
alors évidemment çà ne signifie pas que ça ne pas recommencer à baisser, mais c'est un fait que ce genre d'extrapolations "exponentielles" faites en 2012 , c'était du grand portenawak
https://arctic-news.blogspot.com/2012/0 ... h.html?m=1

Modérateurs : Rod, Modérateurs
En épaisseur aussi .....elle est passée sous les 2 mètres si j'ai bien compris....ce qui m'a troué!
comment dire, tu connais "l'immunité climatique" ?supert a écrit : ↑10 janv. 2024, 15:51Vu l'article de le monde dont ジ ル a donné le lien, je suppose que:
Audrey Garric, journaliste au torchon pravdaïen s'est faite virer à coup de pompes dans l'arrière-train
ou que Peter Wadhams de l'université de Cambridge s'est fait virer à coup de pompes dans l'arrière-train
ou que les deux se sont virer
et que bien évidemment, le monde a écrit un correctif pour dire à quel point il est désolé d'avoir imprimer autant de conneries. Cela me parait être la moindre des choses si ils veulent garder leur lectorat sensé et avisé. En effet, celui-ci ne continuerait pas à lire un journal propagateur de fausses nouvelles, faut pas les prendre pour des lecteurs de France-soir !
Audrey Garric est payée par les impôts des français (subventions aux journaux propriétés de milliardaire).
Supert qui sait comment faire baisser les dépenses de l'Etat.
le titre du graphe est explicite, c'est une surface (area)supert a écrit : ↑10 janv. 2024, 14:46Donc si je comprends bien ce graphique en langue étrangère, la superficie océanique arctique comportant au moins 15 % de glace (en volume ?, en surface ?, ... ?) était plus forte en janvier 2024 qu'en janvier 2013 et un peu en dessous de la moyenne 1981-2010. Et une courbe sur 3 mois de 2023 trés proche des même trois mois de 2012).
I hope my english is good enough.
Attends : je découvre un truc avec cette vue plus large dans le passé. Le minimum est passé de 16 à 4 milliers de km3 en 40 ans. Cela me semble assez significatif comme changement.GillesH38 a écrit : ↑10 janv. 2024, 15:44voui bonne idée regardons la tendance depuis 10 ans ...
alors évidemment çà ne signifie pas que ça ne pas recommencer à baisser, mais c'est un fait que ce genre d'extrapolations "exponentielles" faites en 2012 , c'était du grand portenawak
https://arctic-news.blogspot.com/2012/0 ... h.html?m=1
![]()
bien sur, c'est possible, j'ai juste dit que ceux qui ont affirmé en 2012 que ça tomberait à zéro avant 2016, ce qui a été repris par les grands journaux sans aucun regard critique, se sont plantés.Jeuf a écrit : ↑11 janv. 2024, 12:55Attends : je découvre un truc avec cette vue plus large dans le passé. Le minimum est passé de 16 à 4 milliers de km3 en 40 ans. Cela me semble assez significatif comme changement.
Qu'il ait encore un sursis de 10 ou 30 ans ne change pas grand chose : il tombera à 0, vu les tendances. L'indicateur du minimum ne sera même plus pertinent. Il faudra plutot compter le nombre de jour où elle est à zéro.
Après, peut-être que la "cryosphère" ne sert à rien à l'économie, à la stabilité générale du climat. Ou peut-être que si.![]()
bah pas toujours mais de temps en temps, sang contaminé,médiator ... on arrive quand même parfois à des procès.supert a écrit : ↑12 janv. 2024, 14:58Par ailleurs et moins technique: il me semble ジ ル que tu devrais étendre ta notion d'immunité climatique à un peu près tout. Tu connais beaucoup de responsables (politiques, journaleux, préfets, PDG de l'agro-alimentaire ou de médicaments, ...) qui ont payé pour leur erreurs, fautes, voir crimes?
https://www.boursorama.com/actualite-ec ... e71754888eLe Groenland a perdu plus de glace qu'estimé jusqu'alors, selon une étude
AFP•18/01/2024
La fonte de la calotte glaciaire du Groenland, essentiellement sous l'effet du réchauffement climatique, a été plus importante au cours des quatre dernières décennies que ce qui avait été estimé jusqu'à présent, selon une étude publiée mercredi s'appuyant sur l'analyses de données satellitaires.
Des chercheurs basés en Californie se sont penchés sur l'évolution de cette masse de glace, appelée aussi inlandsis, qui recouvre le territoire du Groenland. A l'aide de données provenant de satellites, ils ont obtenu près de 240.000 observations des positions des fronts glaciaires - là où les glaciers rencontrent l'océan.
"Ce que nous avons trouvé nous a surpris", racontent les scientifiques dans la revue Nature.
"La calotte glaciaire du Groenland a perdu sensiblement plus de glace au cours des récentes décennies que ce que l'on pensait auparavant", concluent-ils.
Les chercheurs ont découvert que la masse de glace perdue en raison du retrait des fronts glaciaires avait été historiquement sous-évaluée de quelque 1.000 gigatonnes (1 gigatonne correspondant à 1 milliard de tonnes) ; la perte totale serait donc 20% supérieure aux estimations précédentes.
"Quasiment chaque glacier du Groenland s'est aminci ou a reculé au cours de ces dernières décennies", souligne auprès de l'AFP Chad Greene, du California Institute of Technology à Pasadena, auteur principal de l'étude.
"Il n'y a pas vraiment d'exception et cela se produit partout en même temps", dit-il.
La principale cause de cette fonte est le réchauffement climatique, "que ce soit le réchauffement de l'atmosphère ou dans les océans : les glaciers du Groenland sont sensibles aux deux", rappelle Chad Greene.
"La perte de masse a eu un effet direct minimal sur la hausse globale du niveau des mers", la glace se trouvant pour l'essentiel déjà dans la mer, indiquent toutefois les auteurs.
Elle est toutefois suffisante pour avoir un effet possible sur la circulation océanique - avec des implications potentielles pour les régimes climatiques, les écosystèmes ou la sécurité alimentaire - ainsi que sur le bilan énergétique de la Terre.
Autre découverte : les glaciers pour lesquels les cycles saisonniers d'avancée hivernale et de retrait estival sont les plus marqués semblent être les plus susceptibles de réagir au réchauffement et ont subi le retrait le plus marqué au cours des dernières décennies. Cela devrait permettre de prédire plus précisément l'évolution future des glaciers ces prochaines années.
Ubiquitous acceleration in Greenland Ice Sheet calving from 1985 to 2022
17 January 2024 Nature
Le soi-disant problème c'est plutôt la glace de terre du Groenland qui si elle fondait totalement ferait monter de 7 mètres le niveau des merskercoz a écrit : ↑18 janv. 2024, 10:58J'ai un petit doute sur ce passage ....Ca correspond pas avec ce qui se passe ds mon ricard:
""""La perte de masse a eu un effet direct minimal sur la hausse globale du niveau des mers", la glace se trouvant pour l'essentiel déjà dans la mer, indiquent toutefois les auteurs.
Elle est toutefois suffisante pour avoir un effet possible sur la circulation océanique -....."
Mais comme cette fonte prendrait des décennies et probablement des siècles, ça laissera amplement le temps de s'y préparer2,85 millions de kilomètres cubes de glace de l'inlandsis du Groenland
https://www.techno-science.net/actualit ... 24531.htmlAvec le réchauffement climatique le Groenland s'élève, et pas qu'un peu
Publié par Adrien le 26/02/2024
Source: Geophysical Research Letters
La fonte des glaces du Groenland entraîne une élévation remarquable de son sol, un phénomène étudié grâce à 61 stations de mesure GPS réparties sur son territoire. Ces dispositifs permettent aux scientifiques de distinguer les mouvements actuels, dus aux changements climatiques contemporains, de ceux hérités de la dernière période glaciaire. Cette distinction est cruciale pour comprendre l'impact du changement climatique sur l'élévation du lit rocheux du Groenland.
Depuis la fin de la dernière ère glaciaire, il y a environ 11 700 ans, le recul des glaciers a allégé la pression sur le lit rocheux du Groenland, lui permettant de s'élever, un processus connu sous le nom de rebond glaciaire isostatique. Actuellement, le Groenland perd environ 262 gigatonnes de glace par an, en grande partie due aux changements climatiques modernes. Les glaciers périphériques, seuls, contribuent à une perte de 42 gigatonnes de glace. Une étude récente a mis en lumière que la perte de glace glaciaire est responsable d'une part significative de l'élévation du lit rocheux du Groenland, jusqu'à près d'un tiers du mouvement vertical total dans certaines zones.
Danjal Longfors Berg, doctorant à l'Université technique du Danemark, et son équipe ont utilisé les données de moniteurs GPS pour mesurer le mouvement vertical depuis 2007. Ils ont déterminé que la perte de glace des glaciers était responsable d'une grande partie de l'élévation du Groenland, avec des taux de rebond de 32% et 27,9% dans deux bassins de drainage au nord et à l'est du territoire. Le taux de rebond le plus élevé a été observé près du glacier de Kangerlussuaq, dans le sud-est du Groenland, où le sol s'élève d'environ 8 millimètres par an.
Comprendre l'élévation du lit rocheux du Groenland offre une méthode complémentaire pour mesurer la perte de glace de la région. En combinant cette mesure avec d'autres techniques, telles que l'altimétrie et les variations de gravité détectées par satellite, les scientifiques peuvent obtenir des estimations précises de la quantité de glace disparue. Ces informations sont essentielles pour prédire l'impact de la fonte des glaces sur l'élévation du niveau de la mer, soulignant l'importance de surveiller ces changements dans le contexte du changement climatique global.