J'avais (presque) compris… c'était pour rire…matthieu25 a écrit :non je voulais dire dans les idées.J'ai 26 ans perso
J'aurais aimé tirer des affiches aux Beaux-Arts de Paris à l'époque…

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J'avais (presque) compris… c'était pour rire…matthieu25 a écrit :non je voulais dire dans les idées.J'ai 26 ans perso
C'est un petit abus de langage employé par les centaines de scientifiques qui travaillent sur le sujet. Cette réaction p+B11->3He4 est bien du domaine de la recherche sur la fusion, et n'a rien à voir, au niveau des mécanismes, avec la fission des noyaux lourds induite par des neutrons thermiques.Yves a écrit : Dire que l'étape p+B11 -> C12 est de la fusion, c'est de la réthorique, pas de la physique. Aouter un neutron ou un proton supplémentaire à un atome existant, on sais le faire depuis que le tableau de Mendeleiv s'est enriché des élément (radioactifs) artificiels.
C'est un atome d'hydrogène ionisé.Yves a écrit : Parceque le proton initial, il vient d'où ?
Les 8.68 MeV libérés par cette réaction correspondent à l'énergie cinétique des particules finales (les He4). On peut récupérer cette énergie de différentes façons :Yves a écrit :Et l'energie, elle est récupérée dans quelle étape ?
Un peu hors sujet, mais pas complètementaleph0 a écrit : A mon avis, il ne faut pas chercher d'acharnement politique ou de "théorie du complot" : si quelqu'un arrivait à un rendement de fusion significatif avec un tel système, tous les laboratoires travaillant sur la fusion se jetteraient dessus pour reproduire l'expérience, et celà ferait la une des journaux.
A+
Les bio-carburants raffinés nécessitent toute une infrastructure lourde (usines, etc) qui permet aux industriels de montrer qu'ils sont «indispensables» et de justifier ainsi leur existence. En d'autre termes, de garder leur monopole sur le carburant.greenchris a écrit :Un peu hors sujet, mais pas complètement
Ah bon, alors explique moi pourquoi tout le monde investit (pétroliers et état) dans les bio-carburants raffinés et pas dans les huiles végétales brutes alors que les rendements de celles-ci sont au moins deux fois supérieur dans l'état actuel des donnaissances.