EDF

[energy_isere]

EDF réalise un bénéfice 2007 stable et accélère ses investissements

Electricité de France (EDF) a réalisé en 2007 un bénéfice net quasi-stable à 5,618 milliards d'euros et veut "accélérer" ses investissements qui s'élèveront à 35 milliards d'euros entre 2008 et 2010, a-t-il annoncé mercredi.

Le bénéfice net, en très légère hausse de 0,2%, se révèle supérieur aux attentes des analystes en raison d'éléments exceptionnels et "grâce à l'ensemble des entités" du groupe, précise EDF dans un communiqué.

Le résultat brut d'exploitation (Ebitda), qui reflète la performance des activités du groupe, a progressé de 5,7% à 15,210 milliards d'euros, conformément aux objectifs d'EDF et aux attentes du marché.

Pour 2008, EDF annonce une année "d'accélération des investissements" opérationnels qui s'élèveront à 35 milliards d'euros entre 2008 et 2010, dont 10 milliards d'euros en 2008, soit une hausse de plus de 33% par rapport à 2007. En 2007, EDF avait déjà augmenté ses investissements de 26,2% à 7,490 milliards d'euros, contre 5,935 milliards en 2006.

Le premier producteur européen d'électricité dépasse donc les objectifs qu'il avait fixés fin 2005 avec des investissements de 40 milliards d'euros sur 2006-2010, dont plus de la moitié en France.

EDF a aussi lancé un nouveau plan d'amélioration de ses performances nommé "Excellence opérationnelle", qui sera "déployé progressivement entre 2008 et 2010", après un premier programme de performance nommé "Altitude", dont EDF a salué le "succès".

Le chiffre d'affaires, déjà publié, a progressé en 2007 de 1,2% à 59,6 milliards d'euros, grâce notamment à un bon quatrième trimestre et à l'international.

2007 aura marqué "une avancée stratégique majeure" du groupe à l'international, en tant qu'"investisseur et exploitant dans des projets nucléaires" aux Etats-Unis et en Chine, a souligné son PDG Pierre Gadonneix, cité dans le communiqué.

Le groupe va proposer à l'assemblée générale de ses actionnaires le versement d'un dividende en hausse de 10,3% à 1,28 euro par action.

EDF, qui a régulièrement détrôné en 2007 le groupe pétrolier Total comme première valeur à la Bourse de Paris, est détenu à 84,8% par l'Etat, après la cession par ce dernier, le 3 décembre, de 2,5% de son capital pour environ 3,7 milliards d'euros, qui doivent servir à financer les universités.

Boursoram^

[energy_isere]

Un tribunal espagnol exige d'EDF d'éclaircir ses intentions sur Iberdrola

Un tribunal de commerce de Bilbao (nord) a exigé mercredi du groupe français EDF d'éclaircir ses intentions sur Iberdrola, notamment en publiant dans plusieurs journaux s'il prépare ou a commencé le rachat du groupe espagnol, selon la décision judiciaire obtenue par l'AFP.

Ce tribunal "exige d'EDF de publier sous un délai de cinq jours, moyennant publicité et sous la forme qu'il le souhaite, dans les journaux El Pais, El Mundo, Expansion, Financial Times et Wall Street Journal", s'il "a commencé ou s'il est en train de préparer" l'acquisition du groupe d'électricité espagnol.

Il demande aussi à EDF de préciser s'il vise à acquérir "tout ou partie" d'Iberdrola, à le "démembrer" ou à "répartir ses actifs" et ceux des sociétés de son groupe, et s'il a l'intention de faire cette acquitision seul ou de concert avec un ou d'autres groupes.

Il exige également aussi du groupe français d'arrêter de "faire des déclarations ambiguës et de diffuser des informations contradictoires liées à l'acquisition de l'activité d'Iberdrola".

Iberdrola s'est lancé sur plusieurs fronts judiciaires contre EDF depuis que le groupe français a fait part de son intérêt pour le marché espagnol, reconnaissant récemment avoir eu des discussions exploratoires avec un des actionnaires d'Iberdrola, le groupe de BTP ACS.

Iberdrola a présenté plusieurs plaintes contre l'Etat français auprès de la Commission européenne, dont une l'accusant d'avoir verrouillé le capital d'EDF et une autre protestant contre les conditions financières de la réforme des retraites du groupe français EDF en 2004.

Le Wall Street Journal a affirmé vendredi qu'EDF et ACS avaient mis en place un vaste plan de près de 100 milliards de dollars (64 milliards d'euros) pour remodeler le paysage énergétique espagnol, prévoyant deux OPA, sur Iberdrola et Union Fenosa.

Dettes comprises et sans compter d'éventuelles primes, le montant total des transactions se monterait à 134 milliards de dollars (environ 86 milliards d'euros), inédit dans le secteur énergétique européen, selon le quotidien.

Boursoram^

[jimfells]

86 milliards d'euros ! C'est pas un carambar, c'est énorme !

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[energy_isere]

EDF: s'intéresserait à British Energy.

D'après un article paru ce matin dans La Tribune, le conseil d'administration d'EDF a donné son feu vert hier pour lancer une offre non-engageante sur le capital British Energy.

Le journal économique évalue à 8,8 milliards d'euros le montant de cette opération, par laquelle l'électricien français prendrait le contrôle du premier producteur britannique, propriétaire de neuf des dix sites nucléaires du Royaume Uni.

La Tribune souligne toutefois qu'EDF n'est pas seul sur les rangs, une dizaine d'opérateurs européens, parmi lesquels E.On et Centrica, étant aussi candidats.

Boursoram^

Il me parait bien faible ce chiffre de 8,8 milliards d'euros .

Ou alors c'est parce que c' est pas une aussi bonne affaire que ca. (Les centrales Britaniques sont anciennes).

[prontalgix]

EDF: s'intéresserait à British Energy.

D'après un article paru ce matin dans La Tribune, le conseil d'administration d'EDF a donné son feu vert hier pour lancer une offre non-engageante sur le capital British Energy.

Le journal économique évalue à 8,8 milliards d'euros le montant de cette opération, par laquelle l'électricien français prendrait le contrôle du premier producteur britannique, propriétaire de neuf des dix sites nucléaires du Royaume Uni.

La Tribune souligne toutefois qu'EDF n'est pas seul sur les rangs, une dizaine d'opérateurs européens, parmi lesquels E.On et Centrica, étant aussi candidats.

Boursoram^

Il me parait bien faible ce chiffre de 8,8 milliards d'euros .

Ou alors c'est parce que c' est pas une aussi bonne affaire que ca. (Les centrales Britaniques sont anciennes).

La question que je me pose en lisant cet article est la suivante :
Imaginons que La société EDF parvienne à racheter British Energy. Puisque l'état français possède environ 85% du capital d'EDF, l'état français (donc nous tous) devient de fait, opérateur et responsable du bon fonctionnement de 9 centrales nucléaire sur le sol Anglais.
Imaginons maintenant l'hypothèse impossible que l'une de ces centrales explose à Tchernobyl et contamine..... (bref, on comprend ou je veux en venir !!! )
Que se passe t-Il ? Qui est responsable, qui doit réparer les dommages causes ?
L'état Anglais se retourne contre l'état français et demande réparation ?
L'EDF a déjà prévu dans ses contrats que l'état Anglais ne pourra le poursuivre quoi qu'il arrive ?
L'état Français prend-il un risque considérable en acceptant une telle opération de rachat ?
Des avis de réponses ?

[energy_isere]

Il me semble que le sujet remplacement des compteurs EDF avait été évoqué dans le passé. Voila que ca va demarer :

Atos remporte le "contrat géant" des compteurs EDF (presse)

La société française de services informatiques Atos Origin va diriger la phase pilote du projet de remplacement des 35 millions de compteurs EDF, un contrat "stratégique" d'un montant "d'une centaine de millions d'euros", affirment Les Echos à paraître mercredi.

Boursoram^

[energy_isere]

British Energy: EDF prêt à relever son offre pour un accord rapide

Le groupe français d'électricité EDF pourrait relever son offre sur British Energy si l'opérateur nucléaire britannique la recommandait rapidement, mais pourrait aussi se retirer faute d'accord d'ici la fin du mois, affirme vendredi le Financial Times.

Selon le quotidien économique britannique, qui cite des sources proches du dossier, EDF pourrait proposer plus de 700 pence par action contre 680 pence proposés jusqu'à présent pour obtenir un accord rapide.

Mais cette source prévient: "Soit un accord intervient rapidement, soit il n'y en aura pas du tout".

Boursoram^

[energy_isere]

Les tarifs de l'électricité seront bientôt relevés .

Le PDG d'EDF, Pierre Gadonneix, a demandé à l'État une hausse «au plus, égale à l'inflation».

Dans le sillage de l'or noir, les prix du gaz, depuis le début de l'année, ont augmenté de près de 10 %. Ce sera bientôt le tour de ceux de l'électricité. Hier, Pierre Gadonneix, le PDG d'EDF, a fait savoir qu'il avait demandé à l'État une hausse de ses tarifs « au plus, égale à l'inflation ». Une information confirmée par le ministère des Finances, qui indique que « la hausse sera connue dans les toutes prochaines semaines, avant la fin de ce mois ».

Pierre Gadonneix justifie cette demande de hausse par la nécessité de « couvrir les coûts » de son entreprise. Les tarifs réglementés de l'électricité, pour les particuliers, avaient augmenté de 1,1 %, en août 2007.

Quel sera le montant de la hausse ? « Boostée » par l'augmentation des prix de l'énergie et de l'alimentation, l'inflation, en France, a atteint, en juin, un rythme de croisière de 3,6 %. Du jamais vu depuis dix-sept ans. Alors, + 3,6 % ? Pas forcément. L'Insee prévoit - à condition que le cours du baril de pétrole se stabilise - que l'inflation atteindra son sommet cet été, avant de refluer en dessous de 3 % en fin d'année. En moyenne, elle s'établirait donc autour de 3,2 % en 2008.

Reste donc à Bercy (le gouvernement se remet au travail, cette année, dès le 21 août) à trouver le bon équilibre entre les comptes d'EDF - qui peine à acquérir une stature européenne après des échecs en Espagne, en Belgique et en Angleterre - et ceux des ménages, de plus en plus mis à mal par les prix de l'énergie.

http://www.ouest-france.fr/Les-tarifs-d ... _actu.html

[energy_isere]

EDF renonce pour l'heure à racheter British Energy

Electricité de France (EDF) a fait savoir dans un communiqué publié tôt vendredi que "les conditions permettant un développement majeur en Grande-Bretagne ne sont pas réunies à ce jour", semblant exclure un rachat du producteur d'énergie British Energy dans l'immédiat.

Selon une source proche des négociations, le conseil d'administration de British Energy a rejeté un accord tard jeudi soir.

Dans la nuit de jeudi à vendredi, Electricité de France a publié un bref communiqué dans lequel le groupe français estimait qu'"après des discussions approfondies, les conditions permettant un développement majeur en Grande-Bretagne ne sont pas réunies à ce jour".

A Londres, British Energy a confirmé vendredi que "des discussions avancées avec une partie se sont poursuivies sans aboutir à un accord à ce jour". "Une nouvelle annonce sera faite en temps voulu. Il ne peut y avoir aucune certitude que ces discussions aboutissent à une offre faite pour British Energy", conclut le communiqué.

Le ministre britannique de l'Industrie John Hutton a déclaré vendredi que son gouvernement était déçu même si "l'avenir du renouveau nucléaire au Royaume-Uni ne dépend pas de cet accord en particulier".

Interrogé sur BBC Radio 4, il a précisé que le gouvernement britannique était prêt à accepter l'offre d'EDF. "Ce n'était pas l'opinion de tous les actionnaires et bien sûr le gouvernement n'est qu'un actionaire minoritaire", a-t-il expliqué, ajoutant qu'il appartenait au conseil d'administration de trouver un moyen d'avancer.

Plusieurs médias avaient fait état de contacts avancés entre les deux entreprises depuis la semaine dernière. Contactée par l'Associated Press tôt vendredi, EDF n'a pas souhaité apporter de précisions à son communiqué.

EDF a organisé comme prévu sa réunion sur les résultats trimestriels vendredi matin à Paris. Dans un communiqué, EDF annonce une "légère progression des résultats en France" avec un chiffre d'affaires s'élevant à 17,8 milliards d'euros, en croissance de 8%, "en raison du dynamisme des ventes en volume auprès de la clientèle finale et, dans une moindre mesure, des évolutions de prix et de tarifs".

Selon le PDG d'EDF Pierre Gadonneix, "dans un contexte difficile de tension sur les coûts, le Groupe affiche de solides performances, avec un EBITDA en progression organique de 3,9% sur le semestre, portée par les activités internationales. Le Groupe poursuit sa stratégie de développement, notamment en renforçant ses investissements opérationnels dans la production et les réseaux, en France et à l'international". AP

http://www.latribune.fr/info/EDF-renonc ... nel=France

[GNU]

EDF tout prêt d'un accord sur British Energy
[ 04/09/08 ]

Cette fois, c'est peut-être la bonne. Un mois après l'abandon in extremis de son projet d'acquisition de British Energy, EDF semble de nouveau en mesure de mettre la main sur le producteur d'électricité britannique. Selon l'agence Dow Jones Newswires, le groupe français aurait en effet conclu un accord avec les deux actionnaires qui avaient bloqué son offre précédente, à savoir les fonds d'investissement Invesco et M&G Investment. Une information confirmée aux « Echos » par une source proche de l'entreprise.

Fin juillet, EDF s'était proposé d'acquérir British Energy, avec la bénédiction du gouvernement britannique, pour plus de 15 milliards d'euros. Le conseil d'administration de l'électricien tricolore avait avalisé une offre à 765 pence par action entièrement en numéraire, ainsi qu'une variante combinant une part « cash » (700 pence par action) et une part « papier », sous la forme de certificats de valeur garantie. Alors que tout semblait bouclé, Invesco et M&G s'y étaient opposés, en jugeant le prix offert trop faible.

De source proche du dossier, l'accord qui vient d'être trouvé aboutirait à un « léger » relèvement de la part « papier ». La part en numéraire demeurant, elle, inchangée. Cet obstacle levé, reste à obtenir le feu vert du gouvernement français, qui n'avait pas, hier soir, formellement approuvé l'offre améliorée. Dans les jours qui viennent, les conseils d'administation d'EDF et de British Energy pourraient être convoqués pour finaliser l'opération.
P. PO.

http://www.lesechos.fr/info/energie/476 ... energy.htm

[energy_isere]

MidAmerican rachète Constellation, EDF ne monte pas

NEW YORK/PARIS (Reuters) - MidAmerican Energy Holdings, filiale de Berkshire Hathaway, a dit jeudi qu'il rachèterait le producteur d'électricité américain Constellation Energy pour 4,7 milliards de dollars environ, soit 26,50 dollars par action.

EDF avait annoncé un peu auparavant qu'il renonçait à accroître sa participation dans Constellation.

"EDF, qui a étudié la possibilité de renforcer sa position au capital de Constellation Energy, a estimé à ce stade que l'ensemble des conditions n'étaient pas réunies pour le faire", a déclaré l'opérateur français d'électricité dans un bref communiqué.

EDF confirme néanmoins son objectif de contribuer à la relance du nucléaire aux Etats-Unis et d'y investir dans la construction et l'exploitation de réacteurs de nouvelle génération EPR, "en gardant ses options ouvertes".

Le Financial Times et Les Echos avaient rapporté le même jour qu'EDF, qui souhaite par ailleurs prendre le contrôle de British Energy , pourrait venir en aide à son partenaire américain dont le titre a reculé de près de 20% mardi, conséquence du placement de la note de sa dette sous surveillance par l'agence Standard & Poor's.

EDF détient actuellement 9,51% du capital de Constellation.

MidAmerican et Constellation comptent produire un accord de fusion définitif vendredi.

[franck1968]

EDF a tenu un CA extraordinaire sur Constellation, contre-offre à l'étude

PARIS - EDF a tenu vendredi soir un conseil d'administration extraordinaire pour "présenter différentes options relatives à Constellation Energy", objet d'une offre d'achat du milliardaire Warren Buffett, a indiqué une porte-parole du groupe à l'AFP, confirmant une information des Echos.fr.

Selon une source proche du dossier, les administrateurs d'EDF ont étudié une éventuelle contre-offre sur l'électricien américain, tête de pont de l'industrie nucléaire française aux Etats-Unis.

Le milliardaire américain a proposé jeudi d'acheter Constellation Energy pour 4,7 milliards de dollars. A travers sa société MidAmerican Energy Holdings Company, M. Buffett offre 26,50 dollars par action au groupe de Baltimore (est des Etats-Unis) dans un accord de fusion qui devait être signé vendredi soir.

EDF avait pourtant indiqué jeudi que les conditions n'étaient "pas réunies" pour augmenter encore sa part dans Constellation, passée de près de 5% à 9,51% début septembre, comme il l'avait envisagé.

Selon le site internet des Echos vendredi soir, des contacts auraient été pris par EDF avec divers alliés potentiels aux Etats-Unis pour permettre le lancement de la contre-offre.

Le groupe français d'électricité pourrait être conduit à débourser entre 1 et 2 milliards de dollars, selon Les Echos.

EDF avait indiqué le 9 septembre avoir augmenté sa participation dans Constellation Energy à 9,51% du capital, contre près de 5% auparavant, conformément à un accord conclu entre les deux électriciens.

EDF et Constellation avaient conclu un accord en juillet 2007 pour former une coentreprise à 50/50, Unistar Energy, pour développer aux Etats-Unis des centrales nucléaires utilisant des réacteurs de troisième génération EPR. EDF y avait investi d'entrée de jeu 350 millions de dollars.

EDF

(©AFP / 19 septembre 2008 21h05)

[franck1968]

PARIS - Le conseil d'administration d'EDF a approuvé mardi soir une nouvelle offre de rachat de British Energy (BE) que l'exploitant britannique de centrales nucléaires a acceptée, a-t-on appris de source proche du dossier.

Cette nouvelle offre est de 774 pence par action, contre 765 proposé en juillet.

Elle valorise British Energy à 15,6 milliards d'euros, contre 15,45 milliards d'euros précédemment.

EDF propose de racheter BE soit tout en numéraire, soit en partie en numéraire et en partie en titres, a précisé la même source.

Les administrateurs ont par ailleurs reçu "l'assurance écrite" que le conseil d'administration de British Energy recommandait cette offre à ses actionnaires, a-t-on ajouté de même source.

Deux actionnaires de BE, les fonds d'investissement Invesco et M&G, s'étaient oppposés à la première offre formulée en juillet au motif que le prix proposé était trop bas.

Le PDG d'EDF, Pierre Gadonneix, avait affirmé la semaine dernière que son groupe n'achèterait pas British Energy "à n'importe quel prix".

EDF

BRITISH ENERGY

(©AFP / 23 septembre 2008 21h04)

[energy_isere]

Aprés des semaines de tractations et d' offres EDF avale British Energy

voir ici : http://forums.oleocene.org/viewtopic.ph ... 28#p210328

[pascal47]

A titre perso, je crois que les Anglais nous ont vendus au prix fort un pot pourri ! Pour sur EDF aura un peu plus de pied en Angleterre.
Mais a qu'elle prix ?

Nous serons rapidement fixé...