Je lis un peu plus ce long article. (La traduction google est très bien, vraiment).
sur la question de la diversité de l'alimentation
Le remplacement du sucre conventionnel dans notre approvisionnement alimentaire par des monosaccharides artificiels aurait déjà des impacts positifs directs sur la durabilité de notre approvisionnement alimentaire, comme indiqué ci-dessus. La production de sucre biogénique, cependant, ne contribue que pour plusieurs pour cent aux externalités écologiques de notre approvisionnement alimentaire tandis que la production de polysaccharides tels que l'amidon (amylose, amylopectine) contribue la plus grande partie (par exemple, comme mentionné ci-dessus, 18% du territoire allemand sont occupés par des plantations de cultures féculières alors que seulement 1% de son territoire est occupé par des plantations de betteraves sucrières). En conséquence, une implication beaucoup plus importante d'une production artificielle de monosaccharides serait de fournir une base pour une production plus durable de polysaccharides. Une telle suite,la production synthétique de polysaccharides pourrait être réalisée via une polymérisation de monosaccharides synthétiques. Une avancée cruciale dans cette direction se concentrerait sur la synthèse de l'amidon. Une autre avancée pourrait être la synthèse de la cellulose, par exemple, afin de fournir une matière première durable pour l'élevage ou l'industrie du papier.
Nous notons que l'amidon (essentiellement pur) (issu de la production agricole) sous forme de farine a été l'ingrédient principal de nombreux types d'aliments comme le pain, les pâtes ou la bière.
j'ai des doutes sur cette phrase, il n'y a pas que de l'amidon dans la farine. Il y a au moins 10% de protéïnes
Telle qu'envisagé là, le sucre de synthèse ne remplace que la betterave à sucre et la canne dans un premier temps, qui ne couvrent qu'une petite partie des surface des surface argicoles . Comme je l'évoque, il est intéressant de voir si on peut nourrir d'autres être vivants avec du sucre de synthèse, qui eux même sont plus intéressants (comme les champignons...).
tout ça ne me tente pas d'en manger, alors que je me fais mes petits plats bios, mais si y'a rien d'autre parce qu'il pleut beaucoup moins, on sera bien contents d'en avoir.
Notons ces chiffres : 230m², surface mininale théorique pour nourrir un humain avec du sucre, sous le climat allemand, et 10-25m² sous le même climat en power to food.
Les m² les plus favorables sont en zone cotières désertique, pour un accès à l'eau, l'énergie solaire, le foncier donné.
L'article se termine sur des considérations générale :
sur le fait qu'il ne s'agit pas (du moins dans un premier temps) de faire de la production alimentaire basée ces sur process mais remplacer l'agriculture sur des production peu sohpisitiqués (sucre, amidon, glucose) et ainsi libérer des terres,
puis sur la transformation que pourrait être le passage de l' agriculture à la production d'aliments de synthèse, comme possibilité d'évolution humaine.
Beaucoup d'écolos s'en effareraient. Soyons objectifs : on mange très peu d'aliments issu d'animaux et plantes sauvages. Les plantes cultivées actuellement ont très peu à voir avec leur ancêtres naturels. En seulement 10000 ans d'agriculture, l'évolution des plantes dirigées par l'homme a conduit à des changement énormes. L'ancêtre de la pastèque est plus petit qu'une cerise, de ce point de vue la pastèque est proprement monstrueuse. Les ancêtres de la plupart des graines de l'alimentation courante sont minuscules, amères, très difficile à détacher. Bref, la plupart de ce qu'on mange est assez peu "naturel". Bien sûr, il faut être attentif aux impact sur la santé de ces changements, mais sans les refuser d'emblée en bloc.