Bon, j'me lève, ça va chauffer.
La déplétion d'un champs, c'est bien - la production/les réserves - P/R. Les réserves de départ sont fixes et n'augmentent pas, le champs rentre en déplétion dés le premier jour.
Les réserves globales varient en fonction de la production et des découvertes. Si l'on compare avec la déplétion de la couche d'ozone, il y a déplétion quand elle diminue et réplétion quand elle se reforme.
Pour l'état des réserves de pétrole, l'étude de sa variation ce n'est pas P/R mais - (Découvertes - Production)/Réserves - (D-P)/R.
- Si (D-P > O) Réplétion
Si (D-P <0) Déplétion

A ce moment là, parler de déplétion a un sens et la seule erreur qu'il y aurait sur le dessin de ASPO France, serait de prendre la courbe de production,(celle du PO) à la place de la courbe des réserves.
Ce qui cloche, c'est que ça ne donne pas les mêmes valeurs que le tableau de l'ASPO.
Il n'empêche que le taux de déplétion ainsi calculé n'atteindra jamais de valeurs négatives importantes car les découvertes s'amenuisent mais la production diminue dans le même temps. Ce qui compte c'est le débit et l'écart qui se creuse entre la production et une demande qui ne peut être satisfaite.
On tergiverse sur la déplétion mais ça n'a pas d'importance, les réserves diminuent, certe, mais il y en a encore pour trés longtemps. Eternel refrain, il n'y en aura pas pour tout le monde et c'est la fin du pétrole bon marché qui importe, non la fin du pétrole. Ca fait toujours du bien d'asséner des vérités comme celle-là.
Le point important, c'est que nous sommes en déplétion depuis une vingtaine d'années. A tous ceux qui nous disent que la sismique 3D va nous sauver, la réponse est là. Ils n'ont pas réussi à infléchir la courbe.
Bon, j'me lève, ça va chauffer.
La déplétion d'un champs, c'est bien - la production/les réserves - P/R. Les réserves de départ sont fixes et n'augmentent pas, le champs rentre en déplétion dés le premier jour.
Les réserves globales varient en fonction de la production et des découvertes. Si l'on compare avec la déplétion de la couche d'ozone, il y a déplétion quand elle diminue et réplétion quand elle se reforme.
Pour l'état des réserves de pétrole, l'étude de sa variation ce n'est pas P/R mais - (Découvertes - Production)/Réserves - (D-P)/R.[list]Si (D-P > O) Réplétion
Si (D-P <0) Déplétion[/list]
[img]http://img147.imageshack.us/img147/6307/courbesrevisees5tq.png[/img]
A ce moment là, parler de déplétion a un sens et la seule erreur qu'il y aurait sur le dessin de ASPO France, serait de prendre la courbe de production,(celle du PO) à la place de la courbe des réserves.
Ce qui cloche, c'est que ça ne donne pas les mêmes valeurs que le tableau de l'ASPO.
Il n'empêche que le taux de déplétion ainsi calculé n'atteindra jamais de valeurs négatives importantes car les découvertes s'amenuisent mais la production diminue dans le même temps. Ce qui compte c'est le débit et l'écart qui se creuse entre la production et une demande qui ne peut être satisfaite.
On tergiverse sur la déplétion mais ça n'a pas d'importance, les réserves diminuent, certe, mais il y en a encore pour trés longtemps. Eternel refrain, il n'y en aura pas pour tout le monde et c'est la fin du pétrole bon marché qui importe, non la fin du pétrole. Ca fait toujours du bien d'asséner des vérités comme celle-là.
Le point important, c'est que nous sommes en déplétion depuis une vingtaine d'années. A tous ceux qui nous disent que la sismique 3D va nous sauver, la réponse est là. Ils n'ont pas réussi à infléchir la courbe.