mais les phénomènes astronomiques liés au cycle de glaciation/déglaciation (en particulier la nutation et la précession des équinoxes) ne changent aucunement la valeur de l'insolation moyenne sur Terre
bah oui je sais, puisque la puissance est constante, de l'ordre de 1367 W/m² , pour un plan perpendiculaire aux rayons du soleil hors atmosphère.
Quand je parle de distance terre-soleil constante...je ne sais pas "si la Terre est significativement plus éloignée du Soleil " pendant l'été austral (je pense pas ), je pensais plutot que ça va varier au cours des milliards d'année à venir, il y a éloignement avec baisse de la masse du soleil (du moins, pas par ses processus de fusion, mais avec avec expulsion de l'enveloppe gazeuse de géante rouge..enfin,on en n'est pas là et tout se cramé à ce moment)
Graph extrait de wikipedia :
En fait, ça varie pas mal, et c'est pas évident à mesurer car plusieurs appareils qui sont en même temps dans l'espace donnent des valeurs différentes de quelque W/m² (source d'info : graphique (différent de celui ci-dessus)vu lors d'une visite pour fête de la science, octobre 2012, laboratoire LATMOS de St-Quentin-en-Yvelines, laboratoire qui fabrique un tel appareil pour l'ISS...je peux pas ressortir le graphique , pas trouvé sur internet!)
BREF : Pas la peine de disserter longtemps sur cette valeur en effet,
car "le climat est plus complexe qu'une boule de cuivre chauffée à une certaine température à une certaine puissance."
et c'est toute cette complexité dont on discute ici.
Addenda :
bah, presque que du texte , en anglais, je peux pas me plonger dedans.
Edit supplémentaire :
Ah si, je retrouve le graphique des diverses mesures de flux solaires :
page 13 de
http://cascimodot.fdpoisson.fr/sites/de ... kdeWit.pdf
Finalement, les dernier appareils de mesure tombent d'accord en eux, si les plus anciens divergeaient.