
Que les pauvres prennent le train

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Sauf s'ils balancent des canettes par la "fenêtre".Orion a écrit :La bonne chose c'est qu'une fois dans l'espace, ça ne pollue pas !
Ca n' a rien à voir !Orion a écrit :Par contre les offres actuelles de Virgin Galactic et d'Astrium ne doivent être qu'une étape vers des stations permanentes (ISS ou base lunaire).
Astrium espère démarrer en 2008 un programme d'engin capable d'effectuer au départ de n'importe quelle piste des voyages d'1h30 offrant à quatre passagers un vol suborbital de trois minutes en apesanteur.
Comment ça, ça n'a rien à voir ?energy_isere a écrit :Ca n' a rien à voir !Orion a écrit :Par contre les offres actuelles de Virgin Galactic et d'Astrium ne doivent être qu'une étape vers des stations permanentes (ISS ou base lunaire).
Ces offres touristiques ne sont que des sauts de puce. Rien de comparable avec un départ sur orbite et encore moins vers la Lune.
et comme il n' y a quasiment aucune vitesse tangentielle, il n' y pas besoin de la phase de freinage dans l' atmosphére, et donc pas besoin de tuiles thermiques pour protéger l' engin.(Libération)
Balistique.
Cela ressemble à un avion où des jeunes gens sveltes, beaux, en combinaison sportive flottent face aux hublots. Ambiance confortable, design luxueux, le parfum de l’aventure spatiale offert à tous. Ce pourrait être une belle histoire d’ingénieurs ouvrant une nouvelle voie vers les étoiles. C’est du moins ce que François Auque, le PDG d’Astrium, tente de faire croire en racontant la gestation de ce concept. Depuis deux ans, dans le plus grand secret, une équipe travaille à affiner le meilleur «avion fusée». Une mission possible pour EADS : avions, fusées, équipements spatiaux, l’entreprise sait tout faire. Et le défi technique, déjà relevé par le Space Ship One de Bert Rutan (1) en juin 2004, est à sa portée. Il est même possible que la revendication par Auque du «meilleur concept» soit exacte. Un avion format jet d’affaire, propulsé par deux turboréacteurs jusqu’à 12 km d’altitude. Là son moteur-fusée cryogénique, à oxygène liquide et méthane, prend le relais et éjecte l’engin de l’atmosphère. Après l’arrêt de la propulsion, l’avion parcourt une parabole, passe par un pic à environ 100 km, puis retombe. C’est lors de cette phase dite balistique que les passagers jouissent d’une «vue imprenable sur la Terre et les étoiles» et d’une très faible microgravité. Elle ne dure que trois minutes. Ensuite, l’engin pique vers le sol, retrouve l’atmosphère, ralentit par frottement sur l’air. Puis, à 12 km, le pilote allume ses moteurs et atterrit.
Edit : Je viens de regarder, en résumé si on en croit les "spécialistes" invités, dans une trentaine d'années ce genre de voyage de loisir sera bien démocratisé et les hommes d'affaire feront New York-Tokyo en 1h à Mach 18. Optimisme de rigueur, il faut faire rêver.Prenez votre ticket pour l'espace
Présentés à l'occasion du 47e Salon du Bourget, qui se tiendra jusqu'à dimanche, plusieurs projets d'avions-fusées destinés à démocratiser le tourisme spatial voient le jour. Si jusqu'ici, seuls cinq touristes ont embarqué dans des fusées pour 20 millions de dollars, le marché potentiel de ces voyageurs serait évalué à 40 000 personnes, qui seraient prêtes à débourser 150 000 euros pour tenter l'aventure.
et pourtant !Tiennel a écrit :A part ça, on ne sait plus faire voyager les hommes d'affaires à Mach 2 comme le faisait Concorde, mais c'est un détail. L'industrie aéronautique est déjà en décroissance (pour ne pas dire régression) technologique, mais chut ! C'est un secret d'Etat
http://tempsreel.nouvelobs.com/depeches ... t_daf.htmlBourget:le supersonique, prochaine étape du transport d'affaires
Alors qu'aujourd'hui, il n'existe que des images de synthèse ? C'est du grand n'importe quoi. Et on tartine sur Lockheed Martin, mais on reste évidemment discret sur le nom du motoriste, vu qu'on ne l'a pas encore trouvétechno-sciences a écrit :Le premier vol d'essai est prévu en 2011
http://www.aerocontact.com/actualite_ae ... 09802.htmlPremier vol captif de VSS Enterprise, la navette de Virgin Galactic
Aerocontact 23/03/2010
Le premier vol du VSS Enterprise. © Virgin Galactic / Mark Greenberg
VSS Enterprise a rejoint les airs. La navette spatiale de Virgin Galactic a effectué son vol inaugural sous l’aile du vaisseau mère WhiteKnightTwo le 22 mars. Celui-ci marque le lancement du programme d’essais en vol du vaisseau.
WhiteKnightTwo (également dénommé VMS Eve) et VSS Enterprise ont décollé de l’aéroport spatial de Mojave, en Californie, à 7h05 heure locale (15h05 à l’heure de Paris) et sont restés près de trois heures dans les airs, atteignant une altitude de 45 000 pieds. La navette est restée captive durant tout le vol.
Le programme d’essais maintenant lancé devrait se dérouler sur 2010 et 2011. Il débutera par des vols captifs comme celui-ci, puis la navette se détachera du vaisseau mère pour atterrir en vol plané – comme il est prévu que se déroulent ses atterrissages lors des vols commerciaux. Enfin, la propulsion sera testée.
Virgin Galactic a prévu de proposer des vols spatiaux touristiques dès 2011. VMS Eve portera alors VSS Enterprise à une altitude de 50 000 pieds (16km), où elle sera larguée. Là, la navette allumera son réacteur pour se propulser dans l’espace, à une altitude maximale de 110km. Elle pourra emporter six touristes spatiaux qui profiteront de quelques minutes d’apesanteur avant de redescendre sur Terre en vol plané.