- à ma gauche, les tenants du libéralisme forcené, agitant un portrait des Pères Fondateurs, refusant qu'on tripote les marchés et les cours de quelque façon que ce soit, et prêts à fondre sur le malheureux qui va le premier prononcer le mot de "régulation"
- à ma droite, un paquet de politiques qui voient leurs électeurs gronder pendant que les boursiers prennent chaque jour un peu plus de bénéfices sur le prix du baril, et qui ne seraient pas contre une petite intervention fédérale...
Au-delà de 100 USD, personne aux USA n'acceptera de croire que ce prix est dû à la pénurie. La réaction des Etatsuniens risque de nous surprendre
