si tu veux arguer qu'il y a une dispersion du coefficient de la valeur/énergie, que ce n'est pas une proportionnalité exacte, qu'il y a une dépréciation de la valeur avec le temps, évidemment que je ne vais pas te contredire. On parle en valeur moyenne évidemment.Jeudi a écrit : ↑24 janv. 2022, 18:34Le même raisonnement (la valeur de X c’est la confiance des autres que X à cette valeur) s’applique à la valeur des actifs physiques. Par exemple un immeuble peut valoir beaucoup si tu as un plan d’affaire crédible pour y implanter une entreprise à succès, ou pas grand chose si tu dois le louer à rabais pour cause de réglementation. Un sol peut être pollué au point d’être impropre à tout usage, et dix ans plus tard c’est rentable d’y poser du PV donc le terrain devient valorisé à hauteur de ce nouvel usage.GillesH38 a écrit : ↑24 janv. 2022, 15:25tu parles de quoi là ? de la valeur des actions en bourse? ça ça dépend de la confiance qu'on les investisseurs dans ce que ça peut leu rapporter, mais ça n'a pas grand chose à voir avec la valeur des actifs, qui elle est bien plus ou moins proportionnelle à l'énergie physique qui a été mobilisée par les activités de la banque. De même la faillite dépend de la capacité à honorer ses dettes, ça n'est pas directement lié non plus à la valeur des actifs.
Ce serait comme arguer qu'il y a une proportionnalité directe entre le bien être de l'humanité et la température moyenne à laquelle on vit, mais qui oserait prétendre une chose pareille ?

(Note bien qu'il n'y a même pas "découplage" entre le PIB et la température moyenne du globe, parce qu'en fait il n'y a jamais eu de couplage !!)