
Les pelles sont en cuivre on dirait! Au prix du cuivre...

Et à la bonne taille pour Sarko...
Modérateurs : Rod, Modérateurs
Qu'on est pas les seuls à se faire planter....Lo a écrit :http://www.lemonde.fr/organisations-int ... r=RSS-3208
Regardez-les planter leurs petits arbres !
Qu'est-ce que ça vous inspire ?
Note : le G7 c' est le G8 objet de ce fil, moins la Russie.Crise : tous les regards se tournent vers le G7
Les ministres des finances du G7 ont débuté leur réunion ce vendredi à Washington, après une nouvelle journée noire sur les marchés financiers. Objectif affiché : présenter un front uni dans les réponses à apporter à la crise. Mais un responsable a d'ores et déjà déclaré que le G7 n'adopterait sans doute pas la proposition britannique de garantir les prêts interbancaires. La journée de vendredi, marquée par une déclaration de George Bush qui se voulait rassurant et qui a fait replonger Wall Street, a de toute façon montré les limites de l’action politique face à cette crise financière et économique qui fait trembler désormais l’ensemble de la planète.
La rencontre était prévue de longue date, mais prend un tour particulier en pleine déprime financière. Depuis 20 heures ce vendredi, les ministres des finances des sept pays les plus industrialisés, le G7, sont réunis à Washington aux Etats-Unis, avec l’objectif de faire enfin naître un front uni dans les réponses apportées à la crise. En espérant que cela suffise. Mais un responsable a d'ores et déjà déclaré que le G7 n'adopterait sans doute pas la proposition britannique de garantir les prêts interbancaires.
Avant le début de la réunion, les déclarations de bonnes intentions se sont en tout cas multipliées. Il faut "arrêter de prendre des solutions au cas par cas", lançait ainsi le ministre allemand des Finances Peer Steinbrück. "Les marchés ne vont pas bien (..), il faut qu'on soit tous en concertation", renchérissait Christine Lagarde, la ministre française de l’Economie. Un front uni ? Pas tout à fait : des nuances, de taille, sont déjà apportées. Christine Lagarde, par exemple, a averti qu'il "ne faut pas imaginer qu'on aura une réponse harmonisée qui sera la même pour tout le monde".
Principale initiative de l'Union européenne, jusqu'à présent : relever le seuil minimal de garantie des dépôts bancaires des particuliers de 20.000 à au moins 50.000 euros en cas de faillite d'un établissement bancaire. Mais rien à la mesure du plan Palson adopté aux Etats-Unis et qui prévoit d'accorder jusqu'à 700 milliards de dollars pour racheter les actifs dépréciés des banques et leur permettre d'assainir leur bilan. Et qui n’a pas suffi à ramener le calme. Du côté européen, et avant même le début de ce G7, l'Elysée a d'ailleurs fait savoir qu'un sommet des chefs d'Etat et de gouvernement de l'Eurogroupe se tiendra dimanche à Paris afin de "définir un plan d'action conjoint de la zone euro et de la Banque centrale européenne face à la crise financière". Une nouvelle réunion pour montrer la détermination des dirigeants européens au cas où le G7 ne serait pas suffisant.
Et c’est là toute la difficulté à laquelle sont confrontés les grands dirigeants de la planète. Ni les baisses de taux d'intérêt et injections de liquidité des banques centrales, ni les opérations massives de soutien aux banques sur fonds publics et les garanties de dépôts décidées par les gouvernements, ni les appels au calme des grands argentiers internationaux n'ont pour l'instant réussi à endiguer la déroute générale."C'est la panique, tout devient absurde, les gens vendent même les vaches sacrées", a témoigné le directeur des ventes de la salle des marchés "Global Equities" à Paris, Xavier de Villepion. Pour illustration, après le discours de George Bush qui a appelé vendredi à rejeter l'"incertitude et la peur" générées par la crise économique en expliquant que les autorités américaines avaient les outils pour la combattre, Wall Street a à nouveau plongé. Après leur réunion, qui doit s’achever tard dans la nuit, les ministres des Finances du G7 seront reçus samedi matin par George Bush.
Le G20 se mobilise face à la crise, première récession en zone euro
Les grands pays industrialisés et émergents (G20) vont s'efforcer d'apporter une réponse concertée à la pire crise financière depuis 1929, dont témoigne l'entrée officielle en récession de la zone euro, pour la première fois de son histoire.
Réunis en sommet vendredi soir à Washington, les pays du G20 ambitionnent de présenter un front commun face à la crise économique et de modifier les règles du jeu afin de prévenir de nouvelles débacles financières.
Le G20 doit "répondre à la crise actuelle et jeter les bases de réformes pour empêcher qu'une telle crise ne se reproduise à l'avenir", a ainsi expliqué le président américain George W. Bush, dont la marge de manoeuvre est toutefois limitée à deux mois de la fin de son mandat
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http://www.boursorama.com/infos/actuali ... ws=6095647Le G20 s'engage à favoriser la relance et à surveiller la finance mondiale
étrange en effet.jml34 a écrit :L'Australie pays emergent ?
wikipedia a écrit :En 1913, à son apogée économique, l'Argentine était l'un des pays les plus riches du monde. Son PIB par habitant le positionnait au douzième rang mondial, juste devant la France.