Eolien offshore

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Une usine pour jackets et flotteurs d’éoliennes s’installe en Galice

le 22/02/2023 lemarin

Amper se renforce dans l’éolien offshore. Le groupe espagnol vient d’annoncer le rachat par sa filiale Nervion naval offshore d’une usine de Siemens Gamesa en Galice, dans le nord du pays, pour y installer un site dédié à la fabrication d’éléments pour fondations jackets et flotteurs.

Le site, localisé dans la commune d’As Somoza près de La Corogne, doit entrer en service au second semestre 2023. L’usine disposant de 35 000 m² de surface couverte servait à Siemens Gamesa à la fabrication de pales d’éoliennes terrestres. Une production qui s’est arrêtée en 2021 faute de commande. « Avec cet accord de vente, Siemens Gamesa remplit l’engagement de réindustrialisation qu’il avait pris après l'arrêt de l’usine », souligne Amper.

Cette nouvelle implantation viendra compléter les installations d’Amper à Ferrol. Dans cette autre commune proche de La Corogne, le groupe s’est vu attribuer en juin 2022 une concession portuaire où il a lancé un programme d’investissement de 25 millions d’euros pour y installer un site de fabrication et d’assemblage de flotteurs d’éoliennes. Sa mise en service est prévue à la fin de l’année.

Nervion naval offshore, spécialisée dans la fabrication et l’assemblage de jackets et de flotteurs, se trouve être un sous-traitant régulier du constructeur naval Navantia pour ce type de contrat. L’entreprise participe notamment à la fabrication des jackets pour le parc de Saint-Brieuc.


Le groupe espagnol Amper a racheté une usine de Siemens Gamesa pour y installer un site dédié à la fabrication d’éléments pour fondations jackets et flotteur. (Photo : Amper)

https://lemarin.ouest-france.fr/secteur ... lice-46501

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Saipem et Seaway 7 s’allient dans l’éolien en mer

Publié le 24/02/2023

Seaway 7, basée à Oslo en Norvège, et le groupe italien Saipem deviennent partenaires commerciaux dans l’éolien en mer posé. Cette collaboration s’étendra sur une large gamme de services.



Seaway 7 dispose d’une flotte dédiée aux renouvelables d’une dizaine de navires, en attendant l’arrivée des « Alfa Lift » et « Seaway Ventus ». (Photo : Seaway 7)

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Edda wind commande quatre nouveaux CSOV pour l’éolien à Vard

Publié le 03/03/2023 lemarin

L’armateur et opérateur norvégien Edda wind vient de passer une commande de 250 millions d’euros au chantier Vard, du groupe Fincantieri, pour quatre nouveaux navires d’exploitation et de maintenance (CSOV) pour les parcs éoliens en mer.

Les coques des deux premiers navires seront construites au chantier naval de Vard en Roumanie tandis que leur équipement final se fera dans ses installations en Norvège. Leur livraison est prévue au premier trimestre 2025. Les deux suivants seront réalisés au chantier naval vietnamien de Vard à Vung Tau. Ils devraient prendre la mer au deuxième trimestre 2025 et au premier trimestre 2026.

Le contrat, qui comprend une option pour deux fois deux autres CSOV, porte sur le modèle Vard 4 25. Un design élaboré exclusivement pour Edda wind qui est « le fruit de la collaboration entre les deux sociétés », indique l’armateur norvégien. Les navires, dont la capacité d’embarquement sera de 25 membres d’équipage et 95 techniciens, seront en outre préparés pour utiliser du méthanol carburant et adaptés à l’usage d’un procédé de stockage de l’hydrogène dans un composé liquide (LOHC pour Liquid organic hydrogen carrier).

Avec ces quatre nouveaux navires, la flotte d’Edda wind comprendra quatorze unités dont deux sont en opération. Cinq autres doivent entre en service durant l’année dont l’Edda Goelo pour le parc éolien en mer de Saint-Brieuc.


La livraison des deux premiers CSOV est prévue pour le premier trimestre 2025. (Image : Edda wind)

https://lemarin.ouest-france.fr/secteur ... vard-46600

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Tête de pont Belge dans la Manche :

Voici la première île énergétique artificielle au monde, qu'est-ce que cela signifie concrètement ?

Article de Mathilde Rochefort 2 mars 2022 clubic

Elia, gestionnaire du réseau haute tension belge, a détaillé les plans de la construction de l'île Princess Elisabeth. Qualifiée de première île énergétique au monde, celle-ci aura pour objectif, entre autres, de relier les parcs éoliens offshore depuis la mer du Nord vers le continent.

L'île devrait jouer un rôle majeur pour permettre à la Belgique de respecter ses objectifs en matière d'énergies renouvelables, mais également celui de l'Union européenne (UE) d'atteindre les 300 gigawatts de capacité éolienne en mer d'ici à 2050.

Une interconnexion avec des parcs éoliens britanniques et danois

Située à 45 km des côtes belges en mer du Nord, la zone Princesse Elisabeth abritera plusieurs parcs éoliens offshore de 3,5 gigawatts de capacité totale. À cet endroit, Elia veut construire la « première île énergétique au monde ». Celle-ci permettra de centraliser toute l'électricité produite par les parcs éoliens aux alentours.

L'énergie sera transmise à l'île par des câbles sous-marins, où elle sera ensuite convertie en électricité haute tension et distribuée sur le continent belge et dans d'autres pays voisins. L'île va également abriter deux interconnexions hybrides avec le Royaume-Uni et le Danemark qui seront reliées à d'autres parcs éoliens situés en mer du Nord.

DEME Group et Jan De Nul Group, deux sociétés belges de construction offshore, viennent de former une coentreprise baptisée TM EDISON afin de construire l'île Princess Elisabeth. Le gouvernement belge subventionne le projet à hauteur de 100 millions d'euros.

Début des travaux en 2024

« Le périmètre extérieur de l'île sera constitué d'une série de structures en béton placées en anneau sur le fond marin. La zone située à l'intérieur sera remplie de sable et les infrastructures seront construites par-dessus », explique Elia. « Un haut mur protégera l'île des fortes vagues, du vent, de la pluie et des inondations », continue-t-elle. Une fois les fondations en place, l'infrastructure de l'île sera alors implémentée progressivement.



En plus de tout le nécessaire à la production électrique, l'île sera également dotée d'un port et d'un héliport, afin de faciliter les travaux de maintenance. La construction débutera début 2024 et devrait s'achever à la mi-2026. Le dispositif devrait être entièrement connecté à tous les parcs éoliens et au continent d'ici à 2030.

« L'île énergétique d'Elia intégrera les énergies renouvelables dans le réseau, facilitera les échanges internationaux d'électricité et augmentera notre sécurité d'approvisionnement, ce qui constitue une étape majeure vers une société neutre en carbone », conclut l'entreprise.

Sources : Electrek, Elia

https://www.msn.com/fr-fr/lifestyle/sho ... 4e1f&ei=99

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Mingyang dévoile une fondation jacket prévue aussi pour l’aquaculture

Publié le 18/04/2023

Le fabricant chinois d’éoliennes Mingyang smart energy annonce avoir lancé la construction d’une fondation jacket innovante. La structure en acier ne fait pas que supporter une éolienne, elle comprend aussi un système de cage pour élever du poisson.



Un exemplaire de cette fondation jacket avec un système de cage pour élever du poisson doit être installé dans le parc Mingyang Qingzhou 4 en mer de Chine méridionale. (Image : Mingyang)

https://lemarin.ouest-france.fr/secteur ... ture-47132

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suite de ce post du 23 juin 2022 viewtopic.php?p=2345880#p2345880

Un contrat à 7 milliards d’euros pour Vinci et Siemens energy dans l’éolien

Publié le 24/04/2023 lemarin

TenneT, le gestionnaire du réseau électrique en Allemagne et aux Pays-Bas, a désigné le 20 avril le consortium formé par l’allemand Siemens energy et l’espagnol Dragados offshore, filiale de Vinci, pour la fourniture de trois sous-stations électriques pour l’éolien en mer.



Le contrat remporté par Siemens energy et Dragados offshore, filiale de Vinci, porte sur trois sous-stations électriques. (Photo : Siemens energy)

https://lemarin.ouest-france.fr/secteur ... -mer-47175

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Orsted rallonge le contrat de Cadeler pour le parc éolien Hornsea 3

Publié le 26/04/2023 lemarin

Cadeler a signé deux contrats, le 25 avril, avec Osrted, le géant danois de l’éolien en mer, pour l’installation du parc Hornsea 3 au Royaume-Uni. Le montant du marché est compris entre 500 et 700 millions d’euros.


Cadeler utilisera pour ces contrats ses nouveaux navires jack-up commandés auprès du chantier naval chinois Cosco. (Image : Cadeler)

https://lemarin.ouest-france.fr/secteur ... ea-3-47202

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Stiesdal dévoile un concept d’industrialisation à terre de l’éolien flottant

Publié le 02/05/2023 lemarin

Henrik Stiesdal, inventeur danois prolifique dans l’éolien en mer, arrive avec un nouveau concept d’industrialisation de l’éolien flottant. L’idée portée par sa société Stiesdal offshore est de réaliser l’installation des éoliennes sur le flotteur à terre et non plus à quai.



Le concept de l’entreprise Stiesdal offshore est de combiner le montage de l’éolienne sur son flotteur et son départ pour son site d’installation en un processus unique. (Image : Stiesdal offshore)

https://lemarin.ouest-france.fr/secteur ... tant-47238

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suite de ce post du 24 avril 2023 viewtopic.php?p=2368076#p2368076

Eolien en mer du Nord: Nexans décroche le plus gros contrat de son histoire

AFPparue le 05 mai 2023

Le groupe français de câbles électriques Nexans a annoncé vendredi avoir remporté "le plus important contrat de son histoire", pour le raccordement de futurs parcs éoliens offshore en mer du Nord au réseau électrique en Allemagne.

Nexans a remporté un accord-cadre avec TenneT, opérateur de réseaux de transport d'électricité aux Pays-Bas et dans une partie de l'Allemagne, pour trois projets de raccordement au continent de parcs éoliens situés en mer du Nord allemande, portant sur un montant initial de 1,7 milliard d'euros.

Ces projets, destinés "à accélérer la transition énergétique de l'Allemagne et à renforcer la sécurité énergétique en Europe", doivent être opérationnels "entre 2029 et 2031", indique Nexans dans un communiqué diffusé vendredi.

Cette annonce intervient moins de deux semaines après la réunion à Ostende des responsables de neuf pays européens pour organiser le développement de l'éolien en mer du Nord.

Le deuxième câblier mondial acheminera au total 6 GW d'énergie de la mer du Nord vers l'Allemagne, via "plus de 2.160 kilomètres" de câbles sous-marins en courant continu à haute tension.

En 2022, Nexans, qui s'est recentré sur l'électrification et laisse tomber progressivement les câbles de données numériques, a fini le développement et le test du premier câble de 525 kV en courant continu, spécialement conçu pour soutenir la transition énergétique.

Il exécutera son contrat clé en main, comprenant aussi le génie civil, et fabriquera ses câbles dans son usine de Norvège à Halden. Les trois champs éoliens offshore qui seront raccordés sont BalWin3, LanWin4 et LanWin2.

En 2017, Nexans avait déjà obtenu de l'opérateur TenneT un contrat pour le raccordement du champs DolWin6 (deux fois 90 kilomètres), et en 2022 pour le champs BorWin6 (235 kilomètres).

"L'incertitude pesant sur l'approvisionnement énergétique souligne une fois encore la nécessité d'investir dans les réseaux offshore partout en Europe. Cela ne sera possible que par l'établissement de solides partenariats à long terme entre les fournisseurs et les opérateurs de réseaux de transport" a indiqué Vincent Dessale, directeur exécutif de Nexans.

"L'accord-cadre élaboré par TenneT est la réponse parfaite à ces défis", a ajouté la même source, se réjouissant de participer à un projet "pionnier".

Pour réduire sa dépendance aux énergies fossiles importées à la suite de la guerre en Ukraine, l'UE s'est récemment entendue pour doubler, à 42,5%, la part des renouvelables dans sa consommation énergétique d'ici 2030, notamment en accélérant les procédures d'autorisation des infrastructures.

https://www.connaissancedesenergies.org ... ire-230505

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En images | Le plus grand parc éolien en mer au monde, une vitrine pour Vattenfall

Publié le 28/09/2023 lemarin

L’énergéticien public suédois Vattenfall doit inaugurer le vendredi 29 septembre le parc éolien en mer Hollandse kust zuid aux Pays-Bas. Au-delà de devenir le plus grand champ en service au monde, ce champ de 1,5 GW attribué sans subvention sert à plusieurs expérimentations en matière d’environnement.



Hollandse kust zuid détrône Hornsea 2 comme plus grand parc éolien en mer au monde. Sa production devrait être d'au moins 3,8 GWh par an soit l'équivalent de la consommation en électricité de 1,5 millions de foyers néerlandais. (Photo : Loïc Fabrègues)

https://lemarin.ouest-france.fr/secteur ... fall-48926
plus de photo et commentaires dans le lien

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Bientôt testée en Norvège, cette éolienne offshore controrotative sort des sentiers battus
[L'industrie c'est fou] Un nouveau modèle d’éolienne off-shore, développé par l’entreprise norvégienne World Wide Wind, devrait être construit et testé au sud-ouest de la Norvège. Son architecture rompt avec l'habituelle hélice verticale posée au sommet d'un mat. Car si la structure actuelle des éoliennes fonctionne correctement sur terre, leur transposition en mer pourrait avoir été un contresens.

Guilhem Bernes 06 novembre 2023


Si sur le plan théorique certaines études valident la supériorité de ces structures, celles-ci n'ont pas encore fait leurs preuves pratiques.

Si seulement nous y avions pensé plus tôt. Le spécialiste norvégien de l'éolien World Wide Wind doit prochainement tester un modèle réduit de son éolienne offshore contrarotative spécialement conçue pour la mer. Fi du générateur culminant tout en haut d’un mât instable, la nouvelle perche norvégienne concentrera les composants les plus lourds... sous l’eau. La structure devrait ainsi neutraliser le roulis de l’édifice sur les vagues et réduire les coûts de construction et d’entretien.

La plus grande révolution est visuelle. Si le grand public est familier des hélices positionnées sur un plan vertical, le nouveau modèle d'éolienne positionne deux turbines de trois pales chacune sur un plan horizontal de 45 degrés. L’éolienne est ainsi «contrarotative» : l’hélice située à l’étage inférieur tournerait dans le sens inverse de celle située à l’étage supérieur. La structure doit alors permettre à l’éolienne de s’incliner naturellement sur un axe optimal permettant aux deux turbines de tourner dans des directions opposées quel que soit la direction du vent, doublant ainsi la vitesse de rotation du rotor.

Un premier essai dans le sud-ouest de la Norvège

Suite à un accord entre World Wide Wind et le constructeur local AF Gruppen, un prototype de 19 mètres de haut pour une puissance de 30 kilowatts doit être testé dans le village de Vats, dans le sud-ouest de la Norvège. Cette éolienne contrarotative d’essai devrait réduire de moitié le coût d’un générateur d’éolienne traditionnelle de puissance comparable.

Pour l’heure, l’entreprise n’a pas précisé de date pour ce prototype. En revanche, un prochain pilote de plus grande taille – 1,5 mégawatt – devrait débuter ses essais début 2025, promet le Norvégien. Le fournisseur d’éoliennes espère commercialiser ses premiers modèles de 24 mégawatts avant 2030, ce qui, à l’heure actuelle, en ferait la plus grande turbine off-shore du monde. World Wide Wind estime même que la structure pourra évoluer jusqu’à 400 mètres de hauteur pour une capacité de production de 40 mégawatts. Rêvons sans limite.

https://www.usinenouvelle.com/article/b ... s.N2190553

[Jeuf]

j'ai pas compris, il y a qq chose qui tourne dans cette machine?

Sinon, c'est bien de tout remettre à plat la façon dont on capte l'énergie du vent, y'a peut-être de l'idée.

[GillesH38]

je comprends que ce sont les deux hélices horizontales qui tournent en sens inverse l'une de l'autre ce qui double la vitesse relative de rotation, c'est pas con.

[Glycogène]

La masse du générateur ne se trouve pas au sommet du mat, mais le mat est tournant (l'hélice inférieure y est fixée), et il y a un axe à l'intérieur qui tourne en sens inverse pour transférer le mouvement de l'hélice supérieure.
Le tout avec un porte-à-faux de malade reporté sur la base, sur la liaison de l'axe tournant, liaison qui se prend des vagues (le moindre défaut d'étanchéité du joint et ya tout qui rouille, à moins que tout soit en inox, bonjour le coût !)
Je pense qu'on va bien rigoler en regardant l'usure et les problèmes mécaniques des protos.

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La Chine consolide encore sa place de premier marché pour l’éolien en mer dans le monde
L’année 2023 a été la deuxième en termes de nouvelles connexions pour l’éolien en mer, selon le rapport du Gwec, le Conseil mondial de l’énergie éolienne. La Chine représente à elle seule plus de la moitié de la capacité mise en service.

le 16/04/2024 lemarin

L’arrêt en 2021 du tarif de rachat de l’électricité à prix fixe pour l’éolien en mer par le gouvernement chinois n’a pas inversé la tendance. La Chine est restée en 2023 et pour la sixième année consécutive le pays durant laquelle le plus de nouvelles capacités d’éolien offshore ont été mises en service. Avec 6,3 GW supplémentaires, l’Empire du milieu totalise désormais 38 GW, soit la moitié de la capacité mondiale d’éolien en mer, qui s’élève selon le rapport du Gwec... abonnés

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