
http://peakoilbarrel.com/opec-march-cru ... tion-data/
Modérateurs : Rod, Modérateurs
https://www.agenceecofin.com/gestion-pu ... ici-a-2025L’Algérie ambitionne de porter sa puissance électrique à 25 000 MW d’ici à 2025
Agence Ecofin 18 avril 2018
L’Algérie s’est fixé pour objectif de porter à 25 000 MW d’ici à 2025, sa puissance électrique. Ce parc est prévu pour être constitué à hauteur de 2 000 MW de centrales solaires. C’est ce qu’a annoncé Mustapha Guitouni (photo), le ministre algérien de l’Energie.
Pour atteindre cet objectif, le pays compte mettre en place, environ 1 500 MW de centrales électriques chaque année. « Des centrales produisant 1 500 MW seront construites chaque année avec des équipements, notamment des turbines à gaz fabriquées en Algérie à l’usine de Batna.» a affirmé M Guitouni.
Selon le responsable, une fois les besoins électriques nationaux comblés, le pays envisage d’exporter le reste de son énergie. Les pays en tête de liste pour cet échange sont actuellement la Tunisie et la Libye. Pour ce qui est de la consommation énergétique interne, cette dernière peut atteindre un pic de 15 000 MW dans les mois les plus chauds, mais se situe en moyenne à 8 000 MW sur le reste de l’année.
https://observalgerie.com/actualite-alg ... e-schiste/Algérie: le ministre de l’énergie juge « inévitable » l’exploitation du gaz de schiste
Par Slimane A - 6 mai 2018
En marge de la conférence internationale sur les centres nationaux des statistiques, qui s’est déroulée aujourd’hui dimanche au centre international des conférences d’Alger, le ministre de l’énergie, Mustapha Guitouni a jugé l’exploitation du gaz de schiste comme étant « nécessaire et inévitable », du fait des inombrables opportunités économiques qu’offre l’exploitation de cette ressource, selon ses dires .
Le ministre a tenu à rassurer les citoyens, affirmant que « l’exploitation de ce gaz n’aura aucun effet négatif sur les populations locales ». Le ministre a rappelé également dans son discours les bénéfices, qu’ont pu tirer les USA, suite à l’exploitation du gaz naturel non conventionnel, citant à titre d’exemple: «La diminution de la dépendance énergétique, baisse des prix de l’énergie, création d’emploi, regain de compétitivité des entreprises ».
Suite à une question adressée à lui concernant une autre énergie renouvelable, qui est l’énergie solaire, Mustapha Guitouni a assuré que l’Algérie n’est pas en retard dans le domaine, déclarant à ce propos: « On est les premiers à avoir réalisé en Afrique des stations d’énergie solaire durant les années 80 ».
Dans un autre contexte, le ministre de l’énergie a annoncé la conversion de quelques 50.000 taxis au GPL, à partir de la semaine prochaine, dans le cadre d’une collaboration avec le ministère des travaux publics et des transports, car «l’Algérie se retrouve contrainte d’importer l’essence car ne produisant annuellement que 11.5 millions de tonnes de carburants, donc la solution réside ainsi dans le GPL, qui est abondant » a t-il notamment affirmé.
https://www.connaissancedesenergies.org ... que-180511Total: accord avec Sonatrach en vue d'un projet pétrochimique
AFP parue le 11 mai 2018
Total a annoncé vendredi avoir signé un accord avec le groupe algérien Sonatrach pour le lancement d'études d'ingénierie en vue d'un projet pétrochimique à Arzew, dans l'Ouest de l'Algérie.
Ce projet représente un investissement d'environ 1,4 milliard de dollars pour les deux partenaires (Sonatrach 51% - Total 49 %), qui lanceront les études d'ingénierie cet été, indique le groupe pétrolier et gazier français dans un communiqué.
Elle restent encore soumises à l'approbation des autorités algériennes, précise-t-il.
Le projet comprend une usine de déshydrogénation de propane (PDH) et une unité de production de polypropylène (PP, un plastique) d'une capacité de 550.000 tonnes par an. Il doit permettre de valoriser le propane exploité localement.
La production sera destinée en priorité au marché algérien et méditerranéen mais Total se chargera de la commercialisation du reste de la production en Europe.
Patrick Pouyanné, PDG de Total, a souligné dans le communiqué "l'opportunité de renforcer notre coopération avec Sonatrach en investissant conjointement dans l'aval, au-delà des relations de longue date que nous entretenons ensemble dans l'exploration-production."
Les deux groupes sont en effet déjà partenaires, ce qui permet à Total d'être bien implanté en Algérie.
https://www.agenceecofin.com/compagnies ... aziere-tftAlgérie : Total et Repsol obtiennent une prolongation de 25 ans de leur licence de production gazière TFT
Agence Ecofin 12 juin 2018
Lundi, le Français Total, l’Espagnol Repsol et le régulateur de l’amont algérien, Alnaft, ont signé une prolongation de 25 ans de la licence de production de gaz et de condensat du champ de Tin Fouye Tabankort (TFT). Un nouvel accord de commercialisation du gaz produit sur le site a été paraphé, ajoute la société française.
Selon les termes de l’accord d’extension de licence, des investissements seront réalisés par les partenaires pour développer des réserves supplémentaires estimées à 250 millions de barils équivalent pétrole. Des investissements qui doperont la production du champ qui est actuellement de 80 000 barils équivalent pétrole/jour.
« Les accords signés aujourd’hui marquent une nouvelle étape dans la mise en œuvre de l’accord global signé entre Sonatrach et Total, en avril 2017, et contribuent à renforcer la coopération stratégique entre les deux sociétés. En tant que partenaire historique du champ de TFT, Total continuera à apporter le meilleur de son expertise technologique afin de poursuivre la valorisation des réserves de ce champ gazier. Ce projet s’inscrit dans la stratégie du groupe de développer sa production de gaz dans des conditions compétitives », a déclaré Patrick Pouyanné (photo), le PDG de Total.
Le champ de TFT est entré en production en mars 1999 avec une production initiale de 5 millions de mètres cubes par jour. Il est contrôlé à 51% par Sonatrach, 26,4% par Total et 22,6% par Repsol.
https://afrique.latribune.fr/finances/2 ... 82723.htmlAlgérie : création de 30 milliards de dollars de monnaie dans le cadre du processus de «la planche à billets»
Par Sylvain Vidzraku 23/06/2018, La Tribune
Jusqu'au 31 mars dernier, la Banque d'Algérie a créé 3 585 milliards de dinars de monnaie, soit environ 30,41 milliards de dollars. Cette opération s'insère dans le cadre du financement non conventionnel, communément connu sous l'appellation de processus de «la planche à billets».
Jusqu'à la fin de mars 2018, la Banque d'Algérie a émis des billets pour l'équivalent de 3 585 milliards de dinars, soit près de 30,4 milliards de dollars. C'est l'institution monétaire algérienne elle-même qui a rendu publique cette information dans son rapport mensuel, via le Journal officiel. Cette émission entre dans le cadre d'un plan quinquennal de recours à «la planche à billets» approuvé par les parlementaires en septembre dernier, pour financer la dette publique et éviter une cessation de versement des salaires des fonctionnaires et des retraités, tout en relançant les projets qui manquent de financement.
Notons que les besoins en financements du Trésor public algérien sont encore plus lourds cette année. Selon le ministre algérien des Finances, Abderrahmane Raouya, si l'année dernière ces besoins se chiffraient à 570 milliards de dinars (environ 4,8 milliards de dollars), ils sont passés cette année à 1 815 milliards, ce qui équivaut à environ 15,3 milliards de dollars. L'année prochaine, ajoute le responsable gouvernemental, lesdits besoins seront de 580 milliards de dinars, soit quelque 4,9 milliards de dollars.
Désaccord du FMI et de l'opposition
Ce plan répondait aux orientations du chef de l'Etat algérien, Abdelaziz Bouteflika, qui avait refusé que son pays recoure à l'endettement extérieur pour financer la commande publique et permettre une relance de la croissance économique. Un plan largement critiqué par le Fonds monétaire international (FMI) qui en craignait les conséquences et décrié par l'opposition politique en Algérie. Cette dernière estime que le plan est une solution de «facilitation» qui ne fera que retarder l'apparition des effets de la crise. L'opposition indique que ce mécanisme de financement non conventionnel conduira à une augmentation considérable de l'inflation, une faiblesse du pouvoir d'achat des citoyens algériens et fera chuter la valeur du dinar algérien.
...........
https://www.agenceecofin.com/production ... la-tunisieL’Algérie envisage d’exporter 400 MW d’excédent d’électricité vers la Tunisie
Agence Ecofin 05 juillet 2018
Après avoir atteint l’autosuffisance énergétique, l’Algérie s’apprête à exporter son excédent d’électricité vers la Tunisie. Cette information a été communiquée par Mustapha Guitouni (photo), le ministre algérien de l’énergie qui a affirmé qu’environ 400 MW devraient bientôt être expédiés vers le pays voisin.
« L’exportation d’électricité s’inscrit dans le cadre du programme du président Bouteflika portant exportation du surplus de cette énergie après avoir atteint l’autosuffisance dans ce domaine.», a affirmé le ministre.
La Tunisie de son côté connait une hausse de la consommation, surtout en période estivale. Son pic de demande est prévu pour atteindre 4 200 MW cet état, ce qui représenterait une hausse de 175 MW par rapport au niveau de l’année écoulée.
A cette époque déjà, la STEG en charge de la fourniture électrique dans le pays a dû avoir recours à des coupures volontaires d’électricité afin de faire face à la situation.
Nostalgie ! ...energy_isere a écrit : ↑07 juil. 2018, 13:34A cette époque déjà, la STEG en charge de la fourniture électrique dans le pays a dû avoir recours à des coupures volontaires d’électricité afin de faire face à la situation.
https://www.algerie-focus.com/2018/07/e ... -au-monde/Explosion démographique / Le taux de natalité en Algérie parmi les plus élevés au monde
Le taux de natalité en Algérie est parmi les plus élevés au monde. Il est passé, selon une étude présentée hier par le ministère de la Santé, de 19,36 pour mille habitants en 2000 à 25,40 en 2017, quatrième année de suite durant laquelle le pays a connu un nombre total de naissances de plus d’un million. « L’Algérie est entrée, depuis plus d’une décennie, dans une dynamique démographique marquée par une augmentation soutenue de la natalité », indique ce document qui ajoute que « la fécondité a également enregistré une augmentation entre 2000 et 2017, passant de 2,40 enfants à 3,1 enfants par femme ». Le département de la santé prévoit même que ce taux de fécondité puisse atteindre dans les années à venir 3,5 enfants par femme. Ce qui porterait le nombre de la population algérienne à 72,4 millions d’habitants en 2050 contre 42 millions actuellement. Et la problématique résiderait dans le fait, ajoute-t-on de même source, que le nombre de personnes à charge (moins de 20 ans et plus de 60 ans) serait plus important par rapport à celui des personnes en âge d’activité. Ce qui serait un problème sur le plan socio-économique d’autant plus que l’Algérie enregistre depuis quelques années déjà une diminution de ses ressources financières fait noter le ministère de la Santé. Pour le département de Mokhtar Hazbellaoui, l’objectif est d’arriver à un taux de fécondité de 2,1 enfants par femme. Le planning familial est de rigueur. Le ministère n’a pas pour l’instant donné d’indications sur la stratégie à suivre.
Oui, c'est une sacrée bombe à retardement.On va droit dans le mur.
https://www.tsa-algerie.com/le-taux-de- ... -le-monde/l’écart entre les femmes n’ayant pas fréquenté l’école et celles jouissant d’un niveau secondaire et plus est passé de 11,9 points en 1992 à 6,5 points en 2013.
https://www.agenceecofin.com/trade/2707 ... az-naturelAlgérie : vers la fin du monopole total de Sonatrach sur les exportations de gaz naturel
Agence Ecofin 27 juillet 2018
En Algérie, la société publique du pétrole devrait perdre son monopole exclusif sur les exportations de gaz naturel. C’est ce qui ressort d’un accord signé, la semaine dernière, avec le producteur italien Eni. Selon les termes de l’accord, Eni sera autorisée à exporter le gaz qui sera découvert dans les profondeurs des champs BRN et de MLE.
Pour Claudio Descalzi, le patron d’Eni, qui a fait l’annonce ce vendredi, cette annonce marquera un changement majeur dans la stratégie d’amélioration de la valeur des actifs de Sonatrach.
Comme le rappelle Natural Gas World, en octobre dernier, le PDG de Sonatrach, Abdelmoumen Ould Kaddour, avait déclaré lors d’une conférence à Londres qu'il envisageait de permettre aux entreprises étrangères, à travers des JV avec Sonatrach, de commencer à commercialiser le gaz algérien.
Cette stratégie concorde avec les plans de développement d’Eni qui souhaite réduire ses niveaux d’importation en augmentant ses parts dans les exportations. Mais cela ne signifie pas nécessairement l'exclusion des importations de gaz algérien.