c'est comme la democratie directe, celà nous donne sarko segolene

, ici c'est la speculation directe, tout le monde s'y met du producteur au consommateur en passant par les intermediaire:
c'est le marché ,c'est formidable , à part la volatilité ,ce qui fait que les plans ne sont m^me plus valable le temps d'un apero.alors ne compter pas pour un petit somme, il faut constamment recalculer.
dans le lien des echos, il ya surement une coquille, car 848 millions de barils d'accroissement de la demande par les hedge fund, celà me parait une misere.
pour autant la diversité des intervenants ,n'oublions pas par exemple que les transporteurs ou les avionneurs qui ne sont pas des petits lobbys ne speculent pas à la hausse, à ce jour par exemple je les vois bien vendre massivement des option de vente à 90 et acheter des options d'achat à 135. çà ne leur coute rien puisque que la vente finance l'achat, mais il ne peuvent faire celà sans risque que parce qu'ils sont intervenant sur le marché physique.
si le marché descend sous 90 il 'sengage à acheter à 90 , il seront gagnant à ce jour.
si le marché monte à 150 , il diminueront la hausse.
un speculateur ne peut pas faire celà ou difficilement car vendre des options de vente si on ne veut pas acheter du réel peut entrainer un risque de ruine si le marché chutait à cause d'une recession.
en résumé, le marché physique est gigantesque et les acteurs tres nombreux, la speculation ne fait qu'accentuer la volatilité du fait de la nervosité des acteurs.
dans 1984, la novlangue; mais surtout la double pensée: la guerre c'est la paix, la liberté c'est l'esclavage, l'ignorance c'est la force, l'hcq c'est hautement toxique