Il n'y a plus de doute possible non plus : les mathématiciens sont tres forts pour étudier des solutions exactes de problèmes sans interêt.Aerobar a écrit : Une fois qu'on l'a lu, il n'y a plus de doute possible : Ekeland (ou son nègre) n'a pas tout compris aux travaux de Moreaux.
evidemment, j'ai pas vérifié les calculs, mais des les premières hypothèses, je sursaute
c'est évident que si on avait un substitut parfait renouvelable au pétrole, on n'aurait aucun problème de principe pour le remplacer...La société dispose de deux sources d’énergie primaire. Une énergie fossile polluante
et une énergie renouvelable propre. Pour les utilisateurs finals les deux formes
d’énergie sont de parfaits substituts l’une de l’autre.
c'est malheureux, mais ce monsieur n'a pas creusé bien loin le probleme du CO2 : il raisonne comme si l'absorption finissait par etre totale. D'accord j'ai fait la meme erreur au début dans mon scénario dépletionniste, mais 1) je ne suis pas censé etre spécialiste, et 2) je l'ai corrigée apres quelques semaines. Or la situation est assez différente parce que si il reste toujours une partie du CO2 dans l'atmosphère, le coût final va etre dominé par les conséquences à long terme de ce surplus. Bon je vais pas rentrer dans les détails techniques, mais cet article me semble etre un exemple parfait de vache sphérique que tu aimes tantEn l’absence de rejets le stock de polluant
aurait tendance à disparaître, puisqu’on aurait ˙Zt = −αZt, et donc Zt = Z0e−αt. Sa
dynamique, tant que la société utilise la ressource fossile, est définie par l’équation
suivante : ...
