Ce que nous perdons (biodiversité)

Discussions concernant les conséquences sur l'environnement de la course aux ressources.

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Re: L'écologie expliquée aux nuls

Message par energy_isere » 23 mars 2015, 18:44

L'éléphant d'Afrique disparu d'ici 20 ans?

23 Mars 2015

L'éléphant d'Afrique pourrait avoir disparu à l'état sauvage d'ici une à deux décennies, ont prévenu des experts réunis au Botswana pour tenter de sauver cet emblématique géant.

Selon eux, des mesures très énergiques doivent être prises dès maintenant pour sauver les pachydermes africains.

..................
http://ici.radio-canada.ca/nouvelles/sc ... udes.shtml

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Re: Ce que nous perdons (biodiversité)

Message par energy_isere » 03 avr. 2015, 19:42

Création du parc marin de la Gironde et des pertuis charentais

le 03/04/2015 lemarin.fr

Ce samedi 4 avril, Ségolène Royal signera le décret de création du septième parc naturel marin de France : celui de l’estuaire de la Gironde et de la mer des Pertuis charentais. Un projet enlisé depuis 2010, puis relancé par la ministre de l’Écologie en juin 2014.
http://www.lemarin.fr/secteurs-activite ... es-pertuis

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Re: Ce que nous perdons (biodiversité)

Message par kercoz » 03 avr. 2015, 20:09

Je n' arrive pas a trouver le lien, mais à l' occasion de la création d' un parc maritime corse, un article précisait que notre % de cotes en parc était RIDICULE au regard de la moyenne mondiale des pays.
L'Homme succombera tué par l'excès de ce qu'il appelle la civilisation. ( Jean Henri Fabre / Souvenirs Entomologiques)

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Re: Ce que nous perdons (biodiversité)

Message par energy_isere » 04 avr. 2015, 13:37

Il faudra des millénaires pour rétablir les écosystèmes marins

LES ECHOS | LE 04/04

Le réchauffement climatique provoque notamment une désoxygénation des océans. Plusieurs milliers d’années seront nécessaires pour en effacer les conséquences.

Les écosystèmes océaniques altérés par le rapide changement climatique pourraient avoir besoin de plusieurs milliers d’années pour se remettre du réchauffement, selon une étude effectuée sur des fossiles de coquillages dans les fonds marins menée par des scientifiques américains.

Ces travaux, dirigés par l’écologiste marine Sarah Moffitt, de l’Université de Californie à Davis, montrent que le réchauffement climatique et la désoxygénation des eaux de l’océan qu’il provoque peut très rapidement modifier l’écologie de ce milieu. La récupération peut alors prendre des milliers d’années, pas seulement des siècles comme on le pensait jusqu’alors, concluent ces chercheurs. Leur étude paraît dans les Comptes rendus de l’académie américaine des sciences ( PNAS ).

Ces scientifiques ont analysé plus de 5.400 fossiles d’invertébrés, allant des oursins aux palourdes, dans une carotte de sédiments prélevée au large de Santa Barbara, en Californie. Cette carotte de dix mètres de longueur couvre une période remontant de 3.400 à 16.100 ans, ouvrant des fenêtres sur ce qui s’est passé dans les écosystèmes marins avant, pendant et après la dernière grande période de glaciation allant d’il y a 110.000 à 10.000 ans.

Perte d’oxygène

La déglaciation a été une période de réchauffement rapide du climat et de fonte des glaces polaires avec la formation de zones étendues dans l’océan dans lesquelles les niveaux d’oxygène de l’eau étaient plus faibles. Les études précédentes des carottes sédimentaires des fonds marins se concentraient essentiellement sur des organismes unicellulaires appelés foraminifères et peu sur les formes de vie multicellulaires comme les invertébrés, précisent les auteurs.
L’analyse des différentes couches de cette carotte de sédiments marin montre qu’avant le réchauffement des écosystèmes abondants et divers vivaient dans les fonds marins, dont les eaux étaient bien oxygénées. Ensuite, ces chercheurs ont observé une période de réchauffement et de perte d’oxygène dans les océans, suivie par une réduction rapide de la diversité. Les fossiles ont quasiment disparu dans cette partie de la carotte sédimentaire qui correspond à un appauvrissement des eaux de l’océan en oxygène.

Des effets drastiques

Les scientifiques ont calculé que les niveaux d’oxygène dans les océans ont diminué dans des proportions limitées, de 0,5 à 1,5 millilitre par litre d’eau en moins d’un siècle. Cela montre que même de petits changements peuvent avoir des effets drastiques sur les écosystèmes des fonds marins. Ces résultats suggèrent que le changement climatique de la planète pourrait provoquer des effets similaires sur les écosystèmes, qui auront besoin de millénaires pour récupérer. « Ce phénomène observé dans le passé nous montre combien les écosystèmes sont sensibles aux changements du climat terrestre avec des conséquences pour des millénaires », souligne Sarah Moffitt. « C’est une réalité à laquelle nous devons nous confronter en tant que scientifiques mais aussi comme citoyens qui se préoccupent de l’environnement », ajoute-t-elle.

Une recherche publiée en 2014 dans Global Change Biology montrait que le réchauffement climatique contribue bien à la formation de zones mortes dans les océans, les lacs et rivières. Les auteurs en ont dénombré 476 autour desquelles, selon leurs modèles informatiques, la température devrait augmenter d’un peu plus de deux degrés au cours des prochaines décennies.
http://www.lesechos.fr/idees-debats/sci ... 108439.php

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Message par williams » 10 avr. 2015, 20:27

Le Québec... prétend que la disparition des espèces de tortues est due au changement climatique !

Pourtant regardez ceci : http://villecomtalarros.canalblog.com/a ... 96351.html

Encore tout ceci ne concerne pas que les tortues.

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Message par Lansing » 11 avr. 2015, 09:28

Vous n'avez pas lu l'article jusqu'au bout et vous le présentez de manière tronquée, comme l'auteur des photos d'ailleurs.
Lisez entièrement les liens que vous donnez, c'est le minimum de l’honnêteté intellectuelle.
Si vous avez des problèmes avec la perte de biodiversité je vous conseille, comme sur un autre fil, de suivre le cycle de conférences de M. Gilles Boeuf au Collége de France sur ce sujet.
Comme vous semblez apprécier les Pyrénées ça tombe bien, Gilles Boeuf est Président de la réserve naturelle nationale de la forêt de la Massane.
Je suis certain que si vous arrivez à appréhender suffisamment le sens de ces conférences vos petites certitudes en seront ébranlées.
Et au moins vous aurez pris l'information à une source respectée de ses pairs et pas dans vos multiples références foireuses.
Ne nous prenez pas pour des poires, williams.

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Re: Ce que nous perdons (biodiversité)

Message par williams » 11 avr. 2015, 09:35

Lansing a écrit :Vous n'avez pas lu l'article jusqu'au bout et vous le présentez de manière tronquée, comme l'auteur des photos d'ailleurs.
Lisez entièrement les liens que vous donnez, c'est le minimum de l’honnêteté intellectuelle.
Si vous avez des problèmes avec la perte de biodiversité je vous conseille, comme sur un autre fil, de suivre le cycle de conférences de M. Gilles Boeuf au Collége de France sur ce sujet.
Je suis certain que si vous arrivez à en appréhender suffisamment le sens, vos petites certitudes en seront ébranlées.
Et au moins vous aurez pris l'information à une source respectée de ses pairs et pas dans vos multiples références foireuses.
Ne nous prenez pas pour des poires, williams.
Comme vous dites je n'ai pas lu le site par faute de temps à ce moment là car c'est suite a un émail que j'ai reçu montrant exactement les même photos et disant ce que j'ai écris. "pillage des tortues marines".

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Re: Ce que nous perdons (biodiversité)

Message par energy_isere » 13 avr. 2015, 15:27

Lansing a écrit :Vous n'avez pas lu l'article jusqu'au bout et vous le présentez de manière tronquée, comme l'auteur des photos d'ailleurs.....
j' ai lu, et effectivement il faut aller trés loin dans le long texte pour voir de quoi il retourne en fait.
Il s' agit de collecte et commercialisation trés encadrée conjointement avec une préservation/conservation trés efficace des oeufs / écloserie de ces tortues.

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Re: Ce que nous perdons (biodiversité)

Message par kercoz » 19 avr. 2015, 09:26

C'est marrant. Un système à premiere vue pervers, ...qui devient vertueux ...mais qui doit qd même être perverti , vu le prix de l' omelette ...il autorise un détournement peu visible puisqu'enrichissement facile
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Re: Ce que nous perdons (biodiversité)

Message par energy_isere » 14 mai 2015, 13:33

Les Etats-Unis connaissent des pertes d’abeilles sans précédent

Le Monde.fr | 13.05.2015

L’université américaine du Maryland a rendu publics, mercredi 13 mai, les résultats de son enquête annuelle sur les mortalités d’abeilles. Les chiffres présentés donnent à voir une catastrophe inédite. Selon les données recueillies, les apiculteurs américains ont perdu en moyenne 42,1 % de leurs colonies entre avril 2014 et avril 2015. Pour la première fois, les mortalités hivernales ont été inférieures aux mortalités intervenues au cours de la saison d’activité des ruches – le printemps et l’été –, une situation décrite comme « inédite et tout à fait exceptionnelle » par l’apidologue Dennis van Engelsdorp, maître de conférences en entomologie à l’université du Maryland et coauteur de l’enquête.

................
http://www.lemonde.fr/biodiversite/arti ... 52692.html

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Re: Ce que nous perdons (biodiversité)

Message par energy_isere » 21 mai 2015, 18:35

Japon: Une étude tente de légitimer la chasse à la baleine dans l'archipel

Plus que jamais controversée, la chasse « scientifique » à la baleine a récemment reçu un coup de pouce inattendu quand des chercheurs japonais ont assuré que la consommation de viande de cétacé était susceptible de prévenir la démence et les troubles de mémoire.

Fondés sur des expériences menées sur des souris, ces travaux tombent à point nommé pour le Japon, alors que le pays se retrouve une nouvelle fois sur la sellette devant la Commission baleinière internationale (CBI), réunie depuis mardi à San Diego (Californie). Les négociateurs japonais s’y efforcent de convaincre la CBI de la crédibilité scientifique de la chasse qu’ils défendent.

L’Archipel a déjà été épinglé par la Cour internationale de Justice
Malgré le tollé international, le Japon veut en effet continuer de capturer des cétacés « au nom de la science », même si une grande partie de la chair (un mets traditionnel) finit sur les étals des marchés.

Les pêcheurs japonais ont déjà dû renoncer, pour la saison 2014-2015, à prendre la mer en Antarctique, en raison d’une décision de la Cour internationale de Justice (CIJ), saisie par l’Australie : d’après la juridiction, le Japon avait une interprétation abusive de l’exemption scientifique (prévue par un moratoire sur la chasse à la baleine) et poursuivait en réalité des objectifs commerciaux, alors que la chasse à la baleine commerciale est interdite depuis 1982.

L’argument scientifique avancé

Le Japon, un des rares pays au monde à autoriser cette pratique (avec la Norvège et l’Islande), argue que la population mondiale des baleines, particulièrement des petits rorquals (ou baleines de Minke), est assez nombreuse pour s’accommoder d’un quota de prises annuelles de 333 têtes en Antarctique, Tokyo affirmant en outre que son programme pourrait permettre une meilleure compréhension des écosystèmes marins.

« L’objectif de la recherche japonaise est la science. La science garantit que la chasse commerciale sera viable lorsqu’elle reprendra », insiste l’Institut de recherche sur les cétacés (ICR), un organisme public du pays.

Les écologistes dénoncent la pratique

Mais pour les organisations écologistes, il n’est plus nécessaire de mettre à mort des cétacés pour calculer leur espérance de vie et observer leur régime alimentaire.

« L’ICR n’a plus vraiment d’arguments pour s’autojustifier. S’il est incapable de recueillir des données suffisantes en tuant des milliers de baleines, on peut bien parler d’un échec de la science », avance ainsi Junichi Sato, un militant de Greenpeace au Japon. La recherche japonaise « n’est pas vraiment de la science » et ses partisans « travaillent davantage à réaliser un vœu politique [reprendre la chasse commerciale] qu’au nom d’un jugement objectif », conclut l’activiste.
http://www.20minutes.fr/sciences/161319 ... e-archipel

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Message par energy_isere » 26 mai 2015, 21:04

:-(
La moitié des éléphants décimés en cinq ans au Mozambique

Par Adrien Barbier (contributeur Le Monde Afrique, Maputo, Mozambique)
Le Monde.fr| Le 26.05.2015

« Le dernier comptage réalisé au Mozambique montre une baisse dramatique de 48 % du nombre d’éléphants dans les cinq dernières années, passant de 20 000 à 10 300 individus. Cette baisse est due au braconnage effréné qui vise les populations d‘éléphants les plus nombreuses », déclarait l’organisation américaine Wildlife Conservation Society (WCS), dans un communiqué diffusé mardi 26 mai.

L’organisation américaine, qui a réalisé ce recensement par avion sur un échantillon de 10 % du territoire, précise en outre que 95 % des éléphants décimés l’ont été dans la partie nord du Mozambique, qui jouxte la frontière avec la Tanzanie. Un fléau qui s’explique par la venue en masse de braconniers tanzaniens, alors que le nombre d’éléphants dans leur pays a également été nettement réduit.

« Le principal enjeu est un problème de gouvernance. Le nord du pays a toujours été reclus et peu gouvernable, avec de forts niveaux de corruption. Certains policiers et douaniers se font facilement acheter, d’autres louent même leurs armes aux braconniers », explique Alastair Nelson, le directeur de WCS au Mozambique. L’ONG administre la réserve de Niassa dans le nord du pays pour le compte du gouvernement. Une réserve qui concentrait jusque-là 70 % des éléphants au Mozambique sur 42 000 km2, et n’en compte plus qu’environ 4 400 – 43 % des éléphants observés au cours du recensement étaient des carcasses.

D’après lui, le braconnage devient une question de politique étrangère. « La simple nécessité de protéger les éléphants ne convainc pas les populations, car les communautés rurales perçoivent surtout ces animaux comme un danger, ajoute-t-il. Il faut plutôt leur faire réaliser que les braconniers tanzaniens apportent des armes et des munitions dans leur pays, qu’ils tuent les éléphants et prennent leur ivoire. Cela pose un problème en termes de sécurité et empêche le développement économique et le tourisme dans cette région du Mozambique ».

Le ministre mozambicain de l’environnement, Celso Correia, signait justement le 25 mai à Maputo un accord de coopération avec son homologue tanzanien sur la lutte contre le braconnage et l’exploitation illégale du bois, un autre fléau qui touche ces territoires protégés et reculés.

Désigné au début de l’année 2015, le nouveau ministre a assuré faire de ces enjeux des questions prioritaires, alors que le Mozambique a tardé à se lancer dans la chasse aux braconneurs.

Montré du doigt en 2013 par WWF, le pays a fini par adopter une nouvelle législation sur la biodiversité en juin 2014 qui criminalise l’abattage d’animaux protégés. Jusque-là, les braconniers arrêtés s’en sortaient généralement avec une simple amende pour port d’arme illégal.
http://www.lemonde.fr/afrique/article/2 ... _3212.html

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Message par williams » 26 mai 2015, 22:56

Il est sûr que tout ceci est dramatique mais comme dis ici voilà qu'on n'en parle pas bp et que l'Etat ne s'en occupe pas tellement comme il n'y a pas question d'argent contrairement au CO2 qu'on nous parle bp avec le réchauffement de la Terre ou...

Donc quand l'Etat nous parle d'environnement c'est plus souvent question d'argent que d'écologie malheureusement.

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Re: Ce que nous perdons (biodiversité)

Message par kercoz » 27 mai 2015, 12:12

tres peu d' abeilles cette année....mon instrument de mesure est une tonnelle ou je mange et qui est ombragé par des vignes mais aussi une grosse glycine blanche , à fleurs de pres d' 1 m. J' avais évalué les abeilles à plus de 150 /200 les autre années butinant simultanément et bien 10 à 20 carabes cuivrés.....cette année, c'est max 10 abeilles .
Plus curieux , quasi absence de pucerons sur les artichauts et les fèves ( un scoop!).
Tres peu de limaces aussi. moins de piafs.( mais plus de moto et de quad)
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Re: Ce que nous perdons (biodiversité)

Message par williams » 27 mai 2015, 21:48

Ici en Haute-Garonne par contre pour les limaces il y en a toujours autant quand je regarde tout les matins au jardin ou dans les fleurs voir en montagne.

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