moué, sauf peut-être si Macron fait l'intermédiaire...

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moué, sauf peut-être si Macron fait l'intermédiaire...
https://m.investir.lesechos.fr/actualit ... 00116.htmlWall Street replonge, la Fed ne rassure pas
REUTERS | LE 16/03 2020
Le Dow Jones perd 12,93%, le S&P 500 11,98% et le Nasdaq 12,32%. Les marchés redoutent une récession encore plus forte. La nouvelle baisse des taux de la Fed nourrit l'inquiétude.
Les Bourses de Tokyo et de Hong Kong ont tenu bon mardi, malgré une nouvelle déroute des grandes Bourses mondiales la veille face à la pandémie de coronavirus, tandis que les Bourses de Chine continentale ont terminé en légère baisse.
La Bourse de Tokyo a mis fin à une série de quatre baisses d'affilée au terme d'une séance longtemps incertaine face aux développements foudroyants de la pandémie, qui poussent les Etats du monde entier à se barricader les uns après les autres.
L'indice vedette Nikkei a terminé en infime hausse (+0,06% à 17.011,53 points), tandis que l'indice Topix, qui comprend tous les titres du premier tableau, a rebondi plus franchement (+2,6% à 1.268,46 points).
J'adore ces objectifs. Surtout que le 21 février a été le début du grand plongeon.Dow Jones efface le précédent zénith des 29.350 des 17 janvier 6 février.
Après une oscillation de -1.100Pts (-3,5%) et le test d'un support vers 28.250, le Dow Jones devrait franchir haut la main le seuil des 30.000 d'ici le vendredi 21 février ('3 sorcières') et même d'ici ce vendredi 14... avec un objectif de 30.450Pts.
"Il n'y a pas d'argent magique" disait Micron!Dans le sillage des places européennes, Wall Street recule à nouveau fortement en début de séance, effaçant une bonne partie du rebond de mardi. L'indice Dow Jones perd actuellement 5,07% à 20.160 points, tandis que l'indice large S&P 500 recule de 4,44% à 2.417 pts, et que le Nasdaq Composite, riche en valeurs technologiques, cède 3,53% à 7.076 pts. Les multiples plans de relance annoncés de part et d'autre de l'Atlantique peinent pour le moment à convaincre la communauté financière qui redoute plus que jamais une récession historique alors que les mesures de confinements prises aux quatre coins de la planète sont en train de mettre l'activité économique à l'arrêt.
La Fed a pourtant franchi mardi un nouveau pas dans le soutien aux marchés en annonçant qu'elle allait racheter de la dette à court terme d'entreprise, la BCE a réaffirmé de son côté qu'elle restait prête à prendre des mesures de soutien supplémentaires si nécessaire et plusieurs gouvernements, en Espagne et au Royaume-Uni par exemple, ont présenté ces dernières heures d'important plans de soutien à l'économie.
Washington envisagerait de son côté de faire voter au Congrès un plan de soutien massif de 1.250 milliards de dollars, notamment destiné aux secteurs les plus touchés par l'épidémie, comme les compagnies aériennes, qui pourraient bénéficier d'environ 50 Mds$. Parmi les autres options considérées, figure le versement direct de 1.000$ à presque tous les Américains d'âge adulte.
Tiens c'est vrai!
Wall Street est repartie dans sa spirale baissière vendredi, à la fin de sa pire semaine depuis la crise financière de 2008, les milliards mis sur la table par les autorités pour faire face à la propagation du coronavirus ne parvenant pas à effacer la crainte d'une récession.
Son indice vedette, le Dow Jones Industrial Average, a perdu 4,55% vendredi et 17,3% sur la semaine pour terminer à 19.173,98 points.
Il avait encaissé lundi sa pire séance depuis octobre 1987, et termine vendredi sous le niveau auquel il évoluait le jour de l'arrivée au pouvoir de Donald Trump, le 20 janvier 2017.
Une mauvaise nouvelle pour le locataire de la Maison Blanche, qui faisait jusqu'à récemment de la bonne santé de l'économie américaine et des marchés financiers un de ses principaux arguments de campagne.
Le Nasdaq, à forte coloration technologique, a reculé vendredi de 3,79%, à 6.879,52 points, de 12,6% sur la semaine. L'indice élargi S&P 500 a baissé de 4,34% à 2.304,92 points, de 15% sur la semaine.
Après un début de séance hésitant, les indices ont d'abord perdu du terrain quand le gouverneur de l'Etat de New York, Andrew Cuomo, a décrété l'arrêt de toutes les activités non essentielles, moins de 24 heures après des décisions similaires en Californie. De quoi freiner grandement l'activité de deux zones primordiales dans l'économie du pays.
Les indices ont ensuite creusé leurs pertes pendant une conférence de presse donnée à la Maison Blanche au cours de laquelle Donald Trump a exclu un confinement total du pays.
Ils ont enfin piqué du nez en toute fin de séance alors que les prix du pétrole dégringolaient de nouveau, le baril de WTI perdant finalement 11% à New York.
Les investisseurs tentent d'évaluer les conséquences économiques de la pandémie de coronavirus, qui a déjà fait plus de 10.000 morts dans le monde et infecté près de 250.000 personnes.
"Les temps sont difficiles sur les marchés financiers. Tout ce que nous savons, ou plutôt ce que nous pensons savoir, sur les perspectives économiques du pays et du monde, et par ricochet sur les perspectives en ce qui concerne les bénéfices des entreprises, les dettes des pays, les risques liés à ces dettes, et tous les produits financiers, évoluent au jour le jour", remarque Christopher Low de FTN Financial.
"Le Covid-19 est passé en deux semaines d'une menace lointaine à une réalité toute proche pour la plupart des Américains", ajoute-t-il alors que les écoles se ferment, les vols sont interdits, les magasins non-essentiels sont appelés à fermer.