source : http://www.esrl.noaa.gov/gmd/webdata/cc ... nd_mlo.pdf
416 ppm

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https://www.boursorama.com/actualite-ec ... 552061bbedPlus forte chute jamais enregistrée des émissions de CO2 au premier semestre
REUTERS•14/10/2020
Les émissions de dioxyde de carbone (CO²) ont chuté de 8,8% dans le monde au cours des six premiers mois de l'année, un record sur un semestre qui s'explique essentiellement par les restrictions liées au coronavirus, selon un rapport publié mercredi.
Selon cette étude du journal Nature Communications réalisée par un groupe de scientifiques basés en Chine, en France, au Japon et aux Etats-Unis, les émissions mondiales de CO² ont chuté de 1.551 millions de tonnes ou 8,8% sur la première moitié de l'année, par rapport à la même période l'année dernière.
Cette baisse est également plus importante que celle enregistrée lors de la Seconde guerre mondiale, même si le niveau moyen des émissions est aujourd'hui bien supérieur.
Au printemps dernier, la plupart des Etats ont recouru à des mesures de confinement afin de limiter l'épidémie de coronavirus qui a pesé sur la consommation d'énergie et a conduit par conséquent à ce recul des émissions de gaz à effet de serre.
Des températures plus élevées que d'habitude sur l'ensemble de l'hémisphère Nord ont également contribué au phénomène.
La baisse des émissions, qui a coïncidé avec les mesures de confinement, s'est néanmoins poursuivie dans les transports en dépit de l'assouplissement des mesures gouvernementales.
"Au premier juillet, les effets de la pandémie sur les émissions mondiales ont diminué alors que les mesures de confinement étaient allégées et que certaines activités économiques reprenaient, en particulier en Chine et dans plusieurs pays européens", souligne cette étude.
"Néanmoins, des différences importantes persistent entre les pays, avec une baisse des émissions continue aux Etats-Unis où les cas de coronavirus sont toujours en train d'augmenter considérablement."
https://www.boursorama.com/actualite-ec ... b020526f12Malgré le confinement, le niveau de gaz à effet de serre augmente encore, selon l'Onu
REUTERS•23/11/2020
Les concentrations de gaz à effet de serre ont atteint un record en 2019 et devraient avoir encore augmenté cette année malgré une baisse attendue des émissions due aux mesures de restrictions mises en place pour lutter contre la pandémie de COVID-19, a prévenu lundi l'Organisation météorologique mondiale (OMM), l'organe des Nations unies chargé du climat.
De nombreux scientifiques s'attendent à ce que l'année 2020 soit marquée par une chute des émissions de dioxyde de carbone (CO2) alors que la crise sanitaire a cloué les avions au sol, bloqué les navires à quai et forcé les gens à rester chez eux.
Malgré cela, l'OMM estime que la baisse prévue des émissions de CO2 cette année ne constitue qu'un "petit écart" et que son impact sera limité sur les concentrations de gaz à effet de serre, qui sont le résultat des émissions passées et actuelles cumulées.
"Il est impossible de faire la distinction à court terme entre l'impact des confinements dus au COVID-19 et la variabilité naturelle", peut-on lire dans le bulletin de l'OMM sur les gaz à effet de serre.
Ce bulletin annuel, publié par l'agence onusienne basée à Genève, renseigne sur la concentration atmosphérique des principaux gaz à effet de serre persistants - le dioxyde de carbone, le méthane et le protoxyde d'azote - qui réchauffent la planète et intensifient les événements météorologiques extrêmes.
Il ressort également de ce rapport que les niveaux de dioxyde de carbone, résultant de la combustion d'énergies fossiles et principal responsable du réchauffement climatique, ont brutalement augmenté en 2019 et que la moyenne mondiale annuelle a franchi le seuil significatif de 410 parties par million (ppm).
"Nous avons franchi le seuil mondial de 400 parties par million en 2015. Et à peine quatre ans plus tard, nous avons franchi la barre des 410 ppm. Nos archives ne font mention d'aucune augmentation de la sorte", a déclaré le secrétaire général de l'OMM, le professeur Petteri Taalas, qui appelle à "aplatir cette courbe (des émissions) de façon durable".
Les données mondiales pour 2020 ne sont pas encore disponibles mais la tendance à la hausse des concentrations de gaz à effets de serre devrait se poursuivre cette année, ajoute l'OMM, citant des rapports initiaux issus de diverses stations.
pas qu'en France, partout dans le monde.
https://www.connaissancedesenergies.org ... -19-201211Baisse record des émissions de CO2 de 7% en 2020 liée au Covid-19
AFP parue le 11 déc. 2020
Les émissions de CO2 d'origine fossile ont connu une baisse record de 7% en 2020, liée aux mesures de confinement prises contre l'épidémie de Covid-19, selon le bilan annuel du Global carbon project (GCP) publié vendredi.
Ce rapport s'intéresse aux émissions annuelles de CO2 d'origine fossile et à leur persistance dans l'atmosphère, responsables du changement climatique et de son lot de catastrophes.
Ce rapport est traditionnellement publié lors des conférence de l'ONU sur le climat. Cette année, sa publication intervient dans un contexte particulier, car la 26e COP prévue à Glasgow a été repoussée d'un an. Un sommet en ligne se tiendra samedi avec plusieurs chefs d'Etat pour marquer le 5e anniversaire de l'accord de Paris.
Ses résultats sont aussi inédits, avec une baisse estimée à 7% des émissions mondiales de CO2 fossiles sur l'année, soit 2,4 milliards de tonnes. Au plus fort du confinement au printemps, elles ont même chuté d'environ 17% comparé à 2019.
Jamais une telle diminution n'avait été observée auparavant, selon un communiqué de presse. Lors des précédentes crises mondiales (1945, 1981, 1992, 2009), elles n'avaient jamais dépassé 0,9 milliard de tonnes.
"La diminution des émissions en 2020 semble plus prononcée aux Etats-Unis (-12%), dans l'UE-27 (-11%) et en Inde (-9%), l'effet des restrictions Covid-19 s'ajoutant à une tendance précédente, et étant moins prononcée en Chine (-1,7%), où les mesures de restriction ont été prises au début de l'année et ont été plus limitées dans le temps", selon le communiqué.
En Chine, les émissions ont augmenté de 2% en 2018. "Il n'y aurait pas eu le Covid-19, cette croissance se serait probablement poursuivie", a expliqué Philippe Ciais, chercheur au Laboratoire des sciences du climat et de l'environnement lors d'une visio-conférence.
- Rebond attendu en 2021 -
Par secteur, les réductions d'émissions de CO2 ont été plus marquées dans les transports de surface, qui représentent 21% des émissions mondiales. Elles "ont été réduites de moitié dans les pays au plus fort du confinement", selon le communiqué.
Celles de l'aviation se sont effondrées de 75%. Elles ne représentent que 2,8% des émissions mondiales mais ne cessent de croître.
Les émissions de l'industrie (22% des émissions mondiales) "ont été réduites de 30% dans les pays au plus fort du confinement".
Sur une période de temps plus longue, "la croissance des émissions mondiales a été de 0,9% par an en moyenne entre 2010 et 2019", après 3% par an entre 2000 et 2009.
Pour autant, cela ne suffit pas pour réduire le réchauffement climatique et ses impacts, les émissions de CO2 se maintenant à des niveaux élevés.
De plus, leur diminution liée à la crise du coronavirus devrait être de courte durée. En Chine, les émissions ont déjà renoué en avril avec le niveau qu'elles avaient précédemment", indique Philippe Ciais. "On peut s'attendre à ce qu'il y ait un rebond en 2021."
"C'est un répit temporaire", poursuit-il. "Le moyen d'atténuer le changement climatique n'est pas d'arrêter les activités mais d'accélérer la transition vers des énergies bas carbone", insiste le chercheur.
De plus, la diminution des émissions de CO2 n'entraîne pas une réduction de la concentration de CO2 dans l'atmosphère, rappelle-t-il. Elle a été multipliée par près de 1,5 entre 1750 et 2019.
"La grande question est de savoir si les investissements liés à la relance économique vont permettre de créer une véritable augmentation dans les énergies bas carbone et une réduction visible des émissions", indique M. Ciais.
Quelque 12.800 milliards de dollars ont été promis ces derniers mois, dont 11.000 par les Etats du G20, pour soutenir entreprises ou ménages, soit trois fois plus qu'après la crise de 2008.
Mais selon 14 instituts de recherche, les pays du G20 ont annoncé au moins 234 milliards de dollars d'argent public en faveur des énergies fossiles, 151 milliards pour les énergies propres.
rien ne prouve que le réchauffement produit des sécheresses .... ni que la quantité globale de foret qui brule soit supérieure à celle qui repousse !
The SEI forum: Adapting Climate Science for Business
Wednesday 19 June, 2019, Sydney Environment Institute (SEI), University of Sydney.
At 1:11:20
Professor Andy Pitman:
“…this may not be what you expect to hear. but as far as the climate scientists know there is no link between climate change and drought.
That may not be what you read in the newspapers and sometimes hear commented, but there is no reason a priori why climate change should made the landscape more arid.
If you look at the Bureau of Meteorology data over the whole of the last one hundred years there’s no trend in data. There is no drying trend. There’s been a trend in the last twenty years, but there’s been no trend in the last hundred years, and that’s an expression on how variable Australian rainfall climate is.
There are in some regions but not in other regions.
So the fundamental problem we have is that we don’t understand what causes droughts.
Much more interesting, We don’t know what stops a drought. We know it’s rain, but we don’t know what lines up to create drought breaking rains.”
et tu sais pas te servir de Google translation ?