ben en fait, si le PO arrive, il faudrait surtout éviter de se lancer à corps perdu dans le charbon, donc d'un certain coté agir le moins possible et laisser faire la dépletionTransparence a écrit :En fonçant dans l'iceberg, il faut être particulièrement optimiste pour penser que le Titanic n'aurait pas coulé (mais c'est de l'humour n'est-ce pas ?). Le capitaine du Titanic a malheureusement changé de cap trop tard. Idem avec le réchauffement : c'est aujourd'hui qu'il faut agir, dans 10 ans il sera trop tard.
Rechauffement climatique / effets économiques
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Le productivisme du l'URSS est effectivement pas un modèle !sceptique a écrit :Juste un remarque : le plus gros gâchis énergétique était en URSS ! Pas vraiment une économie mondialisée néo libérale.Alter Egaux a écrit :Il faudra un jour que tu nous expliques ta motivation pour critiquer le consensus scientifique qui se dégage sur le RC, tout en étant aveugle sur l'exploitation des ressources dans le monde, et le gâchis énergétique lié à la mondialisation néo libérale. Question peut être de priorité ?
Mais de là à ne pas faire l'auto critique du néo libéralisme qui c'est déjà rétamé plusieurs fois dans l'histoire de l'occident, sceptique, tu es très fort.
Effectivement, la taxe Jancovici est out. Il faut au moins la coupler avec les quotas.GillesH38 a écrit :Je ne sais pas si vous avez remarqué que la hausse du baril dépasse largement tout ce qu'on aurait pu mettre en place comme taxe carbone !!!
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La hausse du baril n'a pratiquement aucun effet sur notre comportement, cela ne sert qu'à construire des pistes de ski à Dubaï, et comme nous en sommes en partie les constructeurs, il y a un effet boomerang.Alter Egaux a écrit :Effectivement, la taxe Jancovici est out. Il faut au moins la coupler avec les quotas.GillesH38 a écrit :Je ne sais pas si vous avez remarqué que la hausse du baril dépasse largement tout ce qu'on aurait pu mettre en place comme taxe carbone !!!
Au lieu de quotas, je verrais plus un transfert des charges de la main d'oeuvre vers l'énergie, ce qui ferait augmenter le budjet énergie dans le panier de la ménagère et la nécessité de l'économiser.
Si au lieu de payer la sécu par des taxes sur les revenus du travail on la payait par des taxes sur l'énergie, il en irait tout autrement. L'état , les syndicats, les entreprises sont-ils préparés à un tel chanbardement?
Qui décide dans une société de consommation?
L'équilibre du panier de la ménagère bien sûr!
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Le choc aurait tué ou blessé grièvement les 2 tiers des passagers sans la garantie que le bateau n'aurait pas coulé.sceptique a écrit :Surtout pas virer de bord ! Si le Titanic avait continué droit dessus il aurait pulvérisé sa proue et 1 ou 2 compartiments. Des dégats non fatals. Par contre, en virant de bord, il a raclé tout son flanc et la majeure partie des compartiments on été éventrés!
Droit devant vous dis je, et après le choc, on improvise
"En avant toutes" pour la croissance économique industrielle aura le même effet pour la planète et l'humanité.
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Oh! non pitié pas les touristes sur nos petits 50 km de côte.
Et puis de toute façon il n'y aura plus de carburant pour le tourisme, donc le problème est règlé;; encore un coup dans l'eau pour la commission européenne
Et puis de toute façon il n'y aura plus de carburant pour le tourisme, donc le problème est règlé;; encore un coup dans l'eau pour la commission européenne
Mourir pour des idées, d'accord, mais de mort len....ente,d'accord mais de mort len.... en en te. Georges Brassens
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C'est déjà sur saturé de touristes casés dans d'immenses barres d'appartements. Peut-être qu'en coulant du béton dans les cages d'escaliers, elles pourront servir de digues conte l'élévation de la merDagobert a écrit :Oh! non pitié pas les touristes sur nos petits 50 km de côte.
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Les vins et spiritueux sont une source bien connue de devises pour notre économie.
Si le climat se modifie, il n'est pas besoin d'être un vigneron chevronné pour deviner que certains crûs ne pourront plus être cultivés aux mêmes endroits. Or un vin est le "fruit" (outre le savoir-faire du viticulteur) de l'équilibre entre l'espèce de raisin, l'ensoleillement, l'humidité, et le terroir.
Si on déplace une vigne vers le nord, afin de retrouver un ensoleillement précédent, on n'obtiendra plus jamais le même vin.
Et même si cela était le cas, ce n'est matériellement plus possible. Il faut avoir visité la région Champagne pour s'en rendre compte : 27 000 ha quasiment d'un seul tenant, seuls à avoir le droit à l'appellation Champagne, qui ont généré tellement de ressources que cette activité a éliminé toutes les autres dans cette région. Où déplacer 27 000 ha en France ?
Le RC ne signifiera pas la mort de cette activité : les vignerons trouveront toujours un moyen de faire pousser de la vigne malgré un ensoleillement en hausse et des précipitations en baisse.
Mais on ne vend pas du Boulaouane au prix du Krug.
http://www.vitisphere.com/breve.php?id_breve=52916
Si le climat se modifie, il n'est pas besoin d'être un vigneron chevronné pour deviner que certains crûs ne pourront plus être cultivés aux mêmes endroits. Or un vin est le "fruit" (outre le savoir-faire du viticulteur) de l'équilibre entre l'espèce de raisin, l'ensoleillement, l'humidité, et le terroir.
Si on déplace une vigne vers le nord, afin de retrouver un ensoleillement précédent, on n'obtiendra plus jamais le même vin.
Et même si cela était le cas, ce n'est matériellement plus possible. Il faut avoir visité la région Champagne pour s'en rendre compte : 27 000 ha quasiment d'un seul tenant, seuls à avoir le droit à l'appellation Champagne, qui ont généré tellement de ressources que cette activité a éliminé toutes les autres dans cette région. Où déplacer 27 000 ha en France ?
Le RC ne signifiera pas la mort de cette activité : les vignerons trouveront toujours un moyen de faire pousser de la vigne malgré un ensoleillement en hausse et des précipitations en baisse.
Mais on ne vend pas du Boulaouane au prix du Krug.
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2006 est une année record pour les exportations françaises de vins et spiritueux
Selon la FEVS, 2006 représente une année record pour les exportations françaises de vins et spiritueux grâce a des résultats excellents voire exceptionnels pour les produits phares, principalement vers les pays tiers. Cette évolution largement positive du secteur est due principalement :
- à la performance des vins effervescents et en particulier du CHAMPAGNE qui avec 2,141 milliards euros (+14,7%) retrouve le niveau record de 1999,
- à la forte progression aussi bien en volume qu’en valeur des SPIRITUEUX,avec 2,555 Milliards euros (+ 16,4 %), tirée principalement par les COGNAC (+11,4%),
- et a une année de nette reprise pour les VINS TRANQUILLES, confirmant les bons résultats de fin 2005, notamment sur les segments moyen et haut de gamme, +5,2% en volume a 143 millions de caisses et +9,9% en valeur à 3,89 Milliards euros
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Protection climatique et croissance économique sont incompatibles (Courrier International). C'est court, mais ça a le mérite d'aller droit au but...
ÉCONOMIE - Protection climatique et croissance économique sont incompatibles
Voilà deux semaines, les chefs d'Etat et de gouvernement de l'UE parvenaient à un "accord historique" sur la protection climatique. Michael Moravec note qu'ils ont conclu jeudi 22 mars un accord "tout aussi historique" avec les Etats-Unis en matière de transport aérien, afin d'améliorer le trafic transatlantique, mais aussi de l'augmenter. "Ces deux accords illustrent parfaitement le désastre : l'économie mondiale repose sur la croissance, et la croissance a besoin de beaucoup d'énergie. La stagnation n'est pas un problème quand la santé est bonne. Pour l'économie, en revanche, l'immobilisme - même à un niveau très élevé - n'a rien de bon. Les gains de productivité obligeraient l'industrie européenne à se défaire chaque année de 2 à 3 % de sa main-d'oeuvre. Une croissance économique du même ordre est donc nécessaire pour conserver le même niveau de main-d'oeuvre. (...) Le découplage de la croissance économique et des énergies fossiles est aujourd'hui impossible. Pourtant, l'environnement va nous y contraindre très rapidement."
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Mais ça reste faux : encore un qui n'a pas entendu parler du CCS.Birdy a écrit :Protection climatique et croissance économique sont incompatibles (Courrier International). C'est court, mais ça a le mérite d'aller droit au but...
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matthieu25 a écrit :De toute façon, la croissance économique est bientôt finie n'en déplaise à certains du forum.Vive la décroissance.
On vient de me filer « la décroissance pour tous » de Nicolas Ridoux. Je le recommande : unne bonne synthèse, pour à peine 8€.
Mais bon, c'est pas l'objet de mon rebondissement sur Matthieu, c'est cette phrase du livre :
Aujourd’hui, le choix n’est plus entre croissance et décroissance, mais entre décroissance et récession.
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Je suis passé brièvement au Salon du Livre, j'en ai profité pour jeter un oeil sur les bouquins qui parlent du PO-RC. Très grosso modo, il y a deux sortes de bouquins (il s'agit exclusivement de bouquins grand public) :
- ceux qui insistent très fort sur la crise économique, et la crise de l'énergie, et la crise de tout, généralement très peu de chiffres
- ceux qui essaient d'expliquer soit le PO, soit le RC, avec l'écueil double du sujet aride et à long terme.
Je n'ai rien vu qui arrive à la cheville du film d'Al Gore ; pratiquement les films d'Aerobar sont plus percutants : ce genre de savoir ne passera pas par l'écrit.
Je n'ai rien vu qui maîtrise la notion de PO-RC.
- ceux qui insistent très fort sur la crise économique, et la crise de l'énergie, et la crise de tout, généralement très peu de chiffres
- ceux qui essaient d'expliquer soit le PO, soit le RC, avec l'écueil double du sujet aride et à long terme.
Je n'ai rien vu qui arrive à la cheville du film d'Al Gore ; pratiquement les films d'Aerobar sont plus percutants : ce genre de savoir ne passera pas par l'écrit.
Je n'ai rien vu qui maîtrise la notion de PO-RC.
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à noeud les mines à amnévilleMike.be a écrit : La hausse du baril n'a pratiquement aucun effet sur notre comportement, cela ne sert qu'à construire des pistes de ski à Dubaï, et
Finalement quand on fait une connerie y en a toujours un pour faire mieux.
Tous les ans sur les JT nationaux.à quand un sujet "les pistes de ski commencent à souffrir" ?
Ouais enfin si les gens otn moins de pouvoir d'achat je suis pas sûr que la vinasse française soit leur première priorité.Environnement2100 a écrit :Les vins et spiritueux sont une source bien connue de devises pour notre économie.
etc

