pays importateurs doivent orienter leur production vers des biens vendable aupres des pays exportateurs. Les pays de l'ocde exportent des bien manufacturés, mais aussi des services financier.
L'economie des pays importateur se concentre non seulement sur les bien utiles pour ses pays, mais aussi sur les production utile pour les pays exportateurs de petrole.
Plus le prix augmente plus les pays importateur doivent exporter sur le marché mondial pour payer leur petrole. Ce qui accroit de fait... la demande de petrole.
L'accroissement du prix du petrole n'arretera pas la mondialisation, bien au contraire elle en augmentera l'intensité.
La hausse du cout de l'energie augmente les flux monetaire internationaux. Il n'y a aucun exemple historique qui montre que des echanges financiers puissent augmenter sans entrainer une augmentation de l'echange de bien physique.
Les pays africains non producteur de petrole, qui n'ont pas la capacité d'acroitre leurs exportations sortiront peu a peu du jeu. On va donc avoir une repartion des roles à l'echelle du monde entre le dealer, le drogué et le mendiant.