non on ne relocalisera pas... peut être que si
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- Goudron
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sans compter que le fameux A380 brise des familles (sites dispersés), désertifie des villages (qu'il faut raser pour agrandir la piste du site de Hambourgs)
et le plus inquiétant c'est la privatisation du réseau des aiguilleurs du ciel allemand à 75%, alors qu'il sont déjà en sous effectifs (bon ça n'a rien à voir)
résumé de la soirée théma d'arte hier soir sur l'A380
et le plus inquiétant c'est la privatisation du réseau des aiguilleurs du ciel allemand à 75%, alors qu'il sont déjà en sous effectifs (bon ça n'a rien à voir)
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- Hydrogène
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ha que c'est triste que ce ne soit pas vous qui décidez?
Mais qui décide d'ailleurs? Et pourquoi?
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"Tu connaîtras la vérité et la vérité te rendra libre"
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"Dans le spectacle la vérité est un moment du mensonge"
Debord
"Aucun compromis sur les principes, toutes les adaptations sur le terrain."
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- Tiennel
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Dans le Canard Enchaîné de cette semaine, une délocalisation exemplaire : plutôt que d'éplucher les langoustines pêchées en Ecosse sur place pour alimenter le marché local, elles vont désormais être congelées et envoyées par container en... Thaïlande pour y être épluchées, avant de revenir en Ecosse pour y être cuites et consommées.
La langoustine, nouvel animal migrateur
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- Charbon
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non on ne relocalisera pas...
L'idée repandu chez une partie des "peakistes" c'est que la depletion entrainera une relocalisation des emploi vers les foyers de consommation majeur ( en europe et aux US).
On arretera rapidement de fabriquer ses pull en chine...
A mon petit avis, la question du transport maritime de tres longue distance ne jourra que de manière marginale ou à tres long terme.
Le cout du carburant represente une fraction relativement dérisoire dans le cout globale de transport maritime.
De surcroit le transport d'un bien léger ( un ipod, un jupe, pas une voiture...) consomme la meme quantité de petrole entre shenzen et rotterdam dans son gros bateau qu'en camion de rotterdam jusqu'à un premier lieu de stockage puis du premier lieu de stockage vers la boutique, puis de la boutique jusqu'au consommateur final, puis du consommateur final jusqu'à un centre de retraitement.
Sur la chaine gobale de consommation petrolière le fait de fabriquer en chine ou en europe n'a pratiquement pas d'impact.
De surcroit les bateau fonctionnent avec un fioul lourd. C'est la production des petrole leger, peu souffré et riche en carburant volatile qui s'épuisent le plus vite. ( mer du nord etc) Les carburant lourd et moins exigeant en matière de raffinage, verront leurs valeurs decroitre rapporté à celle des carburant diesel aux normes environnementales plus strictes.
A priori la crise sera d'abord financière. La crise des subprime americaines est un premisse...
Dire que le petrole vaut 84$ le baril, c'es dire que le dollar vaut 1/84eme de baril. Pour combattre ce genre d'evolution du dollars, il faut augmenter la remuneration des placement en dollars donc le taux d'interet. l'augmentation du taux d'interet affaiblit les emprunteur et profite au rentier: elle ruine les consomateur qui se sont endetté à taux variable pour acheter une maison, elle profite au fond de placement.
L'augmentation du prix du petrole rend plus cher le fait d'habiter un pavillon de banlieue ( plus de depense de chauffage de transport etc), que d'habiter en centre ville ( proximité des transport en commun, moins de charge de chauffage etc...).
Les centre ville européens habité plutot par les plus riche verront leur valeurs s''acroitre, les banlieues lointaines plutot habitée par des pauvre verront leur valeurs s'effondrer.
L'effet d'effondrement economique viendra non seulement de la situation instantanée ( moins de petrole) mais sera encore agravé par l'anticipation d'une situation d'une situation encore pire) :encore moins de petrole. Si tout les acteurs economique anticipe une crise économique, il retire tous leur bille du jeu, il invesstissent moins consomment moins. Jusqu'à croire à l'effondrement ce qui entraine l'efondrement.
On arretera rapidement de fabriquer ses pull en chine...
A mon petit avis, la question du transport maritime de tres longue distance ne jourra que de manière marginale ou à tres long terme.
Le cout du carburant represente une fraction relativement dérisoire dans le cout globale de transport maritime.
De surcroit le transport d'un bien léger ( un ipod, un jupe, pas une voiture...) consomme la meme quantité de petrole entre shenzen et rotterdam dans son gros bateau qu'en camion de rotterdam jusqu'à un premier lieu de stockage puis du premier lieu de stockage vers la boutique, puis de la boutique jusqu'au consommateur final, puis du consommateur final jusqu'à un centre de retraitement.
Sur la chaine gobale de consommation petrolière le fait de fabriquer en chine ou en europe n'a pratiquement pas d'impact.
De surcroit les bateau fonctionnent avec un fioul lourd. C'est la production des petrole leger, peu souffré et riche en carburant volatile qui s'épuisent le plus vite. ( mer du nord etc) Les carburant lourd et moins exigeant en matière de raffinage, verront leurs valeurs decroitre rapporté à celle des carburant diesel aux normes environnementales plus strictes.
A priori la crise sera d'abord financière. La crise des subprime americaines est un premisse...
Dire que le petrole vaut 84$ le baril, c'es dire que le dollar vaut 1/84eme de baril. Pour combattre ce genre d'evolution du dollars, il faut augmenter la remuneration des placement en dollars donc le taux d'interet. l'augmentation du taux d'interet affaiblit les emprunteur et profite au rentier: elle ruine les consomateur qui se sont endetté à taux variable pour acheter une maison, elle profite au fond de placement.
L'augmentation du prix du petrole rend plus cher le fait d'habiter un pavillon de banlieue ( plus de depense de chauffage de transport etc), que d'habiter en centre ville ( proximité des transport en commun, moins de charge de chauffage etc...).
Les centre ville européens habité plutot par les plus riche verront leur valeurs s''acroitre, les banlieues lointaines plutot habitée par des pauvre verront leur valeurs s'effondrer.
L'effet d'effondrement economique viendra non seulement de la situation instantanée ( moins de petrole) mais sera encore agravé par l'anticipation d'une situation d'une situation encore pire) :encore moins de petrole. Si tout les acteurs economique anticipe une crise économique, il retire tous leur bille du jeu, il invesstissent moins consomment moins. Jusqu'à croire à l'effondrement ce qui entraine l'efondrement.
- sylva
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- mobar
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Les décroissants décroitrons et les autres changeront d'activité.sylva a écrit :
Jusqu'à croire à l'effondrement ce qui entraine l'efondrement.
prophétie auto-réalisatrice...
Avec les paraboles de Transparence on n'aura plus besoin de pétrole et on pourra faire les beaux sur la croisette avec des Tesla Motors solaires.
Yeaaah§
- Alter Egaux
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En effet, et cette partie des peakistes se trompent.peaknik a écrit : L'idée repandu chez une partie des "peakistes" c'est que la depletion entrainera une relocalisation des emploi vers les foyers de consommation majeur ( en europe et aux US).
C'est en cela que les décroissants sont dans le juste : travailler en circuit court ne part pas d'une anticipation du prix du pétrole (nécessité financière) mais d'une démarche intellectuelle qui change de paradigme (nécessité écologique).
Enfin, les altermondialistes l'ont aussi très bien analysé : c'est en changeant les règles du marché que les relocalisations inverseront la vapeur, et pas en attendant un prix explosif du pétrole (car il sera trop tard). Après, la question est « relocaliser pour quoi faire… ».
Sinon, très bon post de peaknik.

Etape n°1 : Les africains nomment le pétrole : la "merde" du diable.
Etape n°2 : Restons cool, le PO arrive...
Etape n°3 : "Mais à cet endroit, en ce moment, l'humanité, c'est nous, que cela nous plaise ou non", Samuel Beckett
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- GillesH38
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neanmoins l'augmentation du prix du baril peut contrer la mondialisation, mais de maniere indirecte, pas à cause du prix du transport qui est effectivement pour le moment négligeable. Simplement en provoquant une recession en Occident, qui d'une part diminuera la demande occidentale en produits de consommation, d'autre part pauperisera les travailleurs occidentaux, ce qui rendra le différentiel de main d'oeuvre de moins en moins intéressant. Parallèlement la croissance chinoise commence a produire de l'inflation, une elevation du niveau de vie, et donc le role deflationnaire de la mondialisation (qui compensait l'augmentation des coûts des matières premières par une diminution des coûts de main d'oeuvre) devient de moins en moins important.
Tout ca peut participer petit à petit à la relocalisation, qui devra se faire de toutes façons.
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Zan, zendegi, azadi. Il parait que " je propage la haine du Hamas".
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- Hydrogène
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Et oui, la mondialisation n'a pas que des effets négatifs. Il permet aux plus pauvres de le devenir un peu moins ...GillesH38 a écrit :Parallèlement la croissance chinoise commence a produire de l'inflation, une elevation du niveau de vie ...
D'ailleurs, s'il n'y avait pas ces "détails" que sont le RC et le PO la mondialisation permettrait assez vite de niveler (et plutot vers le haut) le niveau de vie de tous les habitants de la planète.
Un peu à la manière de l'élevation considérable de l'Europe pauvre (Espagne, Portugal, Irlande, Grèce ...) avec l'intégration européeenne, variante locale de la mondialisation. Et cela sans faire baisser les pays riches, Allemagne en tête, malgré les craintes d'une partie de sa population un peu xénophobe et populiste. Mais tout cela est de l'histoire ancienne ...
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- Brut léger
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En revanche, on risque bien de relocaliser à l'intérieur de l'Europe.
Les trajets en camions eux, sont assez sensibles au prix du carburant, Il y a une différence pour un produit industriel si les pièces font 3000 km avant d'arriver à l'assemblage final au lieu de 1000 km. Et puis je doute que la puissance publique daigne financer les infrastructures dans un monde qui ne verrait plus l'avenir dans la mobilité.
Je ne donnerais pas cher de tout ce qui est éloigné de la banane bleue (coeur industriel de l'Europe) : Portugal, Irlande, Espagne, Bretagne.
D'autre part, délocaliser en Chine, c'est aussi pas mal d'aller-retours en avion nécessaires pour négocier, vérifier la qualité etc..
Mons d'avions, des transports plus lents, c'est aussi une autre échelle de temps et d'espace qui marque le mental de la population.
Les trajets en camions eux, sont assez sensibles au prix du carburant, Il y a une différence pour un produit industriel si les pièces font 3000 km avant d'arriver à l'assemblage final au lieu de 1000 km. Et puis je doute que la puissance publique daigne financer les infrastructures dans un monde qui ne verrait plus l'avenir dans la mobilité.
Je ne donnerais pas cher de tout ce qui est éloigné de la banane bleue (coeur industriel de l'Europe) : Portugal, Irlande, Espagne, Bretagne.
D'autre part, délocaliser en Chine, c'est aussi pas mal d'aller-retours en avion nécessaires pour négocier, vérifier la qualité etc..
Mons d'avions, des transports plus lents, c'est aussi une autre échelle de temps et d'espace qui marque le mental de la population.
- Tiennel
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- Inscription : 12 mars 2005, 00:37
La banane bleue n'est-elle pas un concept qui commence à dater ? A l'époque où il fut inventé, l'Europe de l'Est était séparée de l'Ouest par un rideau de fer...
Il n'y a plus aujourd'hui de raisons pour que l'industrie européenne ne se relocalise pas entièrement entre Allemagne et Russie, là où la main-d'oeuvre est relativement bon marché, du même niveau qu'à l'Ouest et culturellement proche. Et en plus, gaz et charbon y sont disponibles en abondance...
Il n'y a plus aujourd'hui de raisons pour que l'industrie européenne ne se relocalise pas entièrement entre Allemagne et Russie, là où la main-d'oeuvre est relativement bon marché, du même niveau qu'à l'Ouest et culturellement proche. Et en plus, gaz et charbon y sont disponibles en abondance...
Méfiez-vous des biais cognitifs
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- Kérogène
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- Inscription : 02 oct. 2006, 21:03
L'augmentation du niveau de vie de ces pays a été en partie due à d'importantes subventions européennes dans les infrastructures. Ce qui n'est pas le même mécanisme que la mondialisation actuelle.sceptique a écrit :Un peu à la manière de l'élevation considérable de l'Europe pauvre (Espagne, Portugal, Irlande, Grèce ...) avec l'intégration européeenne, variante locale de la mondialisation. Et cela sans faire baisser les pays riches, Allemagne en tête, malgré les craintes d'une partie de sa population un peu xénophobe et populiste. Mais tout cela est de l'histoire ancienne ...
- Schlumpf
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- Localisation : Wiesbaden
il est clair que produire local devient un atout. Mais il y a beaucoup de "local" dans le monde. En tout cas pour ce qui est de la France, l'annonce toute récente de Décathlon, pourtant l'un des chantres de la délocalisation, de relocaliser en France sa production de vélo, est un tournant. Ils estiment le surcoût de la pridction française à 5 Eur par bicyclette, ce que le maintien d'une production délocalisée ne justifie plus. Pourtant s'il est un pays ou la production de vélo devrait être efficace c'est la Chine... Mais tout se perd sans doute...
L'Homo sapiens se conjugue à la première personne du présent irresponsable...