"07h10: Plusieurs dérangements d'installations liés à des vols de matériaux perturbent la circulation des trains entre Agen et Bordeaux"
Avec le prix du Cu qui s'envole, ce genre d'incident risque d'arriver fréquemment

Modérateurs : Rod, Modérateurs
Qui dit "électricité" dit "cuivre"!! tant pour la production, le transport, les différentes transformations....
A partir de quel chiffre est-ce que tu commencerais à te dire « oups, il doit y avoir une erreur »?
l' article dit bien que ce cuivre est pour la turbine éolienne, pas le réseau électrique.
Vraiment?energy_isere a écrit : ↑18 mai 2021, 20:40l' article dit bien que ce cuivre est pour la turbine éolienne, pas le réseau électrique.
J'ai fait des controles de sécu d'installations de groupes ricains en tournée. J'étais stupéfait de la section de leurs cables ...obligé de venir avec du matos à eux, spécifique ..En fait comme ils paient(payaient) pas cher le Cu , après avoir zigouillé le président du Chili, ils utilisent surtout du 110v et non du 220 v ou 380 v ....D' ou des sections plus importantes pour la même puissance par le fait que P est betement = à UxI .
Ailleurs on peut lire :“An average turbine of 3.6MW, which can power more than 3,300 average EU households, will contain close to 29 tonnes (t) of copper.”
6,4 t de cuivre pour une éolienne Adven de 8 MW et 29 t de cuivre pour une éolienne de 3.6 MW dans l'article, y a un loup quelque part!La longueur approximative des câbles électriques pour chaque l'éolienne Adwen de 8MW est d'environ 12,4 km (2,4 km de câbles moyenne tension et 10 km de câbles basse tension) pour un poids total de cuivre d'environ 6 400 kg
A vue de pif c’est simplement un quiproquo sur « contains ». Une éolienne en mer (utilise plus de cuivre)/(a un contenu cuivre plus élevé) parce qu’il y a plus de câbles pour relier à la terre. Si tu remplaces les câbles de transport par de l’aluminium, la quantité de cuivre résiduelle sera pour le convertisseur, environ 1/2 tonne par MW peu importe que ce soit en mer ou à terre. Le cuivre du convertisseur peut aussi se remplacer par de l’aluminium (ou de l’argent, ou de l’ormobar a écrit : ↑20 mai 2021, 21:31Dans l'article on peut lire :Ailleurs on peut lire :“An average turbine of 3.6MW, which can power more than 3,300 average EU households, will contain close to 29 tonnes (t) of copper.”6,4 t de cuivre pour une éolienne Adven de 8 MW et 29 t de cuivre pour une éolienne de 3.6 MW dans l'article, y a un loup quelque part!La longueur approximative des câbles électriques pour chaque l'éolienne Adwen de 8MW est d'environ 12,4 km (2,4 km de câbles moyenne tension et 10 km de câbles basse tension) pour un poids total de cuivre d'environ 6 400 kg
https://www.ifpenergiesnouvelles.fr/art ... opolitiqueLE CUIVRE DANS LA TRANSITION ÉNERGÉTIQUE : UN MÉTAL ESSENTIEL, STRUCTUREL ET GÉOPOLITIQUE !
Enjeux et prospectiveClimat, environnement et économie circulaireMétaux critiques et terres rares
04.12.2020 IFP Energie Nouvelles
https://www.agenceecofin.com/cuivre/250 ... s-au-chiliLa production mondiale de cuivre est sous la menace de restrictions écologiques au Chili
Agence Ecofin 25 mai 2021
Le cuivre est sur une pente ascendante depuis plusieurs mois et a établi il y a quelques semaines un nouveau record historique de prix. Ce rallye, lié notamment aux craintes de déficit, pourrait s’intensifier si le chilien Codelco, le plus grand producteur mondial, est privé de trois de ses mines.
Un projet de loi actuellement en examen au Sénat chilien va affecter les capacités de Codelco, le plus grand producteur mondial de cuivre, apprend-on de Reuters. Dans une lettre adressée à la chambre haute du Parlement, le géant minier a déclaré que cette loi sur la protection des glaciers locaux viendra en effet interdire l’exploitation minière dans les zones en question, obligeant Codelco à fermer trois mines qui représentent 40 % de sa production annuelle.
« Les nouvelles protections proposées dans le projet empiéteraient sur les activités actuelles et futures d’Andina, d’El Teniente et de Salvador », indique la correspondance obtenue par le journal local El Mercurio.
Cette information intervient alors que le métal rouge flirte avec la barre des 10 000 $ la tonne depuis quelques semaines. Surtout, le prix du cuivre est sur une pente ascendante depuis des mois, porté par une forte demande, mais aussi les craintes d’un déficit important sur le marché à court et moyen terme. Ces nouvelles craintes du plus grand producteur mondial ne devraient donc pas inverser la situation et pourraient pousser le métal rouge vers de nouveaux sommets.
En plus des profits record que les deux principaux producteurs de cuivre (RDC et Zambie) du continent peuvent engranger, notons qu’une hausse et un déficit durables sur le marché pourraient accélérer le développement de nouveaux projets en Afrique. La ceinture de cuivre du Kalahari, située principalement au Botswana et en Namibie, fait ainsi partie de ces régions du continent riches en cuivre, mais pas suffisamment exploitées à l’heure actuelle.
https://www.agenceecofin.com/cuivre/260 ... productionRDC : Kamoa-Kakula, la future deuxième plus grande mine de cuivre au monde, entre en production
Agence Ecofin 26 mai 2021
« Le cuivre est le nouveau pétrole », c’est par ces mots que Goldman Sachs a désigné récemment dans un rapport le métal rouge qui sera bientôt la matière première la plus importante au monde. Avec l’entrée en production de sa mine Kamoa-Kakula, la RDC se place en bonne position sur le marché.
En RDC, la compagnie canadienne Ivanhoe Mines a annoncé mercredi 26 mai l’entrée en production de sa mine de cuivre Kamoa-Kakula. Elle a produit ses premiers concentrés de cuivre la veille, soit plusieurs mois avant la date prévue.
« C’est un moment historique pour Ivanhoe Mines et la RDC », a commenté le patron de la compagnie, Robert Friedland, qui indique que la découverte et l’entrée en production (en avance sur le calendrier défini) d’actifs de cuivre d’une telle envergure et teneur sont en général une licorne dans l’industrie.
Pour atteindre cet objectif, il aura donc fallu 24 ans à Ivanhoe et son partenaire chinois Zijin Mining, années au cours desquelles ils ont investi plusieurs centaines de millions de dollars dans l’exploration (qui a permis de réaliser il y a cinq ans la grande découverte Kakula), les différentes études et la construction du projet. La première phase devrait permettre de produire 200 000 tonnes de cuivre par an et la deuxième phase portera ce volume à 400 000 tonnes. Ivanhoe Mines veut faire du projet Kamoa-Kakula la deuxième plus grande mine de cuivre en production au monde, avec une livraison annuelle de 740 000 tonnes de cuivre dès la douzième année d’exploitation.
Un des événements les plus attendus dans le secteur minier africain cette année, l’entrée en production de la mine de cuivre Kamoa-Kakula intervient à un moment où le prix du cuivre flirte avec la barre des 10 000 $ la tonne depuis quelques semaines. Surtout, le prix du métal rouge est sur une pente ascendante depuis des mois, porté par une forte demande, mais aussi les craintes d’un déficit important sur le marché à court et moyen terme.
C’est donc une vraie manne financière qui attend les parties prenantes, y compris la RDC où, tout récemment, le président Félix Tshisekedi s’en est pris violemment aux compagnies minières internationales actives en RDC, qui selon lui « deviennent de plus en plus riches » alors que les Congolais « croupissent toujours dans la misère ». Il a laissé entendre que le premier producteur de cuivre en Afrique va renégocier ses contrats avec les sociétés pour des partenariats gagnant-gagnant.
Today I was in Hamburg where we supplied our Client Aurubis for the first H2 injection in Anode Furnace to test the replacement of natural gas in copper production! A great project showing Air Liquide 's engagement in enabling the decarbonization of its industrial clients. More trials to come!
https://www.northernminer.com/news/bigg ... 003831234/(Kamoa Kakula) Biggest copper project in decades begins production
Ivanhoe Mines has begun producing copper concentrate at its Kamoa-Kakula project in the Democratic Republic of the Congo (DRC) months ahead of schedule as the metal continues to trade close to all-time highs.
Members of Kamoa-Kakula’s multinational team of geologists and engineers. Credit: Ivanhoe.
Kakula, the first mine planned at the concession, is initially forecast to generate 3.8 million tonnes of mineralized material a year at an average feed grade “well in excess of 6% copper” over the first five years of operation, the company said.
Ivanhoe and partner Zijin Mining said first ore was introduced into the concentrator plant on May 20 to perform initial hot commissioning tests on the ball mills and other processing equipment.
As of May 25, 5% to 6% of copper ore was being conveyed directly from Kakula’s underground mining operations to the run-of-mine stockpile and the concentrator.
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Friedland, who made his fortune from the Voisey’s Bay nickel project in Canada in the 1990s, has been working on Kamoa-Kakula for ten years.
Operations at Kamoa-Kakula are set to ramp up this year to reach between 80,000 and 95,000 tonnes of copper in concentrate. After several phases of expansion, the mine’s peak annual copper production will be more than 800,000 tonnes.
Friedland believes the project will become the world’s second-largest copper mine and also the one with the highest grades among major operations. The concentrator is slated to produce concentrate grading around 57% copper.