[Acteurs] La compagnie TOTAL

oliomobile · Message par **oliomobile** » 05 avr. 2007, 10:50

J'ai effectivement installé un kit bi-carburation allemand de la firme ATG http://www.diesel-therm.de. Vue que j'habite en Suisse, ce kit est certifié par les mines et j'ai parfaitement le droit de rouler avec. Je l'ai payé 1700 euros pièces et mains d'oeuvre et ai fait prêt de 30000 km à l'huile pure depuis son installation. Du coup vue que j'utilise de l'huile recyclée que je récupère gratuitement le kit est déjà rentabilisé.

Les motoristes francais rabachent sans cesse que les moteurs nouvelles génération ne peuvent pas fonctionner à l'huile ce qui est faux puisqu'en allemagne, ou par ailleurs le culte de l'auto est autre chose qu'ici, de nombreuses voitures récentes sont modifiées sans aucun problème. Pourquoi cette propagande? parce que si l'HVP se développe TOTAL se fait court-circuiter et ca....mais vous inquiétez pas, on s'organise et on les emmerde tout comme les lois de leurs sous-fifres les politiques. L'heure est trop grave pour se laisser stopper par des couillons.

Voici le réseau de distribution indépendant mondial qu'on est en train de monter: http://www.oliomap.com

Sus aux destructeurs de la planète. Et attention à ne pas favoriser l'huile de palme qui viens de l'autre bout de la planète et qui est en train de détruire la forêt vièrge en indonésie, produisez et consommez local. Mais surtout consommez moins.

Message par **energy_isere** » 24 avr. 2007, 12:51

Total obtient 32 blocs d'exploration en Alaska

Total annonce que sa filiale à 100 % Total E&P USA s’est vu attribuer 32 blocs d’exploration dans le cadre d’un appel d’offres lancé par l’Etat de l’Alaska.

L’obtention définitive de ces blocs reste soumise à l’approbation des autorités administratives concernées (Minerals Management Service).

D’une superficie totale d’environ 750 kilomètres carrés, ces blocs se situent à environ 40 kilomètres de la côte nord de l’Alaska par une profondeur d’eau moyenne de 35 mètres.

La période d’exploration s’étend sur 10 ans. Total E&P USA envisage d’effectuer une campagne sismique qui permettra d’identifier les principaux prospects et de déterminer l’emplacement d’éventuels puits d’exploration.

Au cours de ces dernières années, Total a développé une connaissance régionale de cette zone pétrolière qui l’a conduit à identifier un certain nombre de thèmes d’exploration attrayants.

Cette acquisition s’inscrit dans la stratégie de Total de se concentrer sur des zones à fort potentiel sur le long terme.

enerzine

Message par **energy_isere** » 04 mai 2007, 20:36

Total révise à la baisse ses objectifs de production

Le groupe pétrolier français a accusé une baisse de 11% de son bénéfice net ajusté au premier trimestre 2007, à 2,992 milliards d'euros, en raison notamment d'une baisse de 6% du prix du Brent par rapport à l'an passé. Pour l'ensemble de l'année, Total revoit à la baisse sa prévision de croissance de la production, tablant désormais sur une hausse inférieure à 6% en raison de l'anticipation de contributions plus limitées que prévu en Azerbaïdjan et au Venezuela et des incertitudes persistantes sur la situation au Nigeria.

Total, le quatrième groupe pétrolier mondial par la capitalisation boursière, déclare que sa production d'hydrocarbures est restée stable sur les trois premiers mois de l'année, à 2,431 milliards de barils équivalent pétrole par jour.
Le groupe pétrolier français Total a accusé une baisse de 11% de son bénéfice net ajusté au premier trimestre 2007, à 2,992 milliards d'euros, en raison notamment d'une "baisse de 6% du prix du Brent par rapport à l'an passé", a annoncé le groupe vendredi dans un communiqué. Le chiffre d'affaires s'établit en baisse de 3% à 37,043 milliards d'euros.

Le groupe confirme toutefois son objectif d'une hausse de la production de plus de 5% par an en moyenne d'ici 2010. Il explique la baisse de ses résultats par le repli de 6% du cours moyen du brut, à 57,8 dollars, par rapport au premier trimestre 2006 et par la baisse du dollar par rapport à l'euro.

Les marges de raffinage européennes ont en revanche progressé de 28% à 33 dollars la tonne en moyenne.
Dix analystes interrogés par Reuters attendaient en moyenne un résultat net ajuste en baisse de 15,3%, à 2,858
milliards d'euros. Pour le bénéfice opérationnel, ils prévoyaient en moyenne 5,497 milliards d'euros alors que le groupe a réalisé 5,729 milliards.

"Depuis le début du deuxième trimestre 2007, les prix du brut ont progressé sous l'effet des craintes sur
l'approvisionnement du marché et de l'application de réductions de production par les pays de l'Opep. Les marges de raffinage se situent en moyenne à unn niveau supérieur à celui du premier trimestre", ajoute le groupe

latribune.fr

Admirez la coquille du journaliste de La Tribune : une production de 2.4 milliards de baril par jour !

On devrait expliquer au journaliste la difference entre millier, million, et milliard !

Message par **energy_isere** » 04 mai 2007, 21:32

Les couts pour l' exploitation de Gaz du champs de Pars en Iran s' envolent :

Total CFO: Costs of Iran Pars Project Well Above Expected

Costs for Total SA's (TOT) planned $10-billion gas project in Iran have risen so much that it will take more time to decide its launch, Chief Financial Officer Robert Castaigne said Friday.

"Costs are well above what we expected," Castaigne said during a telephone conference call on the company's first- quarter results. "We're reviewing all the elements of the project," he said, adding that it's too early to give a timetable.

Total Chief Executive Christophe de Margerie said in April that costs at the project, which aims to extract gas from Iran's massive South Pars field in the Persian Gulf, "are so high that they are close to damaging the project."
Margerie has previously estimated the cost of the project, in which Total holds 30%, at almost $10 billion.

source rigzone : http://www.rigzone.com/news/article.asp?a_id=44742

GillesH38 · Message par **GillesH38** » 05 mai 2007, 09:29

Et encore c'est que du gaz, pas des schistes bitumineux

Message par **Tiennel** » 09 mai 2007, 09:46

Les Echos a écrit :Pétrole extra-lourd : Total investit 6 milliards de dollars au Canada

Comme au Venezuela, le pétrolier français a décidé de construire près d'Edmonton une unité de conversion capable de transformer le bitume canadien en un pétrole léger, plus facile à commercialiser.

et

Si tout se passe comme prévu, l'unité de conversion que le pétrolier français envisage d'y construire pourrait entrer en service fin 2013 ou début 2014. Dans un premier temps, sa capacité de production avoisinerait 130.000 barils de brut allégé. Par la suite, et pour accompagner la montée en puissance du projet Joslyn, l'objectif est de dépasser les 200.000 barils quotidiens.

Message par **MadMax** » 09 mai 2007, 22:32

7 ans pour construire "ça"

(Comptez 2/3 ans pour une raffinerie)

Message par **Tiennel** » 09 mai 2007, 22:38

MadMax a écrit :Comptez 2/3 ans pour une raffinerie

POur de la raffinerie banale, oui, et une fois les études préalables bouclées et les approvisionnements lancés.

Mais là, il s'agit simplement d'une décision d'investissement. Tout reste à faire, notamment les études d'ingénierie, rien n'est standard dans cette installation.

Message par **energy_isere** » 11 mai 2007, 18:06

Total confiant sur ses perspectives 2007

PARIS (Reuters) - Total devrait continuer à bénéficier d'un environnement de marché favorable cette année, a déclaré Christophe de Margerie, directeur général du quatrième groupe pétrolier mondial par la capitalisation boursière.

"L'environnement devrait demeurer favorable en 2007, avec de prix du brut et des marges de raffinage qui vont rester élevés", a-t-il déclaré lors de l'assemblée générale, ajoutant qu'une dynamique aussi porteuse avait son "revers".

"Cette hausse peut encourager certains pays producteurs, comme la Russie, la Bolivie, le Venezuela à renégocier les accords de partage de production avec les compagnies pétrolières et de nouveaux acteurs émergent, entrant en concurrence directe avec les "majors", a poursuivi Christophe de Margerie.

Lors de son discours d'introduction, Thierry Desmarest, président du conseil d'administration, a une nouvelle fois dit que le conseil avait assuré Christophe de Margerie de son soutien malgré sa mise en examen dans le cadre d'une enquête sur de malversations présumées en marge d'un contrat gazier.

Christophe de Margerie a été mis en examen le 22 mars pour "corruption d'agents publics étrangers et abus de biens sociaux" environ un mois après avoir été nommé directeur général.

"Christophe de Margerie a fait l'objet d'une mise en examen que nous ne pouvons que regretter. Le conseil d'administration lui a exprimé toute sa confiance", a dit Thierry Desmarest.

Total a publié le 14 février, a été l'occasion de la passation de pouvoirs entre Thierry Desmarest et Christophe de Margerie, un résultat net ajusté 2006 record à 12,59 milliards d'euros. Sur le premier trimestre 2007, le bénéfice net ajusté a baissé 11% par rapport à la même période de 2006 en raison d'une baisse du prix moyen du brut.

Comparant les performances de Total par rapport à ceux de ses pairs - ExxonMobil a enregistré une hausse de 10% de son bénéfice tandis que BP a accusé un recul de 17% - a estimé que le groupe français était "à peu près au milieu".

"Exxon cavale toujours en tête. Cela doit devenir notre cible... en termes de résultats. Nous n'avons pas encore de projet d'OPA pour l'instant", a plaisanté Christophe de Margerie.

Boursorama

Message par **MadMax** » 15 mai 2007, 21:49

Entendu sur BFM, Christophe de Margerie compte marquer une rupture avec son prédécesseur : fin des rachats d'actions (une centaine de millions par semaine/+ de 5 €Mds par an) et cap sur les investissements.

Message par **energy_isere** » 22 mai 2007, 19:15

Dans l' usine nouvelle

Message par **energy_isere** » 08 juin 2007, 18:41

Dans l' usine nouvelle

Message par **energy_isere** » 12 juil. 2007, 14:56

Gisement de Chtokman: Total doit signer un contrat avec Gazprom vendredi

Total doit signer vendredi un contrat avec le géant gazier russe Gazprom pour développer le gigantesque gisement russe de Chtokman, a rapporté jeudi une porte-parole du groupe pétrolier français.

Boursorama

Russie: Gazprom choisit Total pour exploiter le gisement de Chtokman

Le géant gazier russe Gazprom a annoncé jeudi avoir choisi comme partenaire le groupe français Total pour développer le gigantesque gisement russe de Chtokman, un revirement après l'annonce en octobre 2006 que Gazprom développerait seul ces réserves très convoitées.

"Gazprom a choisi son partenaire étranger pour la réalisation de la première phase du gisement de Chtokman, il s'agit de la compagnie française Total", a annoncé le PDG de Gazprom, Alexeï Miller, dans un communiqué.

Le groupe français était en concurrence notamment avec la compagnie américaine ConocoPhillips, présélectionnée comme elle en 2005 pour participer au développement de ce vaste champ gazier de la mer de Barents, avant d'être remerciée.

Total, qui doit officialiser cet accord vendredi au siège de Gazprom à Moscou, a confirmé depuis Paris "des discussions très avancées" avec Gazprom, sans s'étendre sur les détails.

M. Miller a précisé quant à lui que cet accord ne concernait que la gestion du projet: Gazprom conservera l'ensemble des licences d'exploitation de ce vaste gisement, l'un des rares au monde à ne pas avoir encore été exploité.

Les deux groupes seront associés (à hauteur de 75% pour Gazprom et de 25% pour Total dans un premier temps) au sein d'une société commune qui sera seulement "propriétaire de l'infrastructure" de l'exploitation gazière.

Interrogé sur les limites de l'accord négocié par Total, qui le cantonne aux seules infrastructures, Al Breach, analyste en chef de la banque d'investissements UBS Warburg, minimise.

"Ils ne possèdent pas les réserves, et alors? La compagnie commune est celle qui possède les infrastructures et engrangera les bénéfices", dit-il.

L'analyste qualifie cet accord de "victoire majeure" non seulement pour la France, mais pour l'ensemble de l'Europe, au détriment des Etats-Unis.

Gazprom avait en effet prévu au départ de livrer le gaz de Chtokman sous forme liquéfiée vers les Etats-Unis, avant d'annoncer ces livraisons vers l'Europe par un gazoduc sous la mer Baltique.

Les premières livraisons sont prévues à l'horizon 2013 pour ce champ gazier aux réserves estimées à 3.700 milliards de mètres cubes de gaz.

Cette annonce tranche avec les récents déboires des majors occidentales en Russie, confrontées à une politique de réappropriation par l'Etat des réserves d'hydrocarbures. Total n'a pas échappé à ce mouvement, avec des attaques contre ses projets, notamment à Khariaga.

Le PDG de Gazprom a évoqué la possibilité de faire entrer dans cette société commune avec Total "encore un ou plusieurs partenaires étrangers, jusqu'à une hauteur de 24%, grâce à une baisse de la participation de Gazprom".

"Mais dans tous les cas, Gazprom conservera au moins 51% des actions de cette compagnie, et 100% de la compagnie propriétaire des licences (d'exploitation) du gisement et possèdera l'ensemble des ressources extraites", a précisé M. Miller.

Cette annonce de l'entrée d'une major occidentale dans la gestion de Chtokman était attendue depuis les déclarations du ministre de l'Industrie et de l'Energie, Viktor Khristenko, en décembre 2006, suggérant que la Russie avait besoin de technologies étrangères pour le développer.

Depuis, les entreprises occidentales avaient discrètement repris leurs négociations pour décrocher le gros lot.

Boursorama

Message par **energy_isere** » 13 juil. 2007, 18:01

Gazprom et Total signent un accord sur Chtokman

MOSCOU/PARIS (Reuters) - Le monopole gazier russe Gazprom et Total ont signé vendredi un accord de 25 ans pour réaliser la première phase d'exploitation du gisement gazier géant de Chtokman, dans le cadre d'un partenariat énergétique scellé au plus haut niveau de l'État.

Cet accord, finalisé à la suite d'une conversation téléphonique entre les présidents Vladimir Poutine et Nicolas Sarkozy, pourrait servir d'exemple pour d'autres partenariats en Russie, où les groupes étrangers seront autorisés à investir, mais seulement en étant cantonnés aux seconds rôles.

Gazprom a ainsi déclaré que son associé français avait accepté le principe d'une prise de participation de 25% dans la société propriétaire des infrastructures de Chtokman, un gisement dont le géant russe gardera la licence et dont il sera l'unique propriétaire de la production.

Chotkman, situés sous la mer de Barents, au-delà du cercle polaire arctique, est suffisamment grand pour approvisionner le monde entier en gaz naturel pendant plus d'un an, grâce à des réserves totales supérieures à 3.700 milliards de mètres cubes.

Situé sous des eaux parsemées d'icerbergs, il représente l'un des plus grands défis techniques parmi les projets énergétiques actuels.

Le gisement sera exploité en quatre phases, dont la première coûtera 15 milliards de dollars.

Gazprom n'a pas dévoilé tous les termes de l'accord, mais il a indiqué qu'il était plus favorable que le schéma sur lequel les deux groupes travaillent actuellement sur le gisement gazier iranien de South Pars. Comme en Iran, Total pourra réserver des stocks grâce à sa participation dans Chtokman, a déclaré le directeur général du groupe français Christophe de Margerie.

RETOMBEES POLITIQUES

L'ouverture des énormes réserves russes d'énergie aux groupes étrangers est toujours un sujet sensible pour le Kremlin, qui a repris ces dernières années le contrôle de quasiment tous les grands projets énergétiques nationaux en réduisant la participation de plusieurs majors non russes.

"Après les nombreuses mésaventures de Total en Russie, cet accord constitue une réussite de taille", commente Oleg Maximov, analyste chez Troïka Dialog.

"Nous suspectons toutefois que le choix d'une entreprise française comme partenaire n'a pas été dicté uniquement par la vaste expérience internationale du groupe, mais aussi par certaines considérations géopolitiques franco-russes plus larges, en particulier à la lumière du nouveau gouvernement en poste à Paris", ajoute-t-il.

Gazprom, premier gazier mondial et fournisseur du quart des besoins européens en gaz naturel, mène depuis plusieurs années des discussions avec des pétroliers étrangers sur ce projet. Selon des diplomates, Vladimir Poutine et Nicolas Sarkozy ont accéléré le traitement du dossier au sommet du G8, le mois dernier en Allemagne.

L'accord aidera certainement le nouveau président français à renforcer ses relations avec son homologue russe et pourrait augurer, selon des diplomates, une position privilégiée pour Total lors d'appels d'offres pour des contrats futurs.

L'annonce du contrat, jeudi par Gazprom, a semblé en revanche prendre par surprise le groupe français, ce qui laisse supposer que Total pourrait ne pas être totalement satisfait des termes convenus.

Total a précisé vendredi que la décision d'investissement définitive serait prise en 2009, mais que le travail sur le projet débuterait dès ce mois-ci.

"Nous allons commencer une phase d'étude de faisabilité pour pouvoir décider d'un investissement", a expliqué une porte-parole de la compagnie française.

Les deux groupes ont ajouté dans un communiqué commun que l'objectif était de garantir un démarrage de la production en 2013. Elle pourrait atteindre 23,7 milliards de mètres cubes de gaz par an.

"Il s'agit d'un projet extrêmement important pour la Russie et le monde, qui ont besoin de nouvelles sources de gaz pour les décennies à venir", a déclaré Christophe de Margerie.

Le directeur général par intérim de Gazprom Alexandre Ananenkov a déclaré que les autres associés en puissance à ce projet devaient améliorer leurs propositions. Les norvégiens Statoil et Norsk Hydro, ainsi que l'américain ConocoCphillips négocient leur participation à Chtokman. Chevron a renoncé.

"Gazprom assurera-lui même le développement ultérieur de Chtokman, je veux parler des phases 2, 3 et 4", a ajouté Ananenko, s'exprimant au nom du directeur général de Gazprom, Alexeï Miller, hospitalisé pour un problème rénal.

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Message par **energy_isere** » 17 juil. 2007, 00:54

Total gagne un contrat algérien pour un complexe pétrochimique

ALGER (Reuters) - Total a remporté lundi un contrat pour la construction et la gestion sur la côte algérienne d'un complexe de vapocraquage d'une capacité de production de 1,4 million de tonnes d'éthane par an.

Le projet, d'une valeur de trois milliards de dollars, sera construit en partenariat avec la Sonatrach. Il produira aussi du polyéthylène et de l'éthylène-glycol, un réfrigérant.

L'usine sera financée à hauteur de 49% par Sonatrach et à 51% par Total. Elle vendra sa production en Algérie et à l'étranger.

Il s'agit du premier de six projets pétrochimiques lancés par l'Algérie d'une valeur totale de 12 milliards de dollars.

Dans la journée de lundi, doit être également annoncé le résultat d'un appel d'offres pour un complexe de production d'un million de tonnes de méthanol, en partenariat entre la Sonatrach et une société non algérienne.

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