Bon, je sais pas trop où mettre ça, mais voilà.
J'ai déjà posté quelques articles de ce blog, mais il me semble intéressant d'en parler un peu plus. A Fistful Of Euros est un blog traitant de l'actualité politique et économique en Europe. Récemment, ils font le tour de tous les pays européens et décrivent les effets de la crise à grand renfort de graphiques (qui ont tous la même tête : un crosse de hockey vers le bas.)
Aujourd'hui, ils ont publié cet article pour analyser ce que fait l'UE et ce qu'elle pourrait faire pour gérer la crise dans les pays de l'Est. Ils sont partisans d'utiliser le potentiel de l'Euro pour sauver les meubles, et déplore la faiblesse générale de l'action de l'Union.
AFOE : What This Weekend’s EU Summit Did And Did Not Achieve
Et là, un petit extrait où ils mentionnent les prêts en CHF qui rendent dangereux pour la Suisse un effondrement des économies de l'Est. Ils avaient déjà abordé le sujet l'automne passé.
On the other hand unilateral adoption of the euro is a rather more difficult issue for the third group of countries, those who are EU members, are not in the eurozone and have floating exchange rates: the Czech Republic, Hungary, Poland and Romania. None of these is here and now, tomorrow, ready for the tough discipline of a single currency that rules out any future devaluation, and they are large enough collectively (around 80 million) that their premature entry could expose the euro to more turbulence than it already has on its plate. But so could simply leaving the situation as is, since if these economies enter a sharp contraction (more on this in a coming post) then the loan defaults are only going to present similar problems for the eurozone banking system as their currencies slide. The big vulnerability for Western Europe from the Polish, Hungarian and Romanian economies, arises from the large volume of Euro and CHF denominated debt taken on by firms and households, mainly from foreign-owned banks.