https://fr.wikipedia.org/wiki/N%C3%A9omalthusianisme
Rien ne viendra à manquer ... quand il n'y aura plus personne!
ou une nouvelle catégorie, les Lapalissiens

Modérateurs : Rod, Modérateurs
Au moins tu as de le sens de l'autodérision.mobar a écrit : ↑12 mars 2018, 11:17Néomalthusien peut être
https://fr.wikipedia.org/wiki/N%C3%A9omalthusianisme
Rien ne viendra à manquer ... quand il n'y aura plus personne!
ou une nouvelle catégorie, les Lapalissiens![]()
ça dépend des jours !ni chaud ni froid a écrit : ↑12 mars 2018, 10:15mauvaise traduction de cornucopian. Qu'on traduit généralement par cornucopien.
de cornu copiae ou corne d'abondance : rien ne viendra à manquer.
Mobar est plutot malthusaniste à mon avis, mais c'est à débattre.
https://www.francetvinfo.fr/meteo/clima ... 44968.htmlVIDEO. Réchauffement climatique : "Nous sommes les gagnants", tente de se rassurer le maire de la ville norvégienne la plus au Nord de la planète
En raison du réchauffement climatique, les habitants de Longyearbyen en Norvège, la ville la plus au Nord de la planète, connaissent cette année encore un hiver doux. Certains habitants y voient une opportunité.
le 13/03/2018
Un paysage polaire, des bottes qui s'enfoncent dans la neige. Et pourtant, à Longyearbyen, il fait chaud pour la saison, en cette fin de mois de février. Au-dessus de 0°C, au lieu de −13°C, la température moyenne enregistrée. Cette ville de l’archipel norvégien du Svalbard, Et pourtant, la ville la plus proche du pôle Nord, à 1 000 kilomètres de là, est un exemple du réchauffement climatique. Le thermomètre affiche des température supérieures à la normale de plusieurs dizaines de degrés. Depuis 2002 l’Arctique se réchauffe deux fois plus vite que le reste de la planète. Cela fait des inquiets, mais aussi quelques heureux.
Kim Holmén, le directeur international de l’Institut polaire norvégien, observe ce réchauffement tous les jours. "Voilà le fjord, montre-t-il. Il y a de l’eau partout, maintenant. Il y a huit ans, il était gelé ! Vous voyez la montagne, là ? Tout autour, c’était couvert de glace. On voit les glaciers fondre de 20, 30, 40 centimètres par an… On voit aussi des changements chez les poissons. Et l’ours polaire : comme la glace diminue, son habitat aussi... nous n'en voyons plus !"
..............
Conclusion.
Le mal-aimé CO2 ne mérite pas le procès qu’on lui fait. Il ne s’agit pas aujourd’hui d’être climato-alarmistes ou climato-sceptiques mais plutôt d’être climato-pragmatiques en constatant tout simplement les évolutions du climat et l’action marginale du CO2.
Retenons surtout que la nature est plus forte que l’homme, qu’il faut la respecter en essayant de mieux connaitre ses lois, qu’elle a, à son rythme, une étonnante puissance de réactivité (rétablissement des équilibres) ; il ne faut pas dilapider ses ressources, ses énergies fossiles, ses sols qui se dégradent dangereusement, si nous voulons laisser un monde vivable à nos enfants. Il faut également lutter contre la pollution atmosphérique qui perturbe profondément la vie de nos mégapoles, et contrôler l’action des différents gaz à effet de serre.
Pour relativiser l’« échauffement » médiatique actuel, que l’ex professeur au M.I.T. Rémy Prud’homme qualifie de « réchauffisme », n’oublions pas que dans l’histoire de l’humanité les âges sombres ont coïncidé avec les périodes froides.
Laissons le dernier mot à Aristote :
« L’ignorant affirme, le savant doute, le sage réfléchit »
https://www.francetvinfo.fr/monde/envir ... 89750.htmlDes plantes inédites fleurissent sur les cimes à cause du réchauffement climatique .
Selon une étude basée sur 145 ans de relevés botaniques, le nombre d'espèces s'est enrichi sur 87% des sites.
franceinfo avec AFP le 04/04/2018
La "grande accélération" touche désormais les cimes. Sous l'effet du réchauffement climatique, les sommets des montagnes européennes accueillent des plantes inédites, indique une étude parue mercredi 4 avril dans Nature (article en anglais).
Les plantes remontent de plus en plus rapidement des niveaux inférieurs, avec des sommets cinq fois plus "colonisés" de nouvelles variétés de plantes ces dix dernières années qu'au cours de la décennie 1957-1966, montre cette étude de 302 sites, des Alpes, des Pyrénées, des Carpates, du Svalbard (Norvège), d'Ecosse ou de Scandinavie.
La "grande accélération", biologique, météorologique ou chimique, observée depuis les années 1950 par la communauté scientifique sous l'effet des activités humaines, est ainsi "aujourd'hui perceptible dans les sites les plus reculés de la planète : les sommets de montagne", souligne le CNRS français dans un communiqué.
Le réchauffement touche particulièrement les montagnes
Selon cette étude, basée sur 145 ans de relevés botaniques, le nombre d'espèces s'est enrichi sur 87% des sites. Au cours de la période 1957-66, un sommet a accueilli en moyenne 1,1 espèce nouvelle ; en 2007-2016, ce fut 5,4. Cette migration concerne même des plantes réputées pour se déplacer lentement.
Cette tendance concorde avec l'augmentation des températures, explique l'équipe de 53 chercheurs, issus de onze pays, qui rappelle que les montagnes subissent un réchauffement particulièrement rapide. L'étude écarte en revanche le rôle d'autres facteurs comme les retombées azotées des polluants, les changements de précipitations ou la fréquentation humaine, très différents d'une région à l'autre.
Ils nous disent "Les résultats révèlent que l'AMOC a été relativement stable entre l'an 400 et 1850 et a commencé à s'affaiblir au début de l'ère industrielle.". Pourtant entre cette période la température à bien varié en augmentant entre l'an 400 et environ 1250 puis elle a bien baissé entre 1300 et 1650 pour après remonter. Donc étonnant que de l'AMOC aurait été relativement stable entre l'an 400 et 1850 malgré la variation de la température. Puis comme toujours l'ère industrielle est cité comme cela contrôlait tout.chakiroul a écrit : ↑12 avr. 2018, 22:55Il y a bien longtemps que j'avais lu qu'un des risques des modifications climatiques était le ralentissement du Gulf Stream (ça c'est pour notre pomme les européens), hé bien il semblerait que nous ayons les prémices de ce ralentissement :
https://www.20minutes.fr/planete/225360 ... u-1600-ans
va falloir accélérer la rénovation thermique des bâtiments...![]()
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encore une nième étude à base de proxys qui prétend reconstituer 1500 ans (quand c'est pas 15 000 ) de variations avec la même précision que des mesures modernes in situ ...chakiroul a écrit : ↑12 avr. 2018, 22:55Il y a bien longtemps que j'avais lu qu'un des risques des modifications climatiques était le ralentissement du Gulf Stream (ça c'est pour notre pomme les européens), hé bien il semblerait que nous ayons les prémices de ce ralentissement :
https://www.20minutes.fr/planete/225360 ... u-1600-ans
va falloir accélérer la rénovation thermique des bâtiments...![]()
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si ça peut conduire à des hausses et à des baisses, statistiquement, le plus probable est que ça ne change pas grand choseUn affaiblissement de l'AMOC peut aussi conduire à des hausses ou des baisses de températures de plusieurs degrés...
Bonjour la mauvaise foi: cela veut dire que la température en Europe occidentale baissera et augmentera dans le golfe du Mexique vu la "faiblesse" prévue/prédite de la "pompe à chaleur".GillesH38 a écrit : ↑13 avr. 2018, 07:21(j'adore ce genre de prédictions qui ne risquent absolument pas d'être contredites : tiens moi je pense que la semaine prochaine , il pourrait faire soit plus chaud soit plus froid que cette semaine ...)Un affaiblissement de l'AMOC peut aussi conduire à des hausses ou des baisses de températures de plusieurs degrés...