je vous communique un résumé des connaissances au 6 mai 2022 en rapport avec le sars, diffusées et enseignées par l'IHU Marseille , mises au clair le 6 mai par un certain Zenon
1. On ne peut pas prédire l’évolution d’une épidémie. Les modèles de prévision dits épidémiologiques n’ont pas de valeur et en conséquence ne peuvent être des outils de gestion.
2. On ne peut pas se débarrasser du sars Cov 2. Notamment parce qu’il peut passer par les réservoirs animaux. Il y a d’autres coronavirus endémiques et il faut vivre avec, ce que nous faisons habituellement. La stratégie d’éradication qui a pu marcher un temps dans des îles,N’est pas pertinente
3. L’épidémie de Covid n’a pas donné lieu à une surmortalité importante. Elle a donné lieu à une surmortalité légère chez des personnes à risque de forme grave bien identifiées. L’infection ne donne lieu à une maladie grave pouvant tuer que chez les personnes âgées, les obèses et les immunodeprimes, pour l’essentiel. Il n’y a pas de perte d’espérance de vie. La moyenne d’âge des personnes décédées est de 80 ans. Le Covid n’est pas là peste
4. Le soin est primordial pour réduire la mortalité chez les personnes à risque. La médecine est un artisanat, appuyé sur les études scientifiques notamment. Même à l’époque de la peste, ou les antibiotiques n’existaient pas, le fait de s’occuper des malades permet D’améliorer les chances de survie. Il est inadmissible de ne pas permettre aux patients l’accès aux traitements efficaces et non toxiques, sous prétexte qu’ils ne rapportent pas d’argent à l’industrie pharmaceutique.
5. En raison notamment du caractère fortement mutant-recombinant du virus (les « variants »), mais aussi de la nature des facteurs de risque de forme grave pour la maladie, il est illusoire de penser qu’un vaccin quel qu’il soit puisse être une baguette magique,Ni même l’outil de santé publique principal
6. Néanmoins il aurait été préférable de concevoir un vaccin classique à virus entier atténué (moins d’échappement et risques mieux connus qu’avec des technologies nouvelles)
7. Le vaccin de Pfizer ne permet pas de maîtriser la transmission du virus. L’exclusion des soignants non vaccinés est donc une décision purement politique sans rationnel scientifique.
8. En raison d’une exagération de l’ampleur de l’épidémie, le caractère « urgent » du vaccin a été mis sur le devant de la scène. Par suite, on s’est affranchi des règles usuelles d’évaluation de l’efficacité et de la sécurité du produit avant de le mettre sur le marché.C’est ce que veut bill gates qui souhaite accélérer la mise sur le marché des vaccins de manière générale
9. Il y a des effets secondaires graves chez les personnes vaccinées non à risque (par exemple les myocardites chez les jeunes), en proportion suffisamment importante pour que le bénéfice-risque du vaccin ne soit pas favorable pour ces personnes.
10. On peut faire l’hypothèse d’un bénéfice risque positif du vaccin pour les personnes à risque de forme grave. La protection dure quelques semaines.