[Maritime] Le transport maritime mondial

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Et le Baltic Dry Index est à 363 points.

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Le Baltic Dry Index est à 358 points., la routine.

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Vidéo : retour en images sur le démantèlement sous-marin du « Baltic Ace »

Publié le 21/01/2016 lemarin.fr

Comment renflouer une épave de 148 mètres contenant à son bord 1 417 voitures neuves en la découpant sous l’eau ? Le groupe néerlandais Royal Boskalis revient en images sur l’opération de démantèlement en mer du Nord du Baltic Ace, ce navire transporteur de voitures qui a coulé le 6 décembre 2012 au large de Rotterdam à la suite d’une collision avec le porte-conteneurs Corvus J.

Dix-huit navires et plus de 100 personnes ont travaillé au total sur ce chantier hors norme qui s’est déroulé entre mars et octobre 2013. L’enjeu était d’éliminer définitivement cet obstacle sur la route maritime qui dessert Rotterdam, le plus important port d’Europe.

Techniquement, il a d’abord fallu récupérer les 456 000 litres de carburant restés dans les citernes du navire en le réchauffant pour pouvoir le pomper. La suite est tout aussi spectaculaire. L’épave trop abîmée ne pouvant pas être relevée, il a été décidé de la découper en huit tronçons sous l’eau. 13 000 tonnes de matériaux ont ainsi pu être récupérées et recyclées à terre pour une grande partie. Fin octobre, le chantier était achevé, en avance de deux mois sur la date contractuelle qui avait été fixée au 31 décembre 2013.


Le « Baltic Ace » avait coulé avec 1 417 voitures neuves à son bord. (Photo : Marc Ottini)

http://www.lemarin.fr/secteurs-activite ... -du-baltic

[Alturiak]

Merci pour le partage, la vidéo est passionnante.

Sacré fil à beurre (pour une sacrée "motte" d'acier) ! Et sacré boulot d'aller récupérer jusqu'à la moindre carcasse de voiture !

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Merci pour le partage, la vidéo est passionnante.

Sacré fil à beurre (pour une sacrée "motte" d'acier) ! Et sacré boulot d'aller récupérer jusqu'à la moindre carcasse de voiture !

Beau boulot en effet.

Photo : récupération de la proue après découpe. et des voitures.

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Un destroyer américain carbure (partiellement) à la graisse de bœuf

Publié le 25/01/2016 lemaaarin.fr

Il carbure à la graisse de bœuf. Le premier navire de combat américain à utiliser en opérations du biocarburant, le destroyer USS Stockdale, a appareillé le mercredi 20 janvier de la base aéronavale de North Island, en Californie.

L’USS Stockdale fait partie du groupe aéronaval déployé autour du porte-avions nucléaire USS John C. Stennis. Celui-ci expérimente le recours aux carburants alternatifs aux énergies fossiles, ce qui inclut l'énergie nucléaire, dans le cadre du programme de l’US Navy baptisé Great Green Fleet (la grande flotte verte).

Le secrétaire à la Marine, Ray Mabus, et le secrétaire à l’Agriculture, Tom Vilsack, ont salué le départ du premier groupe aéronaval « vert » de l’US Navy. Après la cérémonie, ils se sont rendus à bord du destroyer USS William P. Lawrence pour assister à un ravitaillement en mer en biocarburant depuis le pétrolier ravitailleur USNS Guadalupe.

Un pouvoir énergétique moindre

Le mélange alimentant les moteurs des navires d’escorte du porte-avions contient un biocarburant fabriqué à partir de la graisse de bœuf (ou suif) fournis par des agriculteurs du Midwest. « Il a été acheté à un prix compétitif », souligne l’US Navy, dans l’optique de faire des biocarburants une part de l’approvisionnement régulier des navires militaires américains.

La marine américaine a cependant revu ses ambitions à la baisse. Les navires de surface accompagnant le John C. Stennis vont utiliser un mélange composé de 90 % de fuel à base de pétrole et de 10 % de biocarburants, en majeure partie à base de graisse de bœuf. À l’origine, le projet visait à un mélange 50-50. Cette proportion a dû être revue car le pouvoir énergétique des biocarburants reste moindre que celui du fuel conventionnel.

L’US Navy affirme que les sources d’énergies alternatives, ce qui comprend aussi le solaire, pourrait lui fournir la moitié de l’énergie dont elle a besoin à l’horizon 2020. Selon elle, le recours aux biocarburants est susceptible de faire baisser sa facture énergétique. Il reste à savoir si ces perspectives restent bien d’actualité avec un prix du baril de pétrole qui a chuté aux environs de 30 dollars.

http://www.lemarin.fr/secteurs-activite ... e-de-boeuf

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en relation avec ce post du 23 dec 2015 viewtopic.php?p=384208#p384208

ECOSLOPS PROJETTE D’IMPLANTER UNE UNITE DE RECYCLAGE DANS LE PORT DE CONSTANTA SUR LA MER NOIRE

15 dec 2015

ECOSLOPS, entreprise technologique innovante transformant les résidus pétroliers issus du transport maritime (slops et sludge) en nouveaux carburants marins recyclés, annonce la signature d’une Lettre d’Intention, avec Grup Servicii Petroliere, pour étudier l’implantation d’une unité de recyclage des résidus pétroliers dans le port roumain de Constanta, sur la mer Noire.

Vincent Favier, Directeur Général d’ECOSLOPS, déclare : « La démonstration de l’efficacité de notre outil industriel de Sinès, qui recycle et valorise plus de 98% des résidus pétroliers collectés, illustre la pertinence de notre modèle, renforce notre confiance et consolide les bases du développement de nouvelles implantations. Le port de Constanta est idéalement situé et GSP, compte tenu de sa grande expérience industrielle et sa profonde connaissance de la région, est le partenaire idéal pour développer ce projet significatif. »

ECOSLOPS vient de signer une Lettre d’Intention avec le Grup Servicii Petroliere (GSP), groupe très bien implanté dans le port de Constanta, pour explorer la faisabilité de l’implantation d’une unité de traitement des résidus pétroliers dans ce port roumain sur la mer Noire. Si l’issue de cette étude est positive, ECOSLOPS et GSP créeront une joint-venture pour construire et gérer cette unité et en commercialiser ses produits.

Sur la côte ouest de la mer Noire, le port de Constanta est l’un des principaux centres de distribution de produits pétroliers pour l’Europe centrale et de l’est et est connecté, via les canaux mer Noire - Danube et Danube - Rhin, au port de Rotterdam ou GSP est également implanté. Du port de Constanta, ou se trouve la raffinerie de Petromidia (d’une capacité annuelle de 5 M tonnes) propriété du groupe KazMunayGas - ROMPETROL, cette unité pourrait notamment collecter les résidus pétroliers des ports Bulgares, Turques, Ukrainiens, Russes et Georgiens.

Ce projet s’inscrit dans la foulée de la démonstration de la capacité de l’outil industriel de Sinès à recycler et valoriser la quasi-intégralité des résidus pétroliers, en carburant marin et produits techniques pour les marchés du bâtiment et de la construction. Il conforte l’ambition d’ECOSLOPS, annoncée lors de son introduction en Bourse, d’avoir trois nouvelles unités industrielles opérationnelles d’ici 2017. Ainsi, ECOSLOPS poursuit les travaux d’implantation en Côte d’Ivoire et ses discussions avec d’importants opérateurs portuaires, tant en Europe du Nord que dans la zone Méditerranée.

http://www.businesswire.com/news/home/2 ... 006327/fr/

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On en avait fini avec le « Baltic Ace , voila un nouveau candidat possible à la péche à l' épave :

Le « Modern Express » poursuit sa dérive dans le golfe de Gascogne

Publié le 27/01/2016 lemarin.fr

Le car-carrier Modern Express, en mauvaise posture dans le golfe de Gascogne depuis la veille, se trouvait toujours à la dérive le mercredi 27 janvier à la tombée de la nuit. Situé au droit de La Rochelle, le navire de 164 mètres de long se rapprochait à 3 nœuds vers l’embouchure de l’estuaire de la Gironde.

La mauvaise météo sur zone empêchait toute intervention de l’Abeille Bourbon, arrivé à 12 h 30, à proximité du navire dont la relocalisation au petit jour avait nécessité l’envoi d’un Falcon 50 de la Marine nationale, stationné à Lann-Bihoué. Le remorqueur et son équipage devaient cependant passer la nuit sur le secteur pour y assurer la sécurité des autres navires.

« Le seul danger que représente le « Modern Express » est pour la navigation. Il est encore très loin de la côte et ne transporte aucun produit dangereux ou pouvant entraîner une pollution », expliquait-on à la préfecture maritime de l’Atlantique. L’armateur du navire, chargé de bois et d’engins de travaux publics, avait jusqu’à ce jeudi 9 h pour présenter son plan d’action.

Victime d’une très forte gîte, au-delà de 40 %, le Modern Express a nécessité, le mardi 26 janvier, l’intervention des sauveteurs espagnols pour évacuer à bord de deux hélicoptères les 22 membres de l’équipage du bateau battant pavillon du Panamá.


Parti du Gabon, le « Modern Express » faisait route vers Le Havre. (Photo : préfecture maritime)

http://www.lemarin.fr/secteurs-activite ... e-gascogne

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la gite passe de 40° à 50° !

L'Abeille Bourbon vole au secours d'un navire sur le point de chavirer

le 27/01/2016

Le navire roulier Modern Express se trouve toujours en grande difficulté au large de la pointe nord-ouest de l’Espagne. Il accuse une très forte gîte de près de 50°.

Ce matin, le remorqueur de haute mer Abeille Bourbon, basé à Brest, est arrivé sur zone pour assurer la sécurité aux abords. Les conditions météo très difficiles et la gîte de 50° empêchent une équipe d’évaluation de monter à bord du Modern Express. Le navire, qui se trouve à 150 miles au large de La Corogne (nord-ouest de l'Espagne), continue à dériver.

Sa gîte s'est produite après le désarrimage de sa cargaison dans le mauvais temps. Il transporte 3 600 tonnes de bois de placage et des engins de travaux publics.

Mardi après-midi, craignant que son bateau ne sombre, le capitaine avait lancé un SOS. Les secours en mer espagnols avaient hélitreuillé les vingt-deux membres d'équipage.

http://www.ouest-france.fr/bretagne/bre ... ss-3997864

[kercoz]

Marrant qd m^me qu'avec un petrole aussi bas , le dry plonge :

"""""""""""""""""""27 January 2016

Baltic Dry Index (BDI) -8 337"""""""""""""""""""""

[phyvette]

Baltic Dry Index : 337 points -> moins 8 points

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Des moyens supplémentaires ont été dépêchés sur zone. (Photo : préfecture maritime)

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« Modern Express » : échec d'une tentative de remorquage

Publié le 28/01/2016 lemarinfr

L’épilogue de l’histoire du Modern Express, en perdition depuis le mardi 26 janvier dans le golfe de Gascogne, n’est pas écrit. Le navire de 164 mètres poursuit sa dérive vers l'est sud-est, à un nœud. Une première tentative de prise en remorque a échoué le vendredi 29, alors que le navire était à 148 milles à l'ouest de La Rochelle.

Le vent ayant molli, le car-carrier se rapprochait, toutefois, moins vite que la veille de la côte charentaise. Restait à trouver une solution pour mettre fin au danger représenté par ce navire.

L’armateur s’en est remis, pour cela, à la société Smit Salvage, intervenue entre autres lors du naufrage du Rokia Delmas, à l’île de Ré, à la fin 2006. Le préfet maritime a accepté, dans la matinée du vendredi 29, le plan d'action présenté par l'armateur, qui a engagé deux remorqueurs espagnols, le Centaurus et le Ria de Vigo.

Une équipe de 4 personnes de Smit Salvage est montée à bord du navire à 13 h 45, pour préparer le navire pour un remorquage. Mais cette intervention a été contrecarréé par la forte gîte et des mouvements liés à la houle (de 4 à 5 mètres).

La ligne de passage légère fournie par le Centaurus a rompu, empêchant la mise en place de la remorque. Un membre de l'équipe de sauvetage a même été légèrement blessé et les opérations ont été arrêtées avant la nuit.

L’État avait, pour sa part, dépêché des moyens supplémentaires. Dès la matinée de jeudi, l’Abeille Bourbon, sur le secteur depuis le mercredi midi, a été rejointe par la frégate de lutte anti-sous-marine Primauguet. Le BSAD Argonaute, équipé de moyens antipollution, les a rejoints le vendredi matin.

http://www.lemarin.fr/secteurs-activite ... s-sur-zone

La forte gîte du cargo, de 40 à 50 degrés est stabilisée, et le navire ne présentait vendredi pas d'entrée eau apparente.

http://www.europe1.fr/faits-divers/carg ... di-2659561

[phyvette]

Baltic Dry Index : 317 points

http://www.dryships.com/pages/report.php

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la tentative de hier mais qui a échoué :

vidéo youtube : https://www.youtube.com/watch?v=aE5nn0ppJ-0

Vendredi soir, une première tentative de remorquage a eu lieu, un échec en raison de la forte houle. Ce samedi matin, une deuxième manœuvre doit se tenir en fin de matinée. Il s'agit de passer un câble autour du monstre de 364 mètres de long.

http://www.rtl.fr/actu/societe-faits-di ... 7781622570