Les chiffres officiels, ils concernent exclusivement les morts à l’hôpital et dans les ehpad, ils devraient être bien en dessous de l'accroissement de la mortalité constatée, mais ils sont bien au dessus
Le nombre de personnes infectées est probablement le double voire le triple que ce que nous disent les chiffres
Les bonnes questions ne sont pas celles que tu poses, qui n'ont d'autre intérêt que de tenter de noyer le poisson!
Combien de % de la population a été testé selon toi?
Voila les bonnes questions :
Qui a intérêt à faire monter l'angoisse et pourquoi?
Peut être ceux qui commencent à dire qu'il faudra une troisième dose et aussi une dose de vaccin tous les ans?
https://www.lemonde.fr/planete/article/ ... _3244.html
c'est comme l'arnaque des calculs de l'immunité de groupe qui fixe le seuil à 65-70%
Là ou il y a du pognon a se faire, il y a aussi généralement des margoulins!L’estimation de ce seuil d’immunité collective la plus consensuelle, autour des 65-70% le plus souvent avancée par les médias, politiques et certains scientifiques, est bien souvent prise pour une certitude. Mais d’où provient ce pourcentage? Celui-ci est dérivé des modèles d’épidémiologie SIR. Ces modèles, relativement simples, divisent la population en personnes susceptibles, infectées (et donc contagieuses), et enfin personnes guéries et considérées comme immunisées. Ces modèles permettent de mettre en équation l’évolution de l’épidémie, qui permettent d’estimer une valeur du seuil d’immunité collective, autour de 65-70% pour un virus avec un taux de reproduction autour de 3 comme celui responsable du covid-19. Cependant, ces modèles font de nombreuses hypothèses: notamment celle que la population est homogène, c'est-à-dire que tout le monde est également susceptible de contracter le virus et de le transmettre. Cette hypothèse est évidemment démentie par l’expérience: de par l’âge, le nombre de contacts sociaux et professionnels, et la susceptibilité au virus, la capacité à contracter et transmettre le virus est très variable dans la population.
Certains chercheurs en épidémiologie incluent donc cette hétérogénéité de la population dans leurs modèles. L’équipe de Gabriela Gomes, une chercheuse à l’Université Strathclyde de Glasgow totalisant près de 3000 citations et 40 ans de recherche, a ainsi publié sur le serveur de prépublications Medrxiv un article intitulé “Seuils d’immunité collective estimés pour d’épidémie en train de se dérouler”. Dans celui-ci, ils montrent que la prise en compte de l’hétérogénéité de la population dans les calculs peut mener à des estimations du seuil d’immunité collective autour de 10% à 20% pour les scénarios les plus optimistes, bien loin des 65-70% avancés habituellement. Cela ne signifie pas forcément que l’équipe de Gabriela Gomes ait nécessairement raison grâce à leur modélisation plus poussée (reposant elle aussi sur de nombreuses hypothèses simplifiant la situation réelle). Cependant, cela nous apprend que le fait d’inclure l’hétérogénéité des populations dans les modèles SIR peut faire varier le seuil d’immunité collective de 70% à 10%, et donc que nous sommes encore dans une grande incertitude face au véritable seuil d’immunité collective. L’utilisation de la valeur de 65% pour prendre des décisions politiques paraît alors discutable.
Les conclusions de l’article de Gabriela Gomes et son équipe sont donc d’une importance cruciale. Mais celles-ci n’ont jamais été publiées, à cause du refus du journal scientifique à qui l’article fut soumis. La réponse du journal scientifique à l’équipe de Gabriela Gomes pour expliquer leur refus de publier son article est édifiante. Il n’est pas question d’un refus à cause de la qualité de l’article, mais d’un refus de le soumettre au processus de peer review à cause des conclusions même de l’article : “Étant donné les implications en termes de santé publique, il convient d’exiger un très haut niveau de preuve pour les affirmations autour du seuil d’immunité collective, car elles pourraient être interprétées comme justifiant une relaxation des interventions, mettant potentiellement en danger des personnes”.

Faire chauffer le goudron et ressortir les plumes de pigeons, va devenir indispensable!