une baril de lessive verte gagner!!!que ça me gonflait de les respecter , que je voulais faire court .....je me suis fait jeté ! ...normal ...
Faut dire que especter les procédure cédure et tres long ... lire tout , analyser les évolution et leurs omplexités relationnels ...etc ..
et encore la provocation était prudente...parce que traitant un groupe , il chisit de provoquer , soit il était absent aux cours de socio
c'est plus pire que cela, il arrive qu' on lui demande de mettre le doigt là où ça fait mal attendant une réponse déjà préconcue et révélant là où ça fait mal cette réponse ne peut avoir que comme issue le rejet (résistance et refoulement en termes techniques en effet)... il faut soi-même avoir été soumis au traitement pour percevoir avec toute son acuité cette violence des affects induits par des mots anodins... la parole...Il faut savoir que le travail de psychologue, ça consiste souvent à mettre le doigt là où ça fait mal, afin que la personne prenne conscience que c'est là qu'elle a mal, et qu'elle en tire les conclusions qui s'imposent. A terme, ça contribue normalement à soulager la personne, mais sur le coup, cela provoque en général contrariété et refoulement, voire agression.
Donc, quand on évalue professionnellement un psychologue, on peut faire entrer l'évaluation du refoulement qu'il génère comme un facteur en sa faveur
d'une part j'ai pas vu de divan sur le forum d'autre part je ne suis pas dans une démarche thérapeutique vis à vis des membres du forum... je souhaite apprendre d'une part mais d'autre part partager ma compétence ... pour faire court on parle beaucoup des mécanismes psychologiques de la crise financière pourquoi ne pas parler (si comme moi on estime que c'est pertinent) de ces mécanismes aussi sur Oléocène? même si je sais que j'ai peu de chance de contribuer avec la psychologie à la compréhension dans ses dimensions physiques qui sont l'objet centrale de ce forum....pour la psychanalyse, c'est surtout une démarche qui laisse les gens parler eux-meme, et associer librement, jusqu'à réaliser, eux-meme, "où ça fait mal",
je veux dire par là que l'individu (lamda pas pour le gars dont c'est le boulot au quotidien bien sur) ne vas pas, ne doit pas y consacrer une énergie psychique phénoménale si c'est le cas cela me parait bizarre car ces évènements sont peu réprésentables finalement, c'est pas la vision des tours jumelles à New-York...Je suis surpris que, d'emblé, tu place sous "le bon sens" l'acceptation d'une mauvaise nouvelle (ou connoté comme telle). Dans les nombreuses expériences de sensibilisation (cf le fil dédié), je retire deux types de réactions immédiates à l'annonce (pourtant triviale) du déclin prochain du pétrole.
La première est typiquement l'absence de réaction, dans le sens où la personnene semble pas essayer de tirer des conséquences de l'information acquise. Par manque de pratique ? Pour ne rien remettre en cause ? "Ok, y aura bientôt plus de pétrole, on passe à table ? ""Tu te rend compte des conséquences possibles ?" "miam -burp..."
La seconde est la réponse typique du "oui, mais...". C'est à dire "j'accepte ton information, mais je la juge sans conséquence parceque [insérer ici un argument en général à 2 balle] "
Ce qui est nié, ce n'est pas la fin du pétrole, c'est finalement les conséquences possibles.
or la dénégation sur un plan psychique et encore plus de déni demandent, mobilisent une quatité d'énergie psychique phénoménale et dans un but bien précis... en gros si une quantité importante d'energie psychique est mobilisée par quelque chose c'est que ce quelque chose réprésente symboliquement un phantasme inconscient contre lequel le refoulement doit agir, il est alors trouvé un compromis, le refoulement maintient inconscient le phantasme mais permet à l'énergie de circuler via "le symptôme" ici ça serait tout ce qui tourne autour du climat, en gros l'insconsient nous joue des tours en détournant nos phantames vers des buts et des symptôme acceptables.... (c'est la culture dans le cas de la névrose)