L' Ammoniac comme vecteur d'Hydrogène

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LDA présente un navire de stockage d’ammoniaque et d’hydrogène

Publié le 12/12/2022 lemarin

Louis Dreyfus armateurs, à travers sa filiale portuaire et logistique LDPL, a obtenu l’autorisation de principe (AiP) du Korean register pour un concept de navire de stockage d’ammoniaque et de transformation en hydrogène.


Le concept qui a obtenu son autorisation de principe est prévu pour une industrialisation en 2026. (Photo : LDA)

https://lemarin.ouest-france.fr/secteur ... gene-45712

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Le belge CMB choisit l’ammoniac pour ses futurs vraquiers

Publié le 01/02/2023 Lemarin

La compagnie maritime belge CMB, qui appartient à la famille anversoise Saverys également actionnaire d’Euronav dans le pétrole, a choisi d’équiper ses dix prochains gros vraquiers newcastlemax de 210 000 tpl de gros moteurs lents alimentés à l’ammoniac.



Les dix gros vraquiers qui utiliseront les nouveaux moteurs de WinGD à l’ammoniac doivent être livrés en 2025 et 2026. (Photo : CMB)

https://lemarin.ouest-france.fr/secteur ... iers-46266

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Définition d'une unité flottante de production de NH3 en mer prés des parcs éolien :

DNV awards AiP for a floating ammonia production unit developed by SWITCH2 and BW Offshore

March 11, 2023 evwind

An industrial scale concept for a floating production unit to produce green ammonia has secured Approval in Principle (AiP) from DNV, affirming the technical feasibility of the design. The project is now ready to start the Basic Design phase.


Artists impression of the NH3 FPSO concept – a floating ammonia production unit developed by SWITCH2 and BW Offshore

The so-called NH3 FPSO concept is being developed by Netherland-based SwitchH2 BV and Norway-based BW Offshore and will be built through conversion of an existing Very Large Crude Carrier (VLCC) or a dedicated newbuild vessel. Receiving power primarily from a wind farm, the unit will produce hydrogen by electrolysis of seawater and nitrogen through the use of an air separation unit, combining these in an ammonia synthesis unit.

The ammonia gas produced by the unit will be condensed, and the liquid ammonia will be stored in the hull in order to be subsequently offloaded to an ammonia carrier. The NH3 FPSO will be permanently moored but can be relocated as necessary through planned disconnect. The offloading will be done through a floating hose, reeled from the aft ship to the shuttle ammonia carrier midship manifold.

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https://www.evwind.es/2023/03/11/dnv-aw ... hore/90657

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Air Liquide ouvre la voie à la conversion d’ammoniac en hydrogène avec une nouvelle technologie de craquage

le 23/03/2023 europétrole

Air Liquide annonce la construction d’une unité pilote de craquage d’ammoniac (NH3) de taille industrielle dans le port d’Anvers, en Belgique. Transformé en ammoniac, l’hydrogène peut être facilement transporté sur de longues distances. Dotée d’une technologie innovante, cette unité permettra la conversion d’ammoniac en hydrogène (H2), avec une empreinte carbone optimisée. Avec cette technologie de craquage, Air Liquide contribue au développement de l'hydrogène en tant qu'élément clef de la transition énergétique.

L’ammoniac - une molécule composée d’hydrogène et d’azote - peut être utilisé comme vecteur d'énergie. Il peut être produit avec une faible empreinte carbone à partir d’hydrogène dans des géographies disposant de ressources abondantes en énergies renouvelables telles que l’énergie solaire, éolienne ou hydraulique, ou d’autres énergies bas-carbone. Une chaîne d’approvisionnement globale existe déjà pour sa production, son transport et son utilisation à grande échelle à destination d’industries diverses. Cela permet à des régions disposant de ressources abondantes en énergies renouvelables d’exporter de l’ammoniac à travers le monde jusqu’aux utilisateurs finaux, puis de le reconvertir localement en hydrogène pour contribuer à la décarbonation de l’industrie et de la mobilité.

Combinant un nouveau procédé efficient avec les technologies propriétaires d’Air Liquide, cette unité pilote innovante devrait être opérationnelle en 2024. Le gouvernement flamand, à travers le VLAIO (agence flamande pour l'innovation et l'entrepreneuriat), a confirmé un soutien financier au projet.

Depuis plus de 60 ans, Air Liquide maîtrise l'hydrogène depuis sa production, son transport, son stockage et sa distribution jusqu'à ses applications finales. Dans le cadre de son plan stratégique ADVANCE, le Groupe s'est engagé à investir globalement environ 8 milliards d'euros dans la chaîne de valeur de l'hydrogène bas carbone d'ici 2035.

Michael J. Graff, Directeur Général Adjoint du Groupe Air Liquide, a déclaré:
"Cette solution permet d’enrichir le portefeuille déjà étoffé d’Air Liquide dans le domaine des technologies de l’hydrogène. Le craquage d’ammoniac apporte une solution supplémentaire pour le développement d’un marché hydrogène global. Plus que jamais, le Groupe s’engage pour faire de l’hydrogène un élément clef de la lutte contre le changement climatique, en particulier à travers la décarbonation de l’industrie et de la mobilité lourdes."

https://www.euro-petrole.com/air-liquid ... -n-f-25329

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Air Liquide construit à Anvers, en Belgique, une unité pilote pour la production d’hydrogène bas carbone à partir du craquage d’ammoniac. Cette solution n’est pas encore disponible à l'échelle industrielle, mais devrait renforcer le portefeuille d’hydrogène d’Air Liquide qui a prévu 8 milliards d’investissements dans le domaine, pour les solutions bas carbone, jusqu’en 2035. Philippe Merino, vice-président supervisant l’activité ingénierie et construction d’Air Liquide, détaille pour l’Usine Nouvelle la technologie et le projet industriel.

Julien Cottineau 05 Avril 2023

L'Usine Nouvelle - Qu’est-ce qui est novateur dans cette technologie de craquage d’ammoniac et comment fonctionne-t-elle?
Philippe Merino - Aujourd’hui, personne ne fait encore de craquage d’ammoniac à l’échelle industrielle. Nous avons développé cette technologie en nous inspirant de notre connaissance de l’hydrogène depuis 60 ans et en nous appuyant sur notre expertise dans les procédés de craquage de gaz naturel, procédés que l’on va ici adapter pour l’ammoniac.

Le procédé consiste à faire passer de l’ammoniac dans des tubes remplis de catalyseurs à base de métaux, à haute température, entre 600 et 800 degrés, pour effectuer une synthèse inverse de l’ammoniac qui est constitué d’azote et d’hydrogène. Le craquage catalytique permet de séparer les deux molécules sous forme d’un flux gazeux qui est ensuite refroidi. La dernière étape consiste à séparer les différents gaz pour, d’un côté, récupérer de l’hydrogène pur et, de l’autre, un flux composé principalement d’azote et d’un peu d’ammoniac résiduel.

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https://www.usinenouvelle.com/article/l ... e.N2118201

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Mitsubishi Shipbuilding Eyes to Fuel Sea Transport with Ammonia

by Jov Onsat|Rigzone Staff|Thursday, June 08, 2023

Mitsubishi Shipbuilding Co. Ltd. has entered a deal for technical studies on technologies that would enable ammonia to be used to power vessels.

The agreement with Winterthur Gas & Diesel AG (WinGD) will test the gas commonly used for fertilizers on “large, low-speed two-stroke marine engines” currently being developed by the Swiss company, Mitsubishi Heavy Industries Group (MHI) said in a press release Monday. The memorandum of understanding (MOU) was signed June 2.

“The newly concluded MOU reflects both companies’ desire to contribute to the achievement of the International Maritime Organization's (IMO) decarbonization target in the maritime industry's greenhouse gas (GHG) emissions”, MHI, Mitsubishi Shipbuilding’s parent, said.

The engine model WinGD is developing, called X-DF-A, is designed to run on ammonia. “Mitsubishi Shipbuilding will now work with WinGD in studying the technologies for developing and commercializing the ammonia fuel supply system for the X-DF-A engines”, the announcement stated.

“Ammonia, which emits no CO2 when combusted, is garnering attention today as a fuel that contributes significantly to the reduction of GHG emissions in the maritime industry, and it is expected to be utilized as a stable, clean energy in the future”, MHI said.

The IMO has pledged to cut 50 percent of total annual GHG emissions in the shipping sector by 2050 relative to 2008 levels, which its “Greenhouse Gas Study 2020” estimated to be 794 million metric tons of carbon dioxide (CO2) equivalent. The report for 2020, the latest edition, said shipping accounted for 2.89 percent of human-caused emissions 2018, when the sector emitted 1.076 billion metric tons of GHGs.

The Tokyo-based MHI has pledged to achieve net zero CO2 emissions by 2040 with a near-term target reduction by half come 2030 relative to 2019 levels. “These targets include the reduction in emissions attributed to our customers’ use of our products and services, and the reduction contribution from MHI’s Carbon dioxide Capture, Utilization and Storage (CCUS) business”, it said in a media statement October 29, 2021.

“A key objective will be to help customers to bend the cost curve of their energy transition with affordable and reliable solutions, as we help to realize a sustainable society”, the MHI said in that statement.

It targets to reduce CO2 released directly from its operations by half by 2030 relative to 2014 levels. “MHI Group will work on decarbonizing its factories by implementing the technologies it has developed in its own facilities and further advancing energy conservation”, the commitment statement said.

The International Energy Agency (IEA) sees a 37 percent growth in ammonia production to 253 million metric tons by 2050 relative to current levels with the assumption that producers set steps to become net zero by 2050, according to the agency’s roadmap for sustainable nitrogen fertilizer production published October 2021.

Around 70 percent of ammonia currently produced is used for fertilizers, according to the IEA in that report.

“While the use of ammonia as a fuel shows promise in the context of clean energy transitions, this application currently remains nascent”, the IEA said.

https://www.rigzone.com/news/mitsubishi ... 9-article/

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L’Europe reçoit une première cargaison commerciale d’ammoniac bleu

Publié le 07/07/2023 lemarin

Une première pleine cargaison d’ammoniac bleu a été livrée en Europe, au port bulgare de Varna ouest, a annoncé Exmar le 6 juillet.

Le transporteur de GPL Kallo de l’armateur belge y a déchargé fin juin 25 000 tonnes de ce produit. Agropolychim utilisera la cargaison dans son usine d’engrais de Devnya pour y produire « le premier nitrate d’ammonium à faible contenu carbone d’Europe », a expliqué son directeur général, le Belge Philippe Rombaut. Cet ammoniac dit bleu, c’est-à-dire obtenu à partir de gaz avec captage et stockage du CO2 associé, a été importé d’Arabie saoudite, où il a été produit par la société locale Ma’aden.


Le transporteur de GPL « Kallo » a déchargé sa cargaison d’ammoniac bleu en Bulgarie. (Photo : Exmar)

https://lemarin.ouest-france.fr/secteur ... bleu-48067

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WinGD annonce son premier moteur à l’ammoniac pour 2025

Publié le 18/07/2023 lemarin

Le spécialiste suisse des gros moteurs à deux temps fabriqués sous licence en Asie WinGD a annoncé le 18 juillet être en capacité de livrer un premier moteur lent à l’ammoniac carburant au premier trimestre 2025, ouvrant la voie à la mise en service d’un premier navire utilisant ce nouveau moteur X-DFA en 2026.

La Compagnie maritime belge, dirigée par la famille anversoise Saverys, a déjà pris une option pour équiper dix de ses prochains gros vraquiers de 210 000 tpl commandés en Chine par sa filiale Bocimar. Après avoir pris le leadership pour les moteurs lents alimentés au gaz naturel liquéfié qui équipent les nouveaux méthaniers mais aussi les gros navires de charge au GNL carburant comme les neuf porte-conteneurs de 23 112 EVP de CMA CGM, WinGD est concurrencé par Man sur les autres types de carburants appelés à jouer un rôle majeur dans la décarbonation du transport maritime.



Bocimar, la filiale vrac de la Compagnie maritime belge, a pris une option pour les futurs moteurs à l’ammoniac de WinGD. (Photo : CMB Tech)

https://lemarin.ouest-france.fr/secteur ... 2025-48197

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Le Lloyd’s register valide le moteur à l’ammoniac de WinGD

Publié le 28/09/2023 lemarin

La société de classification Lloyd’s register a donné son autorisation de principe (AIP) au nouveau moteur lent alimenté à l’ammoniac carburant du motoriste suisse WinGD.



Le motoriste suisse WinGD, concurrencé par l’allemand Man, achève ses tests en Chine sur son prochain gros moteur lent à l’ammoniac carburant, qu’il entend commercialiser en 2025. (Photo : WinGD)

https://lemarin.ouest-france.fr/secteur ... ingd-48920

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Deux navires électriques à l’ammoniac à l’étude pour Bourbon Horizon

Publié le 05/10/2023 lemarin

Bourbon Horizon, coentreprise du groupe Bourbon et d’Horizon maritime, a signé avec la société de conseil Green ships et l’entreprise d’ingénierie Amogy un protocole d’accord en vue de construire deux ravitailleurs de plateformes (PSV) électriques à l’ammoniac.

La signature du memorandum of understanding (Mou), qui prévoit la construction de deux PSV zéro émission de 82 mètres de long avec une option pour un troisième, a été annoncé le jeudi 5 octobre par Amogy, société américaine implantée en Norvège qui a développé une technologie de transformation de l’ammoniac en électricité. Doté d’un système principal Voith, l’« ePSV » serait équipé de deux propulseurs principaux de 1 850 kW. La technologie développée par Amogy consiste en un système de « craquage convertissant l’ammoniac liquide en hydrogène gazeux pour une intégration directe dans les piles à combustible », indique le communiqué. Les piles à combustible permettant de produire l’électricité qui alimentera les moteurs.


Le PSV, de 82 mètres de long, serait doté d’un système principal Voith et de deux propulseurs principaux de 1 850 kW. (Image : Green ships)


Réservoir de 100 m³

« Pour garantir la continuité des opérations en mer, la capacité du réservoir d'ammoniac sera de l’ordre de 100 m³. Le système complet sera bien confiné, conçu pour éviter toute fuite, assurer une bonne ventilation et respecter les protocoles DNV en cours de développement », précise Amogy.

Les besoins en en énergie du navire seraient par ailleurs réduits grâce à une conception minimisant l’encombrement global « avec une proue verticale et une forme de coque élancée », une centrale électrique réduite, un faible poids en acier, moins de composants principaux « pour une maintenance réduite », notamment. Amogy annonce une durée de vie minimale de 30 ans.

« Ce projet sera le premier du genre, a déclaré Per Kavli, le PDG et fondateur de Green ships, société norvégienne de conseil en architecture et construction navales. Nous comptons sur des financements publics et privés pour garantir le succès de ce projet. »

Également basée en Norvège, Bourbon Horizon a été formée en mars par Bourbon et la société canadienne Horizon maritime, qui en détiennent chacun 50 %. Destinée à opérer en mer du Nord et au Canada, elle possède et exploite actuellement sept navires – cinq PSV et deux PSV polyvalents (MPSV) – et compte 210 salariés.

https://lemarin.ouest-france.fr/secteur ... niac-49040

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Le belge Exmar se lance dans l’ammoniac carburant avec deux gaziers

Publié le 16/10/2023 lemarin

L’armateur gazier belge Exmar, associé au canadien Seapeak (ex-Teekay), a décidé de doter deux de ses quatre navires transporteurs de gaz de pétrole liquéfié, actuellement en commande en Corée, de moteurs dual-fuel alimentés à l’ammoniac.


Après le GPL carburant, l’armateur belge Exmar passe à l’ammoniac pour deux de ses quatre nouveaux gaziers de 46 000 m3. (Photo : Hyundai mipo)

https://lemarin.ouest-france.fr/secteur ... iers-49166

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Yara promet un porte-conteneurs à l’ammoniac carburant pour 2026

Publié le 08/11/2023 lemarin

Après le petit feeder autonome et tout électrique Yara Birkeland de 120 EVP, mis en service fin 2021 non sans difficulté, le producteur norvégien d’ammoniac pour l’industrie et l’agriculture s’engage dans un nouveau projet de porte-conteneurs alimenté à l’ammoniac carburant.


L’industriel norvégien entend produire lui-même l’ammoniac vert qui servira de carburant à ce porte-conteneurs de 1 300 EVP. (Photo : Yara)

https://lemarin.ouest-france.fr/secteur ... 2026-49532

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Avec son moteur à l’ammoniac, Wärtsilä ouvre la voie à la navigation durable



Le groupe technologique Wärtsilä a dévoilé la 1ère solution commerciale basée sur un moteur à 4 temps pour le carburant à l’ammoniac dans le secteur maritime. Cette innovation marque une étape significative dans l’évolution des opérations de navigation durable, à une époque où les armateurs recherchent des alternatives viables parmi les carburants verts.

Viridis Bulk Carriers, la première compagnie de navigation à émission zéro au monde, devrait être le premier armateur à bénéficier de cette nouvelle solution à l’ammoniac.

Plus tôt ce mois-ci, Wärtsilä et Viridis Bulk Carriers ont signé une lettre d’intention pour la solution de moteur à l’ammoniac Wärtsilä 25, avec pour objectif de signer un contrat commercial début 2024.

Viridis Bulk Carriers apporte un « changement de jeu vert » sur le marché européen du vrac en mer, en planifiant un service de transport sans carbone basé sur une série de nouveaux navires propulsés à l’ammoniac.
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En plus du moteur, la solution complète comprend un système d’alimentation en gaz de carburant AmmoniaPac, le système de mitigation de libération d’ammoniac de Wärtsilä (WARMS), et le réducteur de NOx de Wärtsilä (NOR) pour un traitement optimal des gaz d’échappement.
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https://www.enerzine.com/avec-son-moteu ... 84-2023-11

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Maersk tankers commandera jusqu’à dix transporteurs d’ammoniac au chantier sud-coréen HSHI
Le danois Maersk tankers a indiqué, le 1er décembre, avoir commandé une série de très grands transporteurs d’ammoniac ou VLAC (very large ammonia carriers) auprès de HSHI (Hyundai Samho heavy industries).

Carole LANZI. Le marin le 04/12/2023



Le chantier sud-coréen Hyundai Samho heavy industries pourrait dans ce cadre livrer à l’armateur Maersk tankers jusqu’à dix navires de 93 000 m3. Cette commande de tankers d’ammoniac est la plus importante passée à ce jour à travers le monde.

Les quatre premiers VLAC, commandés de manière ferme, devraient être livrés entre la fin 2026 et le second semestre 2027. Le japonais Mitsui & Co co-investira dans ces premiers bateaux, qui seront opérés par Maersk... (abonnés)

https://lemarin.ouest-france.fr/shippin ... 868188f4e2

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Fortescue gets 200 million euros for Norway green ammonia plant

Reuters | December 15, 2023 |


Fortescue plans a flagship green ammonia plant in Norway,(Image courtesy of Fortescue Energy.)

Australia’s Fortescue on Friday said it received 200 million euros ($219.3 million) from the European Union (EU) for its Holmaneset Project, a flagship green ammonia plant in Norway.

The plant aims to capitalize on the Norwegian transmission grid’s surplus renewable energy and ship the resulting green ammonia to domestic and European markets, the iron ore miner said in a statement.

“The green hydrogen and green ammonia produced near Svelgen has the potential to replace fossil fuels in industries that find it difficult to cut emissions, like long-haul transport, shipping and heavy industry,” Fortescue Norway Country Manager Thor Magnus Rovik said.

The company is currently targeting the plant’s construction to commence in 2025, and operations in 2027, pending final approvals from the board.

Last month, Fortescue approved an estimated total investment of about $750 million over the next three years for two green energy and one green steel projects.

It has also significantly stepped up investments in renewable projects amid a global decarbonization push, but that has led to an exodus of high-level management and raised investor concerns.

($1 = 0.9120 euros)

https://www.mining.com/web/fortescue-ge ... nia-plant/