Moi je veux bien faire une entreprise dans ce sens là et embaucher qq potes d'oleocene pour reflechir a un nouveau projet de batteries vu les conditions.

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visiblement l'investissement est très élevé, cette subvention couvre moins d'un quart de l'investissement, vu l'article.LeLama a écrit : ↑18 avr. 2024, 16:43Ce qui va etre marrant au niveau symbolique, c'est si on arrive au millions d'euros verse' a l'entreprise pour chaque emploi crée dans la voiture elec. On n'en est plus tres loin !
Moi je veux bien faire une entreprise dans ce sens là et embaucher qq potes d'oleocene pour reflechir a un nouveau projet de batteries vu les conditions.![]()
on ne peut pas vraiment calculer comme ça, il y a le coût de l'investissement (qui va donc plutot dans la poche de ceux qui travaillent pour fabriquer le matériel ou les bâtiments utilisés par l'usine, plutot que dans celle de ses salariés).LeLama a écrit : ↑18 avr. 2024, 16:33J'ai pas vu passer cette nouvelle giga subvention de plusieurs centaines de milliers d'euros par emploi. ProLogium a Dunkerque, entre 2 et 3 mille emplois, et 1.5 milliards euros de subvention, soit autour de 600 mille euros par emploi. Cool, c'est un peu comme ci l'etat payait les salaires des ouvriers pendant 20 ans a la place de l'entreprise. Ensuite, dans 20 ans, il suffira de fermer l'usine et d'en ouvrir une autre ailleurs![]()
https://www.20minutes.fr/economie/40479 ... taiwanaise
Apres la subvention de verkor/aac, on ne pourra pas dire que l'etat ne fait rien pour l'elec.
Oui, mais on ne sait pas ce que couvre l'investissement, donc en l'absence d'information, on ne peut rien dire.
Dans la compagnie que je vais creer, je vais aussi faire beaucoup d'investissements. J'ai deja un copain pret a me faire un joli logo de la mort qui tue pour 600 mille euros, et vu la qualité, c'est donné et vraiment pas cher. Ca va faire bondir notre business plan.
Le mécontentement des assureurs se fait de plus en plus entendre. Certains menacent de faire flamber les polices d’assurance des voitures électriques ou de ne plus assurer certains modèles. Les constructeurs sont appelés à faire des efforts de leur côté.
Une voiture qui ne peut pas être assurée, ou à des tarifs exorbitants, est globalement invendable. Les assureurs sont prêts à utiliser ce moyen de pression pour que les constructeurs repensent un peu mieux la réparabilité de leurs modèles. Cet élément semble être passé au second plan concernant les voitures électriques, avec des coûts de réparation qui flambent.
Depuis quelques mois, les assureurs tirent la sonnette d’alarme à l’international : problème des batteries, réparabilité des éléments de carrosserie, pièces détachées impossibles à obtenir. Pour le moment, tout ceci est transparent pour les clients, notamment en France. Cependant, avec les délais rallongés pour les pièces et la main d’œuvre plus couteuse, tout ceci commence à peser lourd sur les compagnies d’assurance qui s’en plaignent, comme le souligne le média allemand Automobilwoche ce 19 mars 2024. Attention cependant aux raccourcis, plusieurs constructeurs de voitures électriques se démarquent de ces critiques en ayant bien anticipé les enjeux de réparabilité. Ils pâtissent alors aussi du choix d’autres fabricants dans le viseur des assureurs.
Voilà beaucoup de conviction critique étayé de quelques mots et d'un rapide calcul...
A chacun son positionnement politique. Moi je constate que toutes les fortunes deraisonnables que je connais sont dus a des retrocommissions, distorsions de concurrence, cadres legislatifs divers.... Pour ma part, je ne souhaite pas cette société ou des mecs qui magouillent pour creer des distorsions de concurrence s'en foutent plein les poches pendant que les autres galerent.
https://www.usinenouvelle.com/editorial ... y.N2212909Prologium annonce l’implantation d’un laboratoire de R&D à Paris Saclay
Au lendemain du sommet Choose France, le fabricant taïwanais de batteries Prologium a annoncé mardi 14 mai l’implantation de son futur centre de R&D à Paris Saclay, ainsi que la signature d’un protocole d'accord avec Schneider Electric pour préparer sa future gigafactory, qui doit voir le jour d’ici à 2027 dans le grand port de Dunkerque.
Pauline Bandelier 14 mai 2024
Représentation numérique de la future usine de Prologium à Dunkerque
Prologium va implanter son futur centre de R&D à Paris Saclay, a déclaré mardi 14 mai le fabricant taiwanais de batteries semi-solides au lendemain du sommet Choose France. «Nous avons choisi de nous implanter à Paris Saclay en raison du vivier de talents disponibles sur place», précise à L’Usine Nouvelle Bruce Wu, le président monde de Prologium.
https://www.connaissancedesenergies.org ... s-240517-0Le groupe Bolloré officialise son projet de "gigafactory" de batteries
AFP le 17 mai 2024
Le groupe Bolloré a officialisé, vendredi au cours d'une visite du ministre de l'Economie Bruno Le Maire, son projet de produire des batteries de nouvelle génération dans une "gigafactory" installée en Alsace à l'horizon 2030.
Cette gigafactory "est le symbole très fort de cette réindustrialisation française en marche", a déclaré M. Le Maire, à l'issue de la visite de l'usine de batteries Blue Solutions, près du siège du groupe à Ergué-Gabéric (Finistère).
Sur ce site breton, des activités de recherche et développement "avancées" et une première "ligne pilote" seront construites dès 2026, avec 230 emplois à la clef, a indiqué le ministre.
La "gigafactory" verra elle le jour dans l'agglomération de Mulhouse, en Alsace, où Blue Solutions "vise la création de près de 1.500 emplois d'ici 2032, avec un investissement global de plus de 2,2 milliards d'euros", selon un communiqué de presse.
Le ministère de l'Economie et la région Grand Est n'ont pas voulu communiquer le montant des aides publiques à ce projet de "cinquième gigafactory française", qui devrait représenter une capacité annuelle de production de 25 gigawattheures (GWh), "soit l'équivalent de 250.000 véhicules/an", selon ses promoteurs.
Pour l'usine pilote, la région Bretagne et la communauté d'agglomération Quimper Bretagne Occidentale débourseront "13 à 14 millions d'euros", a précisé le président de la région Loïg Chesnais-Girard (ex-PS).
"Nous nous mettons tous au travail pour faire de ce projet ambitieux une réussite éclatante", a lancé la vice-présidente de la région Grand Est Valérie Debord (LR).
"Au total, dans une filière qui n'existait pas il y a 5 ans - nous ne produisions pas une seule batterie électrique en France (...) -, nous allons recréer une nouvelle filière industrielle qui va représenter d'ici 10 ans 20.000 emplois industriels", a déclaré M. Le Maire.
Les batteries de Blue Solutions, dites de 4ème génération, sont des "batteries solides lithium-métal" censées offrir 40% d'autonomie supplémentaire "par rapport aux capacités maximales actuellement projetées sur les batteries lithium-ion", selon le communiqué.
"Nous sommes les seuls au monde à avoir industrialisé" la production de batteries solides "lithium-métal", a souligné vendredi Cyrille Bolloré, PDG du groupe Bolloré, vantant de nouvelles batteries rechargeables plus rapidement, avec plus de densité énergétique et moins d'autodécharge.
"Nous ne sommes qu'au tout début de la réindustrialisation", a assuré Bruno Le Maire, plaidant en faveur d'une simplification du droit minier et d'une meilleure protection de l'industrie européenne afin d'accélérer le processus.
"L'Europe doit montrer les dents. (...) Elle doit défendre ses intérêts économiques", a lancé le ministre, qui a longuement dénoncé "la faute économique, morale et politique" des "élites" qui portent "seules la responsabilité des délocalisations industrielles".
https://www.bfmtv.com/economie/entrepri ... 70394.htmlMais pour l’heure, "personne ne sait ce que cette technologie vaut car aucune voiture ne roule avec", estime un expert
https://www.connaissancedesenergies.org ... que-240524Batteries électriques: Verkor boucle le financement de sa "gigafactory" de Dunkerque
AFP le 24 mai 2024
La start-up Verkor, spécialisée dans les batteries électriques, a annoncé vendredi avoir décroché un prêt de 1,3 milliard d'euros, quelques mois après avoir levé plus de 2 milliards, afin de financer sa "gigafactory" à Dunkerque.
Dans un communiqué, l'entreprise indique avoir "sécurisé plus de 1,3 milliard d'euros de financement vert grâce au soutien de 16 banques commerciales et 3 banques publiques".
Les dirigeants ont signé l'accord de financement vendredi à Matignon, en présence du ministre de l'Industrie Roland Lescure.
"Ces montants seront directement alloués au financement de la construction de la première gigafactory de Verkor située à Dunkerque, dotée d'une capacité de production initiale de 16 GWh/an. Avec cette nouvelle transaction, le montant total de financements sécurisés par Verkor pour sa première gigafactory et le Verkor Innovation Centre culmine à plus de 3 milliards d'euros", est-il précisé.
"Ce financement bancaire permet de finaliser la construction de notre gigafactory, qui produira ses premières cellules de batteries bas-carbone en 2025" et "nous permet d'accélérer pour devenir l'un des leaders de la fabrication de batteries à l'échelle européenne", a déclaré Benoit Lemaignan, cofondateur et président de l'entreprise, cité dans le communiqué.
En septembre dernier, la start-up Verkor, fondée en 2020, avait annoncé qu'elle avait levé "plus de 2 milliards d'euros" pour financer l'installation de sa "gigafactory" de batteries.
"Située sur le territoire de Dunkerque, la gigafactory sera opérationnelle en 2025 et créera environ 1.200 emplois directs et 3.000 emplois indirects dans les deux prochaines années. Cette installation fait de Verkor un partenaire majeur des acteurs de la mobilité et du stockage stationnaire", selon le communiqué.
Verkor est présenté comme l'un des symboles de la réindustrialisation. Son usine dunkerquoise doit aider l'industrie automobile française à atteindre l'objectif de deux millions de voitures électriques produites en France en 2030, après de longues années de délocalisations.