l' article en question dit des choses connues :
Il existe des réserves titanesques de pétrole encore non comptabilisées et dont la principale se trouve dans les schistes bitumineux. Il ne s’agit pas des sables comme ceux de l’Alberta, mais d’une roche sédimentaire contenant assez de matériau organique pour pouvoir fournir du pétrole et du gaz combustible. La United States Energy Information Administration estime le potentiel mondial exploitable à 2,6 billions de barils de pétrole, dont 1,2 seraient dans le sol américain. Cette estimation attribuerait donc aux États-Unis des réserves huit fois plus importantes que celles de l’Arabie Saoudite! Étant donné qu’elles se trouvent sous le parc naturel de la Green River, l’extraction n’a pas encore commencé, même si elle serait rentable au prix actuel du baril. Pour obtenir un permis d’exploitation du gouvernement étasunien, les compagnies devront démontrer leur capacité technologique à opérer tout en causant des dommages minimes à l’environnement.
En plus de cette faramineuse manne, il y a les réserves que l’on connaît mais qui ne sont pas incluses dans le calcul total. Les sables bitumineux, par exemple, renferment au Canada un potentiel de 174 milliards de barils, mais la BP Statistical Review n’en considère que 10 milliards. De même, les huiles lourdes de la vallée de l’Orénoque au Vénézuela recèlent un potentiel aussi intéressant que celui du Canada.
Mais réserves ne signifie pas débit d' extraction !
On connait bien la difficulté qu' a le Canada pour augmenter son débit actuel en tar sand de 1.2 million de baril par jour à 4 million de baril par jour en 2020 (source :
http://www.theglobeandmail.com/servlet/ ... columnists ).
Et pour les schistes bitumineux (oil shale) des USA, il y a rien de prét. Ceux qui on essayé dans les années 90 se sont rétamés.
et malheuresement le site Exduco.net n'est pas un site si obscur que ca :
Exduco.net is the most updated and easy-to-use website, with 12.000 monthly visitors, providing schools many ways to communicate their message to the world.
ca veut dire qu' il ya plein d' étudiants US qui gobent cette info désinformationelle. (on leur dit pas que le débit sera faible).