Séquestration du CO2

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Equinor Gets Planning OK for UK Hydrogen, Carbon Capture Project

by Rocky Teodoro|Rigzone Staff|Friday, February 23, 2024

Equinor ASA’s planned hydrogen and carbon capture project has received planning permission from the East Riding of Yorkshire Council.

One of the key decarbonization projects in the United Kingdom (UK), H2H Saltend is a 600-megawatt (MW) low carbon hydrogen production plant with carbon capture. The project is “one of the first of its kind and scale to be granted planning permission in the UK”, Equinor said in a recent news release. H2H Saltend is expected to be operational around the end of the decade and will be located at the energy intensive Saltend Chemicals Park, to the east of Hull. The planning application was submitted to the East Riding of Yorkshire Council in July 2023.

Equinor is looking at applying for the UK government’s upcoming Cluster Sequencing Track-1 Expansion process for H2H Saltend. The government program is expected to launch this year and will select decarbonization projects in both the Humber and Teesside that can connect to the East Coast Cluster’s carbon capture transport and storage infrastructure by around 2030.

H2H Saltend is targeting to reduce the Saltend Chemical Park’s emissions by up to one-third by providing low carbon hydrogen to be used in chemical processes by both Saltend-based and other nearby companies, as well as directly replacing natural gas in several industrial facilities, reducing the carbon intensity of their products, according to the release.
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https://www.rigzone.com/news/equinor_ge ... 4-article/

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CO2 : pourquoi l'Allemagne change d'avis et autorise le stockage en mer
Le gouvernement va permettre aux industries très polluantes de stocker du dioxyde de carbone au large des côtes allemandes. Sans ce levier, Berlin estime qu'il lui sera impossible d'atteindre ses objectifs climatiques.
27 févr. 2024

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https://www.lesechos.fr/industrie-servi ... limatiques.

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Des bateaux vont transporter du CO2 français pour le stocker dans le sous-sol danois

AFP Libération 4 mars 2024

La France et le Danemark viennent de signer un accord bilatéral pour permettre à terme le transport et le stockage de CO2 issu de l’industrie française dans le sous-sol danois, a révélé le gouvernement français. «Roland Lescure a signé avec son homologue danois un accord bilatéral sur le transport transfrontalier de carbone à des fins de stockage géologique permanent entre la France et le Danemark», a indiqué lundi 4 mars à la presse le cabinet du ministre français de l’Industrie et de l’Energie, Roland Lescure.

L’annonce a été faite à Bruxelles en marge d’un conseil de l’énergie : la France, qui «n’a pas aujourd’hui de projet à très court terme de stockage de CO2 sur son territoire», selon le cabinet du ministre, va nouer un partenariat avec le Danemark. Comme elle l’a déjà fait avec la Norvège, elle vient de signer avec ce pays une «lettre d’intention», soit un outil «politique» qui indique une «volonté de travailler en commun» et de construire des partenariats entre les industriels des deux pays, tout en créant une instance permettant de faire de la «réservation de capacités» de stockage de CO2, a précisé la même source.

Capturé à la sortie des usines

Les technologies de captage et de stockage de CO2 visent à réduire la pollution générée par les industries pour lesquelles il n’existe aujourd’hui aucune alternative bas carbone, comme la production du ciment ou celle d’engrais. Capturé à la sortie des usines, le gaz à effet de serre est ensuite liquéfié et envoyé dans des stockages géologiques pour être séquestré à plusieurs kilomètres sous terre, dans d’anciens gisements pétroliers ou gaziers.

Le partenariat noué avec Copenhague va plus loin que celui conclu avec la Norvège : l’accord bilatéral signé par Paris permet en théorie, «dès cette année, éventuellement, d’exporter du CO2 de France vers le Danemark», en le transportant par bateau, au titre de la convention de Londres. Un texte qui encadre le transport de différents déchets, notamment les gaz industriels, par voie maritime.

«Plusieurs mégatonnes par an»

A terme, le gouvernement souhaite aller plus loin et «construire un réseau de partenariats européens» avec des Etats «qui disposent d’ores et déjà de ressources géologiques pour stocker du CO2 dans leurs sous-sols profonds», selon le ministère. D’autres accords semblables pourraient ainsi être scellés avec les Pays-Bas ou l’Italie.

Dans les prochains mois, la France présentera une «stratégie nationale de capture et de stockage de carbone». Celle-ci sera une manière de contribuer à l’engagement des Vingt-Sept de réduire collectivement de 55 % leurs émissions de gaz à effet de serre d’ici 2030 par rapport à 1990, pour atteindre la neutralité carbone en 2050.

Si, à très court terme, des navires transporteront le CO2 liquéfié, à long terme, lorsque les quantités atteindront, selon Bercy, «plusieurs mégatonnes par an entre la France et la mer du Nord, il sera plus économique de le faire par carboduc» (pipeline).

https://www.msn.com/fr-fr/actualite/mon ... 48eb&ei=25

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Norway Offers Two Blocks in North Sea for CO2 Storage

by Paul Anderson|Rigzone Staff | Friday, March 08, 2024

The Ministry of Energy in Norway has designated two areas in the North Sea for applications for carbon dioxide (CO2) storage projects.

“I am very pleased that several companies want storage areas for commercial storage of CO2 on the Norwegian continental shelf. We have developed a system that provides good access to promising areas. Today's announcement for applications is another step on the road towards making Norway a central arena for CO2 storage as an important climate measure for Europe”, said Minister of Energy Terje Aasland.

Awards of such areas are a prerequisite for large-scale carbon capture and storage, according to the ministry. The two areas announced by the ministry are a response to inquiries made by companies seeking one or more specific areas for CO2 injection and storage, it said.

“Succeeding with large-scale CO2 storage is important for the world to reach its climate goals. Such solutions are important to the Norwegian government. That is why we are facilitating commercial CO2 storage on our continental shelf. If we succeed, such activity will have the potential to reduce emissions in Europe, while creating new and valuable jobs in Norway”, said Aasland.

The ministry said that applications for storage permits can be filed by the deadline day on April 24, 2024. The permitting process is initiated with the application, once it is confirmed that the applicant has “a sufficiently good basis for applying”.

The ministry said that the Norwegian government is facilitating the socio-economically profitable storage of CO2 on the Norwegian continental shelf.

“Companies that have the necessary expertise and that have specific, industrial plans that entail a need for storage on a commercial basis can apply to the Ministry of Petroleum and Energy for a license adapted to the needs of the business”, the ministry said.

Furthermore, the government will conduct a predictable, efficient, and flexible process to award industrial players access to relevant storage options, it said.

https://www.rigzone.com/news/norway_off ... 1-article/

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Marché européen du captage et stockage du CO2 : des accords de transport et une grande étape

AFP le 18 avr. 2024

Norvège, Suède, Danemark, Pays-Bas et Suède ont conclu jeudi des protocoles pour le transport transfrontalier du CO2, nouvelle étape dans la mise en place d'un marché européen du captage et stockage du carbone (CCS).

Séquestration dans des réservoirs géologiques
Solution visant à enrayer le réchauffement climatique, la technologie du CCS consiste à capter les émissions de dioxyde de carbone à la sortie des cheminées d'usine et à séquestrer, après liquéfaction, ce carbone dans des réservoirs géologiques.

Une coopération est progressivement en train de se mettre en place en Europe pour faciliter cette technologie soutenue notamment par le Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (Giec) et l'Agence internationale de l'énergie (AIE).

Jeudi, le Danemark, les Pays-Bas, la Belgique et la Suède ont conclu chacun des protocoles d'accord pour le transport transfrontalier du CO2 avec la Norvège, considérée comme un potentiel cimetière de carbone grâce à ses anciens gisements d'hydrocarbures en mer. Le Danemark et la Suède ont fait de même entre eux.

Northern Lights en Norvège

"Cela supprime certains des obstacles sur le chemin d'un marché efficace du captage et stockage du carbone dans la région de la mer du Nord au sens large", a souligné le ministère norvégien de l'Energie dans un communiqué.

Plusieurs de ces pays étaient déjà liés par des accords bilatéraux dans le domaine du CCS.

En Norvège, le projet "Northern Lights" porté par les géants pétroliers Equinor, Shell et TotalEnergies, devrait réceptionner à compter de 2025 du CO2 en provenance d'installations industrielles ou énergétiques pour le stocker indéfiniment sous les fonds de la mer du Nord.

Ces échanges de nature commerciale aident les entreprises qui émettent beaucoup de CO2 à remplir leurs obligations climatiques mais le coût de mise en place du CCS reste encore dissuasif par rapport à l'achat, par exemple, de quotas d'émission.

Fin 2023, 40 entreprises commerciales dans le monde pratiquaient le CCS, captant un total de 45 millions de tonnes (Mt) de CO2, selon l'AIE. Soit environ 0,1% des émissions annuelles mondiales.

Pour atteindre l'objectif de zéro émission nette d'ici 2050, le CCS devrait empêcher 1,3 milliard de tonnes d'émissions de CO2 par an d'ici 2030, soit 30 fois plus qu'actuellement, estime l'agence.

https://www.connaissancedesenergies.org ... ape-240418

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suite de ce post du 10 sept 2021 http://www.oleocene.org/phpBB3/viewtopi ... 8#p2326258

La deuxième usine islandaise de captage de CO2 dans l'air mise en route

AFP le 08 mai 2024

Les ventilateurs moulinent: la deuxième usine islandaise de captage de CO2 dans l'air et stockage sous terre a été dévoilée mercredi par la start-up suisse Climeworks, qui décuple ainsi ses capacités et espère "éliminer" des millions de tonnes de ce gaz d'ici 2030.

Mammoth est située à quelques centaines de mètres de sa petite soeur, Orca, usine pionnière en service depuis septembre 2021, au milieu d'un champ de lave solidifiée recouverte de mousse, à une demi-heure de la capitale Reykjavik.

Entourés par des montagnes, douze conteneurs ont commencé ces derniers jours à ventiler de l'air pour en extraire le CO2 grâce à un procédé chimique, alimenté par la chaleur issue de la centrale géothermique voisine ON Power.

D'ici la fin de l'année, 72 unités seront installées autour de l'usine qui compresse ensuite le gaz et le dissout dans de l'eau avant de l'injecter sous terre.

A 700 mètres profondeur, au contact du basalte, roche volcanique poreuse riche en calcium et magnésium, le CO2 met environ deux ans à se minéraliser et est ainsi stocké durablement, selon un procédé mis au point par la société islandaise Carbfix.

Quelque 10.000 tonnes de CO2 étaient jusqu'ici captées puis stockées par an dans le monde, dont 4.000 par Orca et le reste principalement par des unités pilote expérimentales. Une fois pleinement opérationnelle, Mammoth permettra d'en absorber 36.000 tonnes par an.

"Nous sommes passés de quelques milligrammes de CO2 captés dans notre laboratoire il y a 15 ans à quelques kilos, puis des tonnes et des milliers de tonnes", se réjouit Jan Wurzbacher, fondateur et codirigeant de Climeworks. D'ici 2030, l'entreprise vise une capacité de plusieurs millions de tonnes et entrevoit le milliard pour 2050.

Une vingtaine d'autres projets développés par Climeworks et d'autres start-up devraient permettre d'atteindre les 10 millions de tonnes d'ici 2030. A comparer aux 40 milliards de tonnes émises l'année dernière dans le monde.

Ces usines énergivores se distinguent de celles qui captent le CO2, plus concentré, à la sortie d'infrastructures industrielles ou énergétiques mais aussi de celles qui réutilisent ce gaz au lieu de le stocker.

Pour chaque tonne de CO2 stockée, Climeworks peut ainsi générer un crédit carbone qui permet à ses clients (Lego, Microsoft, H&M, Swiss Re, JP Morgan Chase, Lufthansa...) de compenser leurs émissions de gaz à effet de serre.

Ces technologies sont reconnues par le Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (Giec) comme une solution pour éliminer du CO2 de l'atmosphère mais ne sont pas encore très intégrées aux scénarios de réductions des émissions tant leur développement, extrêmement couteux, est encore au stade embryonnaire avec des financements publics limités.

https://www.connaissancedesenergies.org ... ute-240508


https://www.newscientist.com/article/24 ... uadrupled/

[energy_isere]

suite du post au dessus.

un article avec des photos https://www.boursorama.com/actualite-ec ... 9058217e5f

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Climeworks est pionnier avec les deux premières usines au monde à avoir dépassé le stade de pilote pour un coût d'environ 1.000 dollars par tonne captée, que Jan Wurzbacher espère réduire à 300 dollars en 2030.
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ca reste d'un cout exorbitant à la tonne de CO2

[kercoz]

Il me semblerait normal de détaxer le bois d'oeuvre et les constructions en bois. Ils contribuent 2 fois à séquestrer du GES .

[mobar]

En pyrolysant le bois déchet en fin de vie en France, de l'ordre de 5 millions de tonnes chaque année, on est capable de stocker de l'ordre de 2 millions de tonnes carbone sous forme de charbon de bois qui une fois incorporé aux sols peut stocker le carbone pendant des milliers d'années

Et avec la valorisation des gaz de pyrolyse et le cout évité des volumes de déchets éliminés produit, l'opération pourrait même s'avérer rentable sans crédit carbone à la con!

[energy_isere]

Un accord franco-norvégien pour stocker du CO2 sous la mer du Nord

AFP le 17 juin 2024

L'opérateur français GRTgaz et la société énergétique norvégienne Equinor ont signé lundi un accord pour le développement d'un projet de transport et de stockage géologique de CO2 entre Dunkerque et le large de la Norvège.

"Ce projet vise à décarboner dès 2029 la zone industrialo-portuaire de Dunkerque et son territoire qui représente en France 20% des émissions de CO2 de l'industrie, soit plus de 16 millions de tonnes", ont-ils annoncé dans un communiqué.

Le CO2 sera capté dans les usines françaises avant de s'échapper dans l'atmosphère, puis sera transporté via une canalisation terrestre de 30 km et, une fois compressé, par une conduite offshore, jusqu'à des sites de stockage géologiques "sûrs et permanents sous le fond de la mer au large de la Norvège".

Capter et stocker le dioxyde de carbone permet d'éviter que ce gaz à effet de serre vienne augmenter la concentration de carbone dans l'atmosphère, et donc le réchauffement planétaire. De nombreux experts jugent la technologie nécessaire, à condition qu'elle ne soit pas utilisée comme un permis de continuer à polluer.

Le 25 avril, la France avait annoncé prévoir de tester dès début 2025 "quatre ou cinq projets de stockage de CO2" dans d'anciens gisements pétroliers sur son territoire. Le but: éviter les frais supplémentaires des stockages norvégien ou danois, qui coûteront plus cher.

La France reste tout de même associée à ces projets. L'Etat vise 20 millions de tonnes de CO2 stockées par an en 2050.

https://www.connaissancedesenergies.org ... ord-240617

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Equinor Bags 2 CO2 Storage Licenses in North Sea

by Rocky Teodoro|Rigzone Staff | Friday, June 21, 2024

The new licenses are each expected to have the capacity to store around 5 million tons of CO2 per year once operational.

Equinor ASA has been awarded licenses for the development of two new carbon dioxide (CO2) storage areas in the North Sea by the Norwegian Ministry of Energy.

Equinor was awarded 100 percent share in each of the two licenses, referred to as Albondigas and Kinno. The new licenses are important building blocks for developing the Norwegian Continental Shelf into a leading area for CO2 storage in Europe, the company said in a news release.

The new licenses are each expected to have the capacity to store around 5 million tons of CO2 per year once operational. The estimate will be further determined in the exploration phase, according to the release.

"We are very pleased to see the Norwegian authorities have made new CCS [carbon capture and storage] acreage available for exploration and that we have been awarded these two licenses,” Grete Tveit, senior vice president for Low Carbon Solutions at Equinor, said. “We see that demand for CO2 storage is increasing in several countries, and it is crucial to bring forward new CO2 storages quickly, so that we can offer industrial solutions that can support large scale decarbonization of hard-to-abate industries in Europe”.

Equinor said it expects a rate of four to eight percent real base project returns for its early phase CO2 storage business, and further value uplift potential when commercial markets are developed. The company added that it has ambitions to develop more storage licenses in the North Sea in the coming years.

Further, Equinor is maturing a ship-based solution as well as a large pipeline to connect industrial emissions in Europe with storage opportunities on the Norwegian Continental Shelf. The planned pipeline, named CO2 Highway Europe, will have capacity to transport 25 million to 35 million tons of CO2 per year from Belgium and France. The Smeaheia storage license, awarded to Equinor in 2022, is the anchor storage for this pipeline development and Albondigas and Kinno will be additional storage opportunities that can be connected, according to the release.

Equinor is also about to complete the first phase of the Northern Lights CO2 transport and storage facility together with Shell and Total Energies. It will be ready to receive CO2 by the second half of this year, it noted.

"[The] scale up of CO2 transport and storage is essential to meet the interest and demand for this type of services. Gaining access to more CO2 storage capacity aligns well with our ambition of having 30 to 50 million tons of CO2 transport and storage capacity per year by 2035," Tveit said.

Earlier in the week, Equinor and French gas transmission operator GRTgaz signed a project development agreement (PDA) for the planned CO2 Highway Europe pipeline project.

The project will help decarbonize the Dunkirk industrial area, which accounts for around 20 percent of France’s industrial CO2 emissions. GRTgaz will develop an 18.6-mile (30-kilometer) onshore pipeline network in the Dunkirk region and a compressor station in Dunkirk which will send CO2 into the offshore pipeline connecting to CO2 Highway Europe.

Equinor’s CO2 Highway Europe is a large-scale CO2 pipeline planned by Equinor which also connects Zeebrugge, Belgium to a portfolio of storage sites under the seabed offshore Norway, Equinor stated.

https://www.rigzone.com/news/wire/equin ... 7-article/

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Shell Makes FID on 2 Carbon Storage Projects in Alberta

by Rocky Teodoro|Rigzone Staff | Thursday, June 27, 2024

Shell plc subsidiary Shell Canada Products has made a final investment decision (FID) for Polaris, a carbon capture project at the Shell Energy and Chemicals Park, Scotford in Alberta, Canada.

Polaris is designed to capture approximately 650,000 metric tons of carbon dioxide (CO2) annually from the Shell-owned Scotford refinery and chemicals complex, the company said in a news release. Polaris, which is 100 percent owned by Shell, will have the potential to reduce Scope 1 CO2 emissions at the refinery by capturing and storing up to 40 percent and by up to 22 percent at the chemicals complex.

Additionally, Shell also announced an FID to proceed with the Atlas Carbon Storage Hub in partnership with ATCO EnPower. . The first phase of Atlas will provide permanent underground storage for CO2 captured by the Polaris project.

CO2 emissions captured by Polaris will be sent to the Atlas Hub via an approximately 13.7-mile (22-kilometer) pipeline to two storage wells. The CO2 will be stored approximately two kilometers underground in the Basal Cambrian Sands, the same formation used to successfully store CO2 from the Quest CCS facility.

Both projects are expected to begin operations toward the end of 2028.

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https://www.rigzone.com/news/shell_make ... 2-article/

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Heirloom to Build 320 Mtpa Carbon Capture Facilities in Louisiana

by Jov Onsat|Rigzone Staff | Monday, July 01, 2024

Heirloom Carbon Technologies Inc. has decided to build two direct air capture (DAC) facilities with a combined carbon dioxide (CO2) removal capacity of 320,000 metric tons per annum in the Port of Caddo-Bossier area, Louisiana.

“The first facility will begin construction later this year and – once operational starting in 2026 – will remove around 17,000 tonnes of CO2 annually”, said Heirloom, whose technology utilizes limestone CO2 absorption.

The second is under design as part of Project Cypress, a group of DAC projects by Heirloom, the Battelle Memorial Institute and Climeworks AG. Project Cypress is the Energy Department’s regional DAC hub in Louisiana, for which the federal government announced an investment of $50 million last March 27.

The Heirloom facility under the DOE’s regional DAC hubs funding program has a planned removal capacity of 300,000 metric tons a year. “The first phase of the project, which is expected to be operational in 2027, will be capable of removing 100,000 tonnes of CO2 per year”, Heirloom said. “Subsequent construction phases, subject to additional funding, progress through Hub program reviews, and negotiations, would triple the capture capacity”.
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https://www.rigzone.com/news/heirloom_t ... 5-article/

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Sam Altman-Backed Startup Scaling Technology to Store CO2 in Rocks

by Bloomberg|Michelle Ma | Monday, July 15, 2024

A type of rock found under every continent holds the potential key to permanently trapping planet-warming carbon dioxide under the Earth’s surface.

44.01, a startup backed by Sam Altman’s Apollo Projects, is developing technology that injects CO2 a kilometer underground, where chemical reactions turn it into stone. That type of technology will likely be crucial to limiting the worst effects of global warming.

In addition to being funded by Altman’s group, the Oman-based startup has raised a $37 million Series A round led by Equinor Ventures with Shorooq Partners in the United Arab Emirates to expand internationally. Other investors in the round include Amazon.com Inc.’s Climate Pledge Fund and Breakthrough Energy Ventures.

44.01’s storage process works by injecting a mixture of CO2 and water down a borehole and into cracks in peridotite, a naturally fractured rock. The rock sequesters CO2 through a process known as carbon mineralization, in which certain minerals react with the CO2 to create a solid carbonate.

Peridotite is normally found deep in the Earth’s interior, but in Oman, deposits are found near the surface. Those deposits have allowed scientists to observe peridotite carbon-sequestering abilities, providing a point of comparison for 44.01’s method. The startup’s technique helps speed the sequestration process by pumping carbonated water into the cracks of peridotite deep underground.

“Rather than taking decades as it would in nature, it’s taking us single-digit months in the subsurface,” said founder and Chief Executive Officer Talal Hasan.

Currently, two main methods exist to sequester CO2 permanently underground. Along with 44.01, Icelandic startup Carbfix is pursuing carbon mineralization. (In Carbfix’s case, the startup relies on basalt formations rather than peridotite.) The other technique is storing fluid CO2 — a phase known as “supercritical” — in porous rocks like saline aquifers or old oil and gas reservoirs. The latter is currently the dominant and more mature way to store the greenhouse gas, having been used by the oil and carbon capture industries for decades. However, it requires monitoring due to pressure build-up that can cause CO2 to leak back into the atmosphere.

Carbon mineralization costs up to three times more than supercritical storage. But it also has a major advantage: it “eliminates virtually all risk of CO2 leakage,” according to a 2022 BloombergNEF white paper on scaling carbon removal. Carbon mineralization has the potential to sequester many billions of tons of CO2, according to the paper. That storage space could be vital as reaching net-zero emissions will almost certainly require removing and storing billions of tons of CO2 annually by midcentury.

With this financing round, 44.01 — which derives its name from CO2’s molecular mass — is looking to commercialize its technology in Oman and the United Arab Emirates, where it has already completed pilot and demonstration projects, Hasan said. Tests have shown that it can currently store about 50 to 60 tons of CO2 per day, and 44.01 aims to sequester 100 tons of CO2 daily per injection borehole at commercial scale.

https://www.rigzone.com/news/wire/sam_a ... 9-article/

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Hynamics et Elyse energy s’engagent dans le projet de terminal GoCO2 du port de Nantes-Saint-Nazaire
Un an après son lancement, cinq entreprises se sont, à ce jour, engagées pour le développement de GoCO2 sur le terminal méthanier Elengy de Montoir-de-Bretagne à horizon 2030, permettant de lancer sa faisabilité.


Elengy et GRTgaz lancent les études de faisabilité pour la réalisation d’infrastructures du projet GoCO2 sur une partie des 73 hectares du terminal méthanier de Montoir-de-Bretagne, près de Saint-Nazaire. | VÉRONIQUE COUZINOU

Véronique COUZINOU. Publié le 18/07/2024 Le marin

Elengy et GRTgaz ont annoncé, jeudi 18 juillet, le lancement des études de faisabilité d’un hub de transport, liquéfaction et exportation de CO2 (CCUS) dans le grand ouest, soutenu par le grand port maritime de Nantes-Saint-Nazaire et la région Pays de la Loire.

Outre les partenaires historiques du projet, les industriels émetteurs de CO2 non évitable Heidelberg materials, Lafarge et Lhoist, les entreprises Hynamics (groupe EDF) et Elyse energy ont répondu aux appels à manifestation d’intérêt lancés par...
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