https://www.connaissancedesenergies.org ... ges-230221Gaz et renouvelables dopent Engie en 2022, mais son bénéfice net est quasi annulé par de lourdes charges
AFP le 21 févr. 2023
Le géant énergétique français Engie a enregistré en 2022 une forte croissance dans la plupart de ses activités, notamment celles liées au gaz et aux renouvelables, dopées par la flambée des prix de l'énergie, mais son bénéfice net est réduit de 95% par rapport à l'an dernier, à 200 millions d'euros, en raison d'importantes charges.
Son chiffre d'affaires a atteint 93,9 milliards d'euros, en hausse de 62,2% par rapport à 2021.
La fourniture d'énergie, notamment de gaz, a le plus contribué à la performance opérationnelle du groupe, avec les records des cours du gaz naturel atteints l'an dernier. La division d'Engie qui opère sur les marchés de l'énergie lui a ainsi rapporté deux milliards d'euros en plus, dans son résultat d'exploitation. Mais le thermique (production d'électricité à partir de gaz, +49,4%) et les énergies renouvelables (+36,6%) ont aussi nettement contribué.
"En 2022, Engie a réalisé une solide performance financière et opérationnelle avec un EBIT en forte progression de 43% à 9 milliards d'euros", a indiqué à des journalistes la directrice générale, Catherine MacGregor, en se référant à la croissance organique du résultat d'exploitation.
Mais le bénéfice net du groupe se retrouve amputé de 95% sous l'effet de lourdes dépréciations et de provisions. Il tombe à 200 millions d'euros, contre 3,7 milliards l'an passé.
La plus grande charge, à 3,7 milliards d'euros, est due à la réévaluation de contrats futurs de couverture. Il faut aussi inclure 2,8 milliards de pertes de valeur, largement dues aux provisions pour le démantèlement futur de ses centrales nucléaires belges, et un milliard de crédit perdu dans le gazoduc Nord Stream 2, qui n'a jamais été ouvert à la suite de la guerre en Ukraine.
Le résultat net récurrent d'Engie atteint 5,2 milliards d'euros (après 2,9 milliards en 2021).
Au vu de cette performance, le groupe, dont l'État français détient près de 24%, a attribué à ses actionnaires un dividende de 1,4 euro par action.
Engie a choisi de se désengager de certaines activités pour pouvoir investir notamment dans les renouvelables, tout en prônant le maintien du gaz, comme énergie de transition. Le groupe a ainsi finalisé la vente de son activité de multi-services Equans, cédée à Bouygues, ce qui lui a rapporté une plus-value compensant partiellement les autres charges.
"Son recentrage et sa simplification désormais réalisés, Engie engage la deuxième étape de son plan stratégique et accélère sa croissance dans la transition énergétique", a souligné le groupe dans un communiqué.
Il vise ainsi une croissance annuelle de 4 gigawatts (GW) de capacités renouvelables installées dans le monde entre 2022 et 2025, ainsi que de 6 GW entre 2026 et 2030, pour atteindre 50 GW de capacités installées en 2025 et 80 GW en 2030.
En 2023, le groupe vise un résultat net récurrent situé entre 3,4 et 4 milliards d'euros.
ENGIE ( ex GDF-SUEZ )
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https://www.connaissancedesenergies.org ... les-230418Engie défend son plan climat sans fixer la fin de l'ère des énergies fossiles
AFP le 18 avr. 2023
Sommé par une groupe d'actionnaires d'être plus ambitieux pour son plan climat, le groupe historique du gaz Engie en pleine diversification mise sur les énergies renouvelables pour atteindre ses objectifs de réduction d'émissions de CO2, mais sans encore fixer une date de sortie du monde fossile.
À l'instar de l'autre géant français TotalEnergies, Engie doit se défendre face à une résolution d'actionnaires qui sera soumise au vote lors de l'assemblée générale du 26 avril.
Cette coalition d'une quinzaine d'actionnaires, pesant moins de 2% du capital du groupe, lui avait demandé de modifier ses statuts pour que soient soumis chaque année au vote les progrès réalisés dans sa stratégie climatique.
Une demande "légitime", mais pour l'heure inutile, estime Engie, dont le conseil d'administration a d'ores et déjà recommandé à ses actionnaires de voter contre la résolution. "Le conseil d'administration peut soumettre ce qu'il souhaite à l'assemblée générale", a justifié lundi Julia Maris, directrice de la RSE face à quelques journalistes.
Le président du groupe Jean-Pierre Clamadieu avait lui indiqué en mars être prêt à "consulter les actionnaires tous les trois ans sur la stratégie climatique", mais il a exprimé ses réticences à soumettre à un vote annuel son état d'avancement, notamment dans l'attente d'une position plus claire du régulateur sur ce type de consultation, mais aussi, à l'échelle mondiale, sur les publications extra-financières des entreprises.
Le groupe a en revanche publié le 14 avril un "addendum" pour apporter des "éclairages" à son plan, alors que les actionnaires lui demandaient également des détails pour mieux "évaluer cette stratégie (climatique) par rapport à un scénario climatique limitant le réchauffement planétaire à 1,5°C".
Parmi leurs demandes, des détails sur les plans d'investissement, l'évolution du mix énergétique du groupe ou ses objectifs en matière de capacités de stockage électrique.
Mais cet "addendum" reste insuffisant pour l'ONG Reclaim finance, qui avait déjà critiqué en mars, un "plan lacunaire".
Engie "manque une fois de plus à crédibiliser sa capacité à tenir ses objectifs climatiques en apportant les informations demandées par les investisseurs", a réagi auprès de l'AFP Lucie Pinson, directrice de l'ONG.
Face aux critiques, le groupe a fait valoir lundi qu'il a réduit de 33% ses émissions totales de gaz à effet de serre nocifs pour le climat par rapport à 2017, à 174 millions de tonnes équivalent carbone. Il compte baisser de 59% les émissions de ses centrales, et de 34% les émissions liées à la vente de gaz à ses clients d'ici 2030.
Pour viser la neutralité carbone en 2045, Engie explique qu'il suit un référentiel correspondant à un réchauffement limité "bien en dessous de 2°C".
Garder les centrales à gaz
Pourquoi pas une limitation de +1,5° C par rapport aux températures de l'ère préindustrielle, l'objectif de référence? "Cela "imposerait une vente d'actifs dans la mesure où les centrales thermiques concernées restent nécessaires à court terme à la résilience des systèmes énergétiques", justifie le groupe dans son "addendum".
Il considère "plus responsable" de garder ses centrales à gaz et de les décarboner progressivement "avec de plus en plus d'hydrogène et de gaz renouvelable" produit à partir de déchets agricoles et alimentaires, "en plus d'investir dans les énergies électriques renouvelables", et dans le stockage de ces électrons verts, explique Julia Maris.
En février, Engie a annoncé une hausse de 50% de ses investissements, soit un total de 22 à 25 milliards sur 2023-2025, dont 13-14 milliards dans l'électricité solaire et éolienne.
Mais si Engie réaffirme son objectif d'abandonner le charbon d'ici à 2027 dans le monde, aucune date n'a été fixée pour la sortie du gaz fossile, qu'il considère pour l'heure comme une "solution de l'équation énergétique", tant que la demande est là.
Le groupe est d'ailleurs engagé sur des contrats de long terme portant sur du gaz naturel liquéfié (GNL), devenu le nouvel "or bleu" pour approvisionner l'Europe privée de gaz russe.
"Il y a une tendance de sortie des fossiles, mais est-ce que ce sera en 2038 ou 2042 ? Personne ne peut le dire", estime Julia Maris. Des "incertitudes" demeurent notamment sur les avancées technologiques dans le développement de l'hydrogène vert.
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Re: ENGIE ( ex GDF-SUEZ )
https://www.connaissancedesenergies.org ... gaz-230511Engie annonce des résultats en forte hausse au premier trimestre malgré la baisse des prix du gaz
AFP le 11 mai 2023
Le géant énergéticien français Engie s'est dit jeudi "confiant" pour l'année 2023, après avoir enregistré des résultats en forte progression au premier trimestre dans ses activités stratégiques, notamment renouvelables, malgré la baisse des prix et de la consommation de gaz.
Engie a annoncé une progression de 29,8% de son résultat d'exploitation (Ebit), qui s'élève à 3,8 milliards d'euros au premier trimestre, hors nucléaire, après 2,9 milliards en 2022 à la même période.
Sur le total de ses activités, son chiffre d'affaires a augmenté de 14% par rapport au premier trimestre 2022, à 29,2 milliards d'euros, a précisé le groupe dans un communiqué.
"Notre modèle intégré a une nouvelle fois démontré sa capacité à tirer parti de conditions de marché favorables", s'est félicitée la directrice générale Catherine MacGregor, citée dans le communiqué. "Au vu de la solide performance enregistrée au 1er trimestre", le groupe se dit "confiant" pour l'année 2023 et confirme son objectif de bénéfices annuels "qui devraient se situer dans la moitié haute de la fourchette de 3,4 à 4 milliards d'euros", a souligné Pierre-François Riolacci, directeur général adjoint finances, lors d'un appel avec des journalistes.
« Priorités stratégiques »
La "majorité" des activités ont contribué à la croissance trimestrielle du groupe, a résumé le dirigeant, en précisant que, désormais, Engie - historiquement porté sur le gaz - communiquait sur ses performances hors nucléaire, pour "mieux refléter ses priorités stratégiques", les énergies renouvelables d'abord.
La performance opérationnelle de +29,8% exclut donc ses activités nucléaires en Belgique, dont le résultat opérationnel recule de 33% après la déconnexion de deux des sept réacteurs exploités par Engie, successivement en septembre 2022 et en janvier dernier.
Au contraire, le groupe profite à plein de l'essor de ses activités renouvelables avec un résultat d'exploitation en hausse de 35,4 %, grâce à "de meilleurs volumes en hydroélectricité", des prix de l'électricité "plus élevés" et la mise en service de nouvelles capacités, surtout dans l'éolien.
"L'activité comptait au 31 mars 5,5 GW de projets en construction" - plus de 70 projets - "en ligne avec l'objectif d'ajouter 4 GW de capacité renouvelable en moyenne par an entre 2023 et 2025", a détaillé le directeur financier.
Ocean Winds, la joint-venture d'Engie et d'EDPR dédiée à l'éolien en mer, a annoncé "plusieurs réalisations au mois d'avril", notamment la décision finale d'investissement pour les parcs éoliens en mer de l'Ile d'Yeu et de Noirmoutier, d'une capacité totale d'environ 500 MW, et de Dieppe-Le Tréport (près de 500 MW), en France, ainsi que le bouclage financier du parc éolien en mer de Moray West (500 MW), en Écosse.
Effet douceur et sobriété
La progression est également significative dans les solutions d'approvisionnement énergétique et de gestion des risques (GEMS), qui enregistre un résultat d'exploitation de 1,6 milliard d'euros, en hausse de 980 millions par rapport au premier trimestre 2022. A cette époque, Engie avait dû inscrire des provisions en raison des risques d'interruption des livraisons de gaz russe dans la foulée du début de la guerre en Ukraine.
Cette bonne performance compense en partie les pertes du groupe dans ses activités de fourniture d'énergie qui ont pâti de la baisse des prix du gaz et du recul de la consommation. Le résultat d'exploitation dans ces activités de "retail" dégringole de 71,1% à 89 millions d'euros sur le trimestre. Le groupe a, en effet, revendu à prix plus bas du gaz qu'elle avait acheté en grande quantité et à des prix élevés en 2022, dans un contexte d'hiver doux.
Dans une moindre mesure, Engie a connu une diminuation de 4,8% de son résultat dans ses activités d'infrastructures gazières, en raison d'une "baisse des volumes distribués en France" due notamment "à une consommation de gaz plus faible".
À l'heure où la campagne de remplissage des réserves de gaz bat son plein, Engie se dit "confiant pour l'hiver prochain avec des niveaux de stockages de 43% en France au 3 mai comparé à 33% à la même époque" en 2022, a indiqué Pierre-François Riolacci. "Nos équipes continuent à se mobiliser pour sécuriser nos approvisionnements", a-t-il assuré.
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https://www.connaissancedesenergies.org ... sud-230620Renouvelables: Engie acquiert les activités de BTE Renewables en Afrique du Sud
AFP le 20 juin 2023
L'énergéticien français Engie a annoncé mardi acquérir les activités de BTE Renewables en Afrique du Sud, doublant ainsi sa capacité de production d'énergies renouvelables dans le pays, conformément à sa stratégie de diversification dans le solaire et l'éolien.
Le groupe français, historiquement tourné vers le gaz, mais en pleine diversification, n'a pas communiqué le montant pour lequel il rachète ces activités au fonds d'investissement anglais Actis.
"L'acquisition de BTE apportera à Engie 340MW nets de capacités renouvelables et opérationnelles (150MW d'éolien terrestre et 190MW de solaire photovoltaïque)", précise dans un communiqué le groupe, qui exploite pour le moment 315 MW d'actifs renouvelables en Afrique du Sud.
A cela s'ajoute un "portefeuille de plus de 3GW de projets en phase de développement avancé", précise le communiqué.
Ces 3GW seront progressivement comptabilisés dans la capacité de production d'Engie "d'ici 2028, 2030", a indiqué à l'AFP le directeur stratégie et finances des activités renouvelables d'Engie Pierre Guiollot, qui y voit un "investissement de longue haleine" "extrêmement significatif".
Engie, premier opérateur d'énergie éolienne et solaire en France et quatrième européen, vise une croissance annuelle de 4 GW jusqu'en 2025, puis 6 GW sur 2026-2030 pour atteindre 80 GW en 2030 dans le monde.
L'acquisition de ces actifs - deux concernant l'éolien dans le sud du pays et trois parcs solaires dans le nord et nord-ouest - constitue une "étape très importante" du renforcement et développement du groupe en Afrique du Sud, a indiqué M. Guiollot.
Malgré "son instabilité énergétique", "c'est un pays auquel on croit très profondément", a-t-il ajouté, bien conscient des "deux énormes défis structurels" auxquels devra faire face l'Afrique du Sud: "se décarboner d'actifs qui sont très émetteurs de CO2", de par ses centrales à charbon ancienne génération, "et ensuite gagner en stabilité et en fiabilité".
L'Afrique du Sud, première puissance industrielle du continent, est en effet en proie à une profonde crise de l'électricité qui s'est aggravée depuis l'année dernière. Depuis des mois, les 60 millions de Sud-Africains n'ont quasi pas vécu une journée sans coupure de courant programmée.
L'entreprise publique, Eskom, fournit la grande majorité de l'électricité. Mais plombée par des centrales à charbon vétustes et criblée de dettes après les années de corruption de la présidence Jacob Zuma (2009-2018), la compagnie est incapable de répondre à la demande et impose des coupures programmées.
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Re: ENGIE ( ex GDF-SUEZ )
https://www.usinenouvelle.com/article/e ... e.N2157297Engie: Ralentissement en vue avec les prix après un premier semestre solide
Engie a publié vendredi des résultats en hausse au titre du premier semestre 2023, tirés par ses activités dans la gestion de l'énergie et les renouvelables, mais a souligné que la baisse des prix allait freiner ses performances.
REUTERS 28 juillet 2023
L'énergéticien a confirmé dans un communiqué ses objectifs annuels, revus à la hausse fin juin, de résultat net récurrent part du groupe attendu entre 4,7 et 5,3 milliards d'euros et d'Ebit hors nucléaire prévu entre 8,5 et 9,5 milliards.
Cette prévision implique un deuxième semestre "beaucoup plus faible" et en recul par rapport au deuxième semestre 2022 en raison d'effets de prix et de volatilité moins favorables, a déclaré Pierre-François Riolacci, le directeur financier d'Engie, lors d'une conférence téléphonique.
"D'un point de vue opérationnel, pas de difficultés, mais nous avons une exposition prix qui était attendue, qui est un peu retardée par rapport à ce qu'on attendait mais qui doit se concrétiser au second semestre", a-t-il dit.
Engie anticipe en particulier une moindre contribution de son entité GEMS (Global Energy Management & Sales), qui inclut des activités d'approvisionnement, de gestion des risques et d'optimisation d'actifs dans l'énergie, dont le résultat avant intérêts et impôts (Ebit) a bondi a 3,1 milliards d'euros à fin juin (contre 1,1 milliards un an plus tôt).
Le groupe a enregistré à fin juin un résultat net récurrent part du groupe de 4,0 milliards d'euros (+24,6%), un résultat avant intérêts et impôts (Ebit) hors nucléaire de 6,7 milliards d'euros (+52,7%) et un chiffre d'affaires de 47,0 milliards (+8,9%).
Il accuse cependant une perte nette part du groupe de 0,8 milliard d'euros (contre un bénéfice de 5,0 milliards un an plus tôt) en raison d'une charge liée à l'accord avec le gouvernement belge pour prolonger de dix ans l'exploitation des réacteurs nucléaires Tihange 3 et Doel 4, signé le 21 juillet.
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Re: ENGIE ( ex GDF-SUEZ )
https://investir.lesechos.fr/actu-des-v ... er-1972175Engie acquiert le spécialiste américain du stockage par batterie Broad Reach Power
Par AGEFI - Dow Jones
Publié le 24 août 2023
Le distributeur d'énergie Engie a annoncé jeudi avoir signé un accord ferme pour le rachat de 100% du capital de la société américaine d'infrastructures Broad Reach Power, spécialisée dans les activités de stockage par batterie, aux fonds d'investissement EnCap et Apollo.
Cette opération représente un impact de 1,6 milliard de dollars (environ 1,5 milliard d'euros) sur la dette d'Engie, a indiqué un porte-parole du groupe à l'agence Agefi-Dow Jones. Engie n'a pas souhaité communiquer le montant de la transaction, qui devrait être bouclée au quatrième trimestre 2023.
Cette acquisition n'aura aucun effet sur le profil de crédit d'Engie, ont estimé les analystes d'ING, qui s'attendent en outre à un "exercice financier très solide" pour le groupe cette année.
"La transaction porte sur 350 mégawatts (MW) d'actifs opérationnels, 880 MW d'actifs en construction avec une mise en service attendue avant fin 2024, 1,7 gigawatts (GW) de projets à un stade avancé de développement et un important portefeuille de projets en cours de développement", a indiqué Engie dans un communiqué. Ces projets sont situés au Texas, en Californie et dans les Etats du centre des Etats-Unis, a précisé Engie.
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Re: ENGIE ( ex GDF-SUEZ )
https://www.usinenouvelle.com/article/e ... a.N2173542Engie acquiert le producteur britannique de biométhane Ixora
(Reuters) - Engie a annoncé jeudi l'acquisition d'Ixora Energy Ltd au Royaume-Uni, pour un montant de 64,8 millions de livres sterling (75,06 millions d'euros), afin de renforcer sa présence dans le biométhane en Europe.
REUTERS 21 septembre 2023
Réalisée auprès du gestionnaire d'investissement Downing LLP, cette acquisition permet à l'énergéticien français d'ajouter trois nouvelles unités de production à son portefeuille, situées dans le Devon et le Somerset, qui produisent un total de 160 gigawatts-heure (GWh) de biométhane par an.
Alors que le groupe vise 10 térawatts-heure (TWh) de production de biométhane par an à l'horizon 2030 en Europe, contre 1 TWh projetés d'ici début 2024, Engie a souligné qu'il devait désormais se développer hors de France - où il comptait une capacité installée de 670 GWh par an au 30 juin - en ciblant le Royaume-Uni, la Belgique, les Pays-Bas, l'Allemagne, la Pologne, l'Italie et l'Espagne.
"Notre objectif cette année était de nous implanter ailleurs qu'en France, avec cette acquisition d'Ixora, on y parvient. Le prochain pays dans lequel nous serons producteurs, ce seront les Pays-Bas (...), puisque c'est là que nous sommes le plus avancés en termes de projets de développement", a dit Camille Bonenfant-Jeanneney, directrice générale des activités "gaz renouvelables Europe", lors d'une conférence de presse.
Engie ayant l'ambition de croître dans le biométhane par constructions, acquisitions et partenariats, Camille Bonenfant-Jeanneney a ajouté que le groupe avait besoin de "mixer les différentes voies de développement", notamment parce que les projets de nouvelles unités de grande taille mettaient du temps à se concrétiser.
Pour atteindre ses objectifs de production de gaz vert, Engie prévoit d'investir 3 milliards d'euros d'ici 2030. A la même échéance, il a l'ambition de commercialiser 30 TWh par an de biométhane.
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Re: ENGIE ( ex GDF-SUEZ )
https://www.boursorama.com/bourse/actua ... ol=1rPENGIEngie: acquisition d'actifs solaires au Brésil
rCERCLE FINANCE•31/10/2023
Engie annonce avoir signé un accord pour l'acquisition de 100% d'Atlas Energia Renovável do Brasil et Atlas Brasil Energia Holding 2, pour une valeur de transaction de 618 millions d'euros qui pourra être adaptée en fonction de certaines conditions contractuelles.
Cette acquisition permettra au groupe énergétique de disposer de nouvelles centrales solaires photovoltaïques dans le Nord-Est (Bahia et Ceará) et le Sud-Est (Minas Gerais), pour une capacité totale de 545 MWac en exploitation.
La réalisation de la transaction est soumise au respect de certaines conditions préalables négociées entre les parties, notamment, entre autres, de l'approbation du Conseil Administratif de Défense Economique (CADE) du Brésil.
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Re: ENGIE ( ex GDF-SUEZ )
https://www.connaissancedesenergies.org ... els-231107Engie frappé par le retournement des prix de l'énergie au 3T mais relève ses objectifs annuels
AFP le 07 nov. 2023
L'énergéticien français Engie a annoncé mardi la révision en hausse de ses objectifs de bénéfices annuels dopés notamment par la bonne tenue des renouvelables, malgré un troisième trimestre difficile sur fond d'accalmie des prix de l'énergie, après les sommets atteints fin 2022.
Bénéficiant d'un "contexte qui demeure globalement favorable sur les marchés de l'énergie", le groupe a revu en progression son objectif annuel de bénéfice net récurrent, désormais dans une fourchette de 5,1 à 5,7 milliards d'euros, contre 4,7 à 5,3 milliards d'euros annoncés l'été dernier.
L'ex-GDF Suez a enregistré sur les neuf premiers mois de l'année un résultat d'exploitation hors activités nucléaires en augmentation de 27,4% sur un an, à 8 milliards d'euros, soulignant ainsi la bonne tenue des renouvelables et de ses activités d'approvisionnement en énergie, malgré un ralentissement observé au troisième trimestre.
Si l'on inclut la gestion des activités nucléaires en Belgique, le bénéfice d'exploitation progresse de 14,7% sur un an, à 8,32 milliards d'euros.
Mais l'accalmie des prix du gaz et de l'électricité commence à pénaliser les performances du groupe, lui qui avait engrangé un bénéfice net récurrent de 5,2 milliards d'euros en 2022, dopé par des cours historiques, dans le contexte de craintes de pénuries d'énergie après le déclenchement de la guerre en Ukraine.
Le résultat d'exploitation (EBIT) de sa plus grosse division, GEMS (Global Energy Management & Sales), dédiée aux entreprises et grands consommateurs d'énergie (gaz, électricité...), est en baisse de près de 80% au troisième trimestre, par rapport à la même période de 2022, et chute à 200 millions d'euros.
Sur les neuf premiers mois de l'année, la tendance reste positive puisque le résultat d'exploitation de cette division, qui fournit l'énergie à ces grands clients et les aide à gérer leurs risques d'approvisionnement, grimpe de plus de 67%, à 3,34 milliards d'euros.
Mais "la réduction de nos marges liée à la progressive normalisation du marché", dans un contexte de baisse des prix de l'énergie et d'une moindre volatilité sur les marchés, "est visible au troisième trimestre", a souligné Pierre-François Riolacci, directeur général adjoint finances, auprès de journalistes.
Illustrant le ralentissement général, le chiffre d'affaires global d'Engie sur neuf mois recule de 10,9% par rapport aux neuf premiers mois de 2022, à 61,8 milliards d'euros, ce qui n'empêche pas le groupe d'aborder la fin de l'année avec "confiance". "La performance générale reste robuste", affirme M. Riolacci.
- Record d'installations renouvelables -
Engie se dit par ailleurs conforté dans sa stratégie de déploiement des énergies renouvelables, sa priorité et l'un des moteurs de sa croissance. Le groupe disposait de 38,6 gigawatts (GW) de capacités installées au 30 septembre, a-t-il précisé.
Premier opérateur d'énergie éolienne et solaire en France et quatrième européen, Engie a enregistré dans cette division un résultat d'exploitation en hausse de 45,3% à 1,51 milliard d'euros, une performance soutenue "à la fois par la hausse des prix captés, par la croissance des volumes en Europe, mais aussi par la contribution de capacités nouvellement mises en service aux États-Unis, en Europe et en Amérique latine", a expliqué M. Riolacci.
Fin septembre, Engie a franchi un niveau "record" d'installations renouvelables en construction, porté à 7,6 GW, soit 68 projets dont 4,6 GW entrés en construction sur les neuf premiers mois de 2023. Avec des projets lancés au Brésil, en Amérique du Nord, en Inde, a détaillé le directeur financier du groupe, qui vise 4 GW de capacités additionnelles en moyenne chaque année jusqu'en 2025.
Au troisième trimestre, Engie a en outre accéléré dans les activités de stockage par batterie - des projets censés pallier les caractéristiques intermittentes des énergies renouvelables - avec l'acquisition de la société américaine Broad Reach Power, spécialisée dans ce domaine.
Pour verdir le gaz, Engie avance aussi ses pions en Europe et prévoit d'investir 3 milliards d'euros dans le développement du biométhane et du gaz de synthèse (ou e-méthane). Le groupe, qui revendique une place de leader en France dans le biométhane, avait annoncé en septembre l'acquisition du producteur britannique Ixora Energy Ltd pour 75 millions d'euros.
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Re: ENGIE ( ex GDF-SUEZ )
https://www.connaissancedesenergies.org ... ons-240222Engie: chiffre d'affaires en baisse de 12% en 2023, mais résultat net récurrent conforme aux prévisions
AFP le 22 févr. 2024
L'énergéticien français Engie a enregistré une baisse de son chiffre d'affaires de 12% en 2023, mais affiche un résultat net récurrent, indicateur privilégié par le groupe, en croissance de 3,8%, à 5,4 milliards d'euros, conforme à ses prévisions, selon un communiqué diffusé jeudi.
L'opérateur historique du gaz en France a dégagé en 2023 82,6 milliards d'euros de chiffre d'affaires, en baisse de 12% par rapport à l'année précédente en raison de la baisse des prix.
C'est moins que ce que prévoyait le consensus des analystes interrogés par Bloomberg et Factset, qui pariaient eux sur un chiffre d'affaires à 95,4 milliards d'euros.
Le résultat net récurrent, donnée privilégiée par le groupe et sur laquelle il fixe ses objectifs financiers, s'est lui affiché à 5,4 milliards d'euros (+3,8%), conforme au consensus des analystes interrogés et aux prévisions du groupe, relevées deux fois en 2023.
Le résultat net a lui été plus que multiplié par dix, bondissant à 2,2 milliards d'euros en 2023 après une année 2022 qui l'avait vu presque réduit à néant (200 millions d'euros) en raison de lourdes charges.
La directrice générale d'Engie, Catherine MacGregor, a salué auprès des journalistes de "très bons résultats pour 2023", "qui illustrent la solidité de notre performance opérationnelle et financière"
"Nos résultats sont très solides en 2023 avec une croissance de 18% d'Ebit (résultat d'exploitation, NDLR) hors nucléaire", à 9,5 milliards d'euros, a ajouté Pierre-François Riolacci, directeur général adjoint finances, auprès de journalistes.
Cette croissance de la rentabilité hors nucléaire "est portée principalement par deux activités", explique-t-il. "La première, c'est le renouvelable", dont la progression est "soutenue à la fois par la contribution des capacités nouvellement mises en oeuvre (...) et la croissance des volumes en Europe, ainsi que la hausse des prix que nous avons captées".
Elle est aussi portée par la division GEMS (Global Energy Management & Sales), dédiée aux entreprises et grands consommateurs d'énergie (gaz, électricité...), "qui enregistre une nouvelle forte croissance organique de plus de 900 millions d'euros sur l'année", affirme le directeur général adjoint finances.
Malgré la baisse des prix de marché au cours des derniers trimestres, Engie "revoit à la hausse son objectif de résultat net récurrent part du groupe pour l'année 2024", précise le communiqué. L'ex GDF-Suez vise désormais un résultat net récurrent compris entre 4,2 et 4,8 milliards d'euros, contre une fourchette de 3,8 à 4,4 milliards d'euros annoncée précédemment.
Le groupe propose à ses investisseurs un dividende de 1,43 euro par action, stable par rapport à l'année précédente.
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Re: ENGIE ( ex GDF-SUEZ )
https://www.latribune.fr/climat/energie ... 9lev%C3%A9.Hydrogène vert : Engie retarde de cinq ans son objectif de production, à 2035
Engie a reculé de 2030 à 2035 son objectif de production d'énergie à base « d'hydrogène décarboné ». Le géant énergétique français fait part d'un contexte de demande faible pour ces projets, basés sur les énergies renouvelables, dont le coût reste aujourd'hui très élevé.
latribune.fr 27 Févr 2024,
La production d'hydrogène vert d'Engie aura du retard à l'allumage. Le géant énergétique français, fournisseur historique du gaz dans le pays, va en effet la démarrer à l'horizon 2035, contre 2030 initialement visé. « Ça va prendre un peu plus de temps », a reconnu sa directrice générale, Catherine MacGregor, à l'AFP à l'occasion de la semaine internationale de l'Énergie, qui se tient à Londres. Elle a néanmoins précisé que l'objectif de « 4 gigawatts de production d'hydrogène décarbonée » était maintenu.
Chez Engie, on explique que ce marché met plus de temps à mûrir qu'initialement espéré. Résultat, il est encore difficile de trouver des clients pour acheter de l'hydrogène « vert », produit à partir d'énergies renouvelables, mais encore très cher à générer.
Retard général
Or, la France mise sur l'hydrogène vert pour décarboner son industrie lourde et une partie des transports. Le pays comptait en décembre « 150 projets d'industrialisation ou de recherche et développement autour de l'hydrogène », comme l'avait indiqué la ministre de la Transition énergétique de l'époque, Agnès Pannier Runacher.
Elle avait alors rappelé l'objectif initial fixé en 2020 de produire l'équivalent de 6,5 gigawatts (GW) d'hydrogène décarboné en France en 2030. Et d'indiquer que l'effort sera accentué afin de parvenir à « 10 GW en 2035 ». Selon un document de présentation consulté par l'AFP, grâce aux projets déjà connus la France « a sécurisé entre 2,5 et 3 GW d'installations de capacité d'électrolyse, représentant quelque 8.000 emplois directs ».
Reste que ces objectifs pourraient ne pas être atteints. Plusieurs acteurs ont déjà témoigné du retard à l'allumage du marché de l'hydrogène vert, dont les projets de taille industrielle peinent à voir le jour. « Tout le monde est en retard » sur la production d'hydrogène vert, soulignait d'ailleurs déjà en juin dernier, Valérie Ruiz-Domingo, vice-présidente hydrogène pour Engie dans un entretien accordé à La Tribune.
Plusieurs éléments expliquent ce coup de frein. La qualité des électrolyseurs qui ne semble pas être au rendez-vous est souvent évoquée. Mais le grand blocage réside surtout du côté de la demande... ou plutôt de l'absence de demande.
Ce retard n'est d'ailleurs pas une spécificité française. L'agence internationale de l'énergie (AIE) a prévenu mi-février que seulement 7% des projets d'énergie renouvelable dans le monde pour produire de l'hydrogène vert verraient le jour d'ici à 2030.
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Re: ENGIE ( ex GDF-SUEZ )
https://www.connaissancedesenergies.org ... eur-240327Engie compte sur une start-up britannique pour doper sa production de biogaz en méthaniseur
AFP le 27 mars 2024
L'énergéticien français Engie investit dans une start-up britannique dont la technologie doit lui permettre d'améliorer de 30% le rendement de ses méthaniseurs, qui servent à produire du biogaz, a annoncé Engie mercredi.
La start-up Wase, basée à Bristol, a mis au point un système de réacteur électro-méthanogène (EMR), qui permet de produire du biométhane à partir de biodéchets en présence d'une électrode.
Considéré comme "renouvelable" puisque non fossile, ce gaz vert réduit de 80% les émissions de gaz à effet de serre par rapport au gaz naturel, selon le cabinet Carbone 4.
Cette technologie, encore à l'état de pilote, qu'Engie souhaite aider à développer et à industrialiser, permet un gain de biométhane "de l'ordre de 30%" par rapport à un méthaniseur classique, a déclaré à l'AFP Johann Boukhors, directeur d'Engie New Ventures, fonds de capital-risque d'Engie.
Cette technologie permet également de "réduire jusqu'à dix fois le temps de production", selon Engie.
"Améliorer ce rendement avec la même quantité de biomasse, ça crée plus de biogaz et ça rend viables des projets qui jusque là ne l'étaient pas", explique M. Boukhors.
De quoi conforter l'objectif de la France de voir le biométhane remplacer la part historique du gaz russe dans la consommation française de gaz, soit autour de 18 à 20%, un but "atteignable", a estimé Camille Bonenfant-Jeanneney, directrice générale de Gaz renouvelables Europe, filiale d'Engie.
Elle souligne que le groupe a acquis récemment quatre méthaniseurs non loin de Bristol, dans le sud-ouest de l'Angleterre, qui sont donc bien placés pour tester cette technologie.
Le rendement de ces installations est d'autant plus important que le groupe, qui possède en France une trentaine de méthaniseurs, n'a recours qu'à des "déchets issus de l'agriculture, de l'industrie agroalimentaire ou des collectivités", ce qui limite l'accès à la biomasse, par rapport à des pays comme l'Allemagne, où poussent des cultures dédiées à la production d'énergie.
L'investissement d'Engie New Ventures, qui prend une participation minoritaire dans le capital, fait partie d'un financement global de 8,5 millions de livres sterling (près de 10 millions d'euros) mené par le fonds Extantia Capital, avec d'autres investisseurs.
L'objectif du groupe est de de disposer d'une capacité de production de biométhane de 10 TWh par an en Europe à l'horizon 2030.
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Re: ENGIE ( ex GDF-SUEZ )
https://www.usinenouvelle.com/article/e ... e.N2211631En attendant le décret sur les certificats de production de biogaz, Engie enchaîne les acquisitions en Europe
Engie s’est fixé comme ambitieux objectif de produire 10 TWh de biométhane en Europe d’ici à 2030. Pour l’atteindre, l’énergéticien multiplie les acquisitions. Il a huit pays dans son viseur.
Aurélie Barbaux 17 avril 2024
Engie annonce l'acquisition du site de méthanisation d'Alkmaar (province d’Hollande-Septentrionale) d'une capacité de 47 GWh par an extensibles à 94 GWh.
Engie a de grandes ambitions dans le gaz renouvelable. L’énergéticien français annonce qu’il va investir 3 milliards d’euros pour produire 10 TWh de biométhane en Europe, principalement par méthanisation, d’ici à 2030. Cela signifie une multiplication par 10 de ses capacités actuelles.
.....abonnés
https://www.boursorama.com/bourse/actua ... ol=1rPENGIEngie : acquisition de 2 unités de production de biométhane aux Pays-Bas
AOF •16/04/2024
Engie continue d’augmenter ses capacités de production de biométhane en Europe avec l'acquisition de deux nouvelles unités aux Pays-Bas, les premières installations de production de biométhane du groupe dans le pays. Situées à Hardenberg (province d'Overijssel) et Alkmaar (province d’Hollande-Septentrionale), ces deux nouvelles centrales disposent respectivement d’une capacité annuelle de production de biométhane de 90 GWh et 47 GWh.
Elles bénéficient d'une possibilité d'extension permettant d'atteindre jusqu'à 150 GWh de capacité annuelle de production pour l'unité d'Hardenberg et 94 GWh pour Alkmaar.
Ces deux nouvelles acquisitions, qui suivent celles d'Ixora Energy Ltd et Rainbarrow Farm au Royaume-Uni, renforcent la présence du Groupe en Europe en portant à 1,1 TWh sa capacité de production installée.
Elles contribuent ainsi à l'objectif de 10 TWh de production de biométhane par an à l'horizon 2030 en Europe, annoncé par le groupe le 21 février 2023.
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Re: ENGIE ( ex GDF-SUEZ )
https://www.boursorama.com/bourse/actua ... ol=1rPENGIEngie: transition énergétique accélérée en Belgique
CERCLE FINANCE •26/04/2024
Engie a annoncé jeudi soir qu'il prévoyait d'investir jusqu'à quatre milliards d'euros dans le domaine de la transition énergétique en Belgique d'ici à 2030.
Le groupe - qui s'est donné comme objectif de parvenir à la neutralité carbone d'ici 2045 - compte notamment accélérer le développement des énergies renouvelables, visant entre deux et 2,5 GW de capacités installées d'ici 2030.
Engie - qui souligne que da demande d'énergie verte dépasse déjà l'offre locale disponible - indique que cette situation ne fera que s'accentuer dans les années à venir.
La société veut ainsi doubler sa capacité éolienne terrestre pour la porter à 1 GW, étendre sa capacité éolienne offshore pour atteindre 1 GW d'ici 2030 et tripler sa capacité photovoltaïque pour atteindre 300 MW.
Dans le cadre de cette nouvelle stratégie baptisée #Energize2030, Engie souhaite également développer de nouveaux actifs, comme une centrale à gaz de 875MW à Flémalle et un parc de batteries de 200 MW à Vilvoorde.
Outre ces priorités, Engie rappelle vouloir prolonger l'exploitation des centrales nucléaires de Doel 4 et de Tihange 3 tout en procédant au démantèlement de ses autres centrales nucléaires.
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Re: ENGIE ( ex GDF-SUEZ )
https://www.boursorama.com/bourse/actua ... ol=1rPENGIRenouvelables: Engie acquiert le parc français du danois Orsted
BOURSORAMA AVEC AFP •29/04/2024
Le groupe Engie a annoncé lundi la signature d'un accord avec Orsted pour acquérir la totalité des activités éoliennes et solaires en France du spécialiste danois des renouvelables, soit notamment neuf parcs éoliens terrestres.
L'accord a été signé vendredi, et la transaction, dont le montant n'a pas été communiqué, doit être finalisée au cours de ce trimestre, précise le groupe français.
Avec l'acquisition d'Ostwind France, Engie Green acquiert neuf parcs éoliens localisés dans les Hauts-de-France et en Nouvelle-Aquitaine, pour une puissance installée de 74 mégawatts (MW) dont 24 MW en construction, ainsi qu’un parc solaire photovoltaïque d’une puissance installée de 4 MW.
L'accord inclut également un portefeuille de projets éoliens en développement, répartis sur l’ensemble du territoire, ajoute Engie Green, qui intégrera les 70 collaborateurs de la société.
Cette acquisition "complète la stratégie de croissance organique d’Engie Green, déjà leader de l’éolien et du solaire en France" avec à fin 2023 2,5 gigawatts (GW) éolien et 1,9 GW solaire en opération, explique l'entreprise, qui y voit aussi un renforcement de son "ancrage territorial, son expertise globale et sa compétitivité".
Orsted de son côté a annoncé en février une lourde perte nette de 2,7 milliards d'euros pour 2023, due à l'annulation d'un immense projet de ferme éolienne offshore aux Etats-Unis. Pour redresser ses finances, il a notamment annoncé l'abandon de certains investissements et des cessions d'actifs.