Je suis entièrement d'accord avec toi. C'est beaucoup trop simpliste et binaire. Le but était simplement d'avoir des ordres de grandeur. Selon la stratégie employée (ou l'absence ...) le nombre de morts passe de 84 à 20 000, 200 000, 1 500 000. La seule chose de sûre est que ces chiffres sont faux, surtout le dernier. Mais pas le principe de la croissance démentielle du nombre de morts selon la stratégie. Ce que Boris a (partiellement ?) compris.LeLama a écrit : ↑18 mars 2020, 14:59Je ne suis pas trop convaincu par ta modelisation. Tant que l'epidemie circule, ca a du sens de dire "malade, pas malade, immunisé". Mais lorsqu'elle s'arrete, la garde se lève progressivement, il y a plein de gens qui ont été plus ou moins en contact avec le virus et qui sont plus ou moin immunisés. Ce n'est pas binaire.
Je ne dis pas ca pour etre tatillon, mais parce que ton modele ne me semble pas conforme a ce qui s'est passé historiquement. Il y a des resurgences des maladie qui apparaissent, mais me semble-t-il on est en genéral assez loin de la dangerosité de la premiere vague de contamination. Ce qui sous-entend que le virus a continué a circuler de facon latente apres la fin de la premiere vague, avec des immunisations partielles.
Mais je ne suis sur de rien. Je me ferai un plaisir de lire un avis contraire si je me trompe.
Sinon, pour les résurgences, on sait que le danger est grand mais difficile à quantifier. Cependant, avec des tests post épidémie (qq mois) on connaîtra le nombre d'immunisés. Précieux pour la suite jusqu'au vaccin.