
On est bien barré !!!

Modérateurs : Rod, Modérateurs
C'est un bon résumé. J'ajoute : A plus grande échelle, et plus vite. Il ont fait en 30 ce qui grosso modo avait mis un siècle en europe.Patrik a écrit :Bref, ils reproduisent en plus rapide les mêmes conneries que le monde occidental, mais à plus grande échelle ?![]()
On est bien barré !!!
http://www.boursorama.com/infos/actuali ... f51d52bf3fChinalco investit 19,5 milliards de dollars dans Rio Tinto :
MELBOURNE (Reuters) - Le groupe public chinois Chinalco va apporter 19,5 milliards de dollars (15,1 milliards d'euros au géant minier Rio Tinto, garantissant ainsi un approvisionnement en matières premières à la Chine et permettant au groupe anglo-saxon de se décharger d'une partie de sa dette.
Rio vendra pour 12,3 milliards de dollars de participations à Chinalco en échange de participations au sein de neuf de ses mines et recevra 7,2 milliards de dollars par l'émission d'obligations convertibles, ce qui lui permettra de réduire son énorme dette.
......
Surveys show that 20 million migrant workers have lost their jobs in China’s coastal light manufacturing industries, and this raises the risk of social unrest, a senior government official has told the China Daily.
http://www.boursorama.com/international ... 413983102bLa Russie et la Chine signent un accord énergétique de 25 milliards de dollars :
La Russie et la Chine ont signé mardi un accord énergétique qui permet à Pékin de s'assurer un approvisionnement en pétrole pour les 20 prochaines années en échange de 25 milliards de prêts (près de 20 milliards d'euros) aux géants pétroliers russes.
L'accord signé à Pékin prévoit que la Banque de développement chinoise prête 15 milliards de dollars à Rosneft, le géant pétrolier russe, détenu par l'Etat, et 10 milliards de dollars à Transneft, le monopole des oléoducs également détenu par l'Etat. Des compagnies qui ont désespérément besoin de liquidités, Rosneft s'étant notamment lourdement endettée pour acquérir les avoir de l'ancien géant Ioukos démantelé par Moscou.
La Russie a promis en retour d'assurer un approvisionnement de 300.000 barils par jour pendant 20 ans à son voisin chinois.
Le vice-Premier ministre russe Igor Setchine dirigeait la délégation russe qui a signé à Pékin cet accord qui a paru plusieurs fois compromis en raison des désaccords des deux gouvernements sur les taux d'intérêts et les garanties de l'Etat pour l'approvisionnement en pétrole. AP
tiens, hillary clinton est d'accord avec toiPatrik a écrit :Bref, ils reproduisent en plus rapide les mêmes conneries que le monde occidental, mais à plus grande échelle ?![]()
On est bien barré !!!
si la Chine se met à vouloir réduire les émissions de CO2 et utilise comme outils le remplacement d'une grande partie de ses centrales à charbon par des cycles combinés à gaz naturel (deux fois moins de CO2 par kWh), ça change complètement l'équation des approvsionnements futurs en gaz!In China, Clinton Focuses on Climate Change
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REPRINTS
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By MARK LANDLER
Published: February 21, 2009
BEIJING — Declaring “we hope you won’t make the same mistakes we made,” Secretary of State Hillary Rodham Clinton invited China to join the United States in an ambitious effort to curb greenhouse gases, as she toured an energy-efficient power plant in Beijing on Saturday.
“When we were industrializing and growing, we didn’t know any better; neither did Europe,” Mrs. Clinton said. “Now we’re smart enough to figure out how to have the right kind of growth.”
The gas-fired power plant, which uses sophisticated turbines made by General Electric, is nearly twice as efficient as the coal-fired plants that supply much of China’s electricity, and helped vault China past the United States as the world’s leading emitter of carbon dioxide
La Chine va autoriser Hong Kong à faire des transactions en yuans :
AFP le 06/03/2009
La Chine va bientôt autoriser Hong Kong à utiliser le yuan pour les transactions commerciales avec les entreprises chinoises, a indiqué le gouverneur de la banque centrale chinoise, une initiative qui offrira au yuan une plus grande convertibilité.
"Il n'y aura plus d'obstacle majeur pour des transactions commerciales en yuan (avec Hong Kong)" a déclaré Zhou Xiaochuan, gouverneur de la Banque centrale, lors d'une conférence de presse en marge de l'Assemblée nationale populaire (ANP, Parlement).
Cette mesure "va être introduite sans heurts et ne prendra pas beaucoup de temps", a-t-il ajouté sans autres détail.
La Chine avait déjà annoncé en décembre son intention de permettre au yuan d'être utilisé pour les transactions avec Hong Kong, son principal partenaire commercial, puis à terme avec les 10 pays de l'ASEAN (Association des pays du sud-est asiatique).
Selon la presse, il s'agit d'une première étape vers la complète convertibilité du yuan, le but de Pékin.
Actuellement le yuan (ou reminbi, RMB) n'est pas convertible librement mais est accroché à un panier de devises à un taux décidé par les autorités de change chinoises.
En 2003, Hong Kong a autorisé en test des transactions en yuan pour les achats des touristes individuels.
L'utilisation du yuan pour le commerce avec Hong Kong doit doper le commerce bilatéral en accroissant la transparence du prix des produits et diminuer les frais de changes des entreprises, selon la presse.
Boursorama
Le Figaro a écrit :Face à des exportations en berne, Pékin mise sur la reprise de l'investissement.
L'atelier du monde semble plus que jamais s'essouffler. Les exportations chinoises ont baissé, en février, de 25,7 % sur un an. Les importations reculent de 24 % [Ca c'est en bonne partie du à la baisse du pitrole et d'autres matières premières je pense], mais moins fortement que les exportations. Conséquence directe : l'excédent commercial chinois gonflait seulement de 4,8 milliards de dollars, contre 39,1 milliards en janvier.
En pleine tenue de la grand-messe politique de l'Assemblée nationale populaire (ANP), les chiffres du commerce extérieur rappellent aux dirigeants l'impérieuse nécessité de relancer la demande intérieure. Avec plus d'un tiers de son PIB porté par les exportations, Pékin ne peut plus se reposer sur sa machine à produire pour assurer ses 8 % de croissance. Un seuil que le parti s'est fixé, et en deçà duquel il craint de voir l'instabilité sociale menacer le régime [Ils sont rigolos eux, faudra leur envoyer quelques posts d'oléocène sur la croissance exponentielle]. Vingt millions de travailleurs migrants seraient déjà au chômage, selon les données officielles. Officieusement, ils pourraient être 50 millions [bon, "officieusement", c'est juste comme source]. De quoi donner des sueurs froides aux cadres politiques du pays.
Le gouvernement chinois dispose d'une seule solution pour remplir son contrat : un rééquilibrage de la croissance. Relancer la demande intérieure est le principal objectif du plan à 450 milliards d'euros annoncé en novembre dernier. Les détails des dépenses continuent d'être distillés au compte-gouttes, mais ces milliards visent à soutenir en premier lieu les secteurs de la construction, de l'automobile ou encore de l'aéronautique.
Dépenses publiques
L'effort fourni par le gouvernement central, dont les dépenses ont grimpé de 40 % depuis le début de l'année, a fait bondir l'investissement en capital fixe le mois dernier, avec une hausse de 26,5 %. Les banques d'État sont également mises à contribution. Le montant des crédits accordés a atteint des records en janvier, avec 185 milliards d'euros. Au total, le gouvernement espère voir plus de 573 milliards de prêts accordés dans l'année. [Euh, ce genre de montée en puissance du crédit c'est pas ce qui a mené les Américains dans la crise actuelle? Bon, je dois voir le mal partout]
Les mesures prises par Pékin n'ont pas toujours la même efficacité. Certaines visaient à soutenir les exportations. Mais ni les réductions de taxes ni le maintien d'un yuan stable ne parviennent à compenser la contraction de la demande mondiale. Du coup, le ministre du commerce, Chen Deming, a annoncé la semaine dernière la mise en place d'une taxe zéro sur les produits qui partent à l'étranger.
http://french.peopledaily.com.cn/Economie/6633328.htmlLes transactions en yuans seront introduites dans cinq villes chinoises
Le Quotidien du peuple 09.04.2009
Cinq grandes villes commerciales ont obtenu le feu vert du gouvernement central pour utiliser le yuan dans les transactions commerciales avec l'étranger, ce qui est une étape de plus dans les mesures récentes de la Chine pour élargir l'utilisation de sa monnaie dans le monde.
Shanghai et quatre villes dans le delta de la rivière des Perles, à savoir Guangzhou, Shenzhen, Dongguan et Zhuhai, ont été choisies à cet effet, a annoncé le 8 avril le Conseil d'Etat présidé par le Premier ministre Wen Jiabao. Le delta de la rivière des Perles regroupe un ensemble d'entreprises orientées sur la fabrication pour l'exportation.
Cette mesure est destinée à réduire le risque de fluctuations du taux de change et de donner un coup de pouce au commerce extérieur en déclin, mentionne une déclaration affichée sur le site web du gouvernement.
Le continent chinois cherche à promouvoir l'utilisation du yuan parmi ses partenaires commerciaux et a signé au cours des quatre derniers mois des accords sur les échanges pour 650 milliards de yuans (95 milliards de dollars) avec l'Argentine, l'Indonésie, la Corée du Sud, la Malaisie, la Biélorussie et la Région administrative spéciale de Hong-kong. Ces accords leur permettent d'utiliser leurs réserves de yuans directement lors des transactions commerciales avec la Chine continentale dans une limite du volume commercial.
La Chine utilise maintenant le dollar américain pour régler la plupart de ses échanges internationaux, mais les fluctuations drastiques de la monnaie verte sont devenues un risque pour les exportateurs chinois ces dernières années.
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Un ouvrage nationaliste fait polémique en Chine
LE MONDE | 01.04.09 | 14h48 • Mis à jour le 01.04.09 | 14h48
SHANGHAÏ CORRESPONDANT
Affermie par son rôle de bailleur de fonds des Etats-Unis, la Chine arrive en position de force au sommet du G20 du 2 avril à Londres, aspirant à un nouveau rôle dans l'ordre mondial. Il est temps, car "la Chine n'est pas satisfaite", clament les auteurs du livre Zhongghuo bu gaoxing, sous-titré en anglais Unhappy China, un brûlot nationaliste paru en mars, dont la rhétorique agressive vis-à-vis de l'Occident, et envers tous ceux qui, à l'intérieur du pays, font preuve de "défaitisme", provoque de vives débats.
"Alors que la puissance nationale chinoise connaît une expansion sans précédent, la Chine doit arrêter de se dénigrer et reconnaître qu'elle a la capacité de guider le monde, et la nécessité de se soustraire à l'influence occidentale", expliquent les auteurs : Song Qiang, Huang Jisu, Song Xiaojun, Wang Xiaodong et Liu Yang. Tous appartiennent au monde des médias ou de l'édition. L'un d'eux, Song Qiang, avait contribué à un autre ouvrage collectif dans une veine similaire, La Chine qui peut dire non, publié en 1996, critiquant l'hégémonie américaine.
Unhappy China établit un diagnostique des maux qui rongent la Chine. Y est dénoncée toute une élite chinoise surmédiatisée dont les opinions seraient néfastes pour "la sauvegarde de l'esprit chinois". Sur le plan diplomatique, le mouvement de protestation au Tibet de mars 2008 serait "la preuve de la stratégie d'encerclement de la Chine par le monde occidental". Les auteurs proposent "d'incorporer dans nos stratégies diplomatiques le principe de punition, spécialement pour les relations franco-chinoises".
Ces arguments émergent régulièrement sur l'Internet chinois, sous la plume d'une partie des fen qing, les "jeunes en colère". Prêts à se mobiliser pour défendre l'honneur de la Chine, ils reflètent, pour certains, la ligne dure au sein du parti communiste. Pourtant, Unhappy China, qui s'est déjà vendu à plus de 100 000 exemplaires, est loin de faire l'unanimité. La presse officielle a contre-attaqué, mercredi, dénonçant les "vues extrémistes" du livre. "Au plus haut niveau, on veut signaler qu'on n'a rien à voir avec ces gens, que ce n'est pas l'image à donner de la Chine", décrypte un diplomate occidental.
EXCÈS RÉVOLUTIONNAIRES
Les auteurs s'opposent à un courant libéral qui tel le mouvement de protestation de la Charte 08 critique l'archaïsme chinois en matière de droits de l'homme et de démocratie. Les auteurs "font tout ce foin pour vendre et attirer l'attention, il y a beaucoup d'imposture dans le nationalisme en Chine qui a toujours été manipulé", nous dit l'écrivain et dissident Yu Jie, signataire de la Chartre 08. Unhappy China s'attaque ainsi au "mythe hypocrite et hideux" de l'écrivain culte Wang Xiaobo, mort en 1997, pourfendeur des excès de la Révolution culturelle. "L'opinion publique chinoise reste plutôt favorable au cosmopolitisme qui s'est épanoui dans les années 1980, estime Sebastian Veg, du Centre d'étude sur la Chine contemporaine, à Hongkong. Wang Xiaobo est un symbole de cette ouverture enthousiaste au monde après la fermeture durant la Révolution culturelle. C'est pour ça qu'ils s'en prennent à lui."
Brice Pedroletti
Article paru dans l'édition du 02.04.09
http://www.allgov.com/ViewNews/Unhappy_China_90406Unhappy China
Monday, April 06, 2009
A new bestselling book, Unhappy China, is stirring debate in China and alarm in the West because of its aggressive nationalism. Millions of web pages have sprung up to address the book since its release last month. In the book, five Chinese scholars assert China’s impending superiority as the world’s leader, advocate a hard line against their “enemies,” and express dissatisfaction with the West’s treatment of China.
The authors, Wang Xiaodong, Liu Yang, Song Qiang, Huang Jisu, and Song Xiaojun, denounce Western influences and specifically deride the United States for being “irresponsible, lazy, and greedy, and engaged in robbery and cheating.” They blame the United States for causing the current global recession. The authors urge the Chinese people to “conduct business with a sword in hand.” They call for the emergence of a group of heroes to “lead our people to successfully control and use more resources, ridding [the world of] of bullies and bringing peace to good people.”
Writing in Southern Metropolis Daily, Jing Kaixuan observes, “When I first heard about the book Unhappy China, I thought it was probably about how laid-off workers were unhappy, or about how peasants who had lost their land were unhappy. Maybe it was about how college graduates searching for work were unhappy, about how stock market investors were unhappy, or about how victims of the poisonous milk powder scandal were unhappy.” Instead, the authors of Unhappy China divert attention away from domestic ills and blame China’s problems on foreign enemies.
Net ralentissement de la croissance en Chine
La Tribune.fr - 16/04/2009
Sur les trois premiers mois de l'année, la croissance ressort à 6,1%, contre 10,6% un an plus tôt.
La croissance chinoise a continué de ralentir au premier trimestre, avec une hausse du produit intérieur brut de 6,1% sur un an, après 6,8% au dernier trimestre 2008, annonce ce jeudi le Bureau national des statistiques (BNS).
Sur les trois premiers mois de l'année 2008, l'économie avait progressé de 10,6% en glissement annuel. Mais elle a par la suite fortement décéléré, atteinte par la crise financière et économique internationale.
Sous l'effet des mesures prises par le gouvernement, qui a annoncé en novembre des investissements massifs, les investissements en capital fixe ont bondi au premier trimestre, de 28,6% dans les zones urbaines.
La production industrielle est, quant à elle, restée atone sur la période avec une petite hausse de 5,1% sur un an, contre 16,4% en glissement annuel sur la même période de 2008.
Enfin, l'indice des prix à la consommation en chine a, lui, baissé de 0,6% en glissement annuel au premier trimestre, alors que le pays, un an plus tôt, connaissait une forte inflation (jusqu'à 8%).
La Chine, reine de l'économie mondiale dès 2020 ?
24/04/2009 Le Figaro
Selon un analyste de la Deutsche Bank, le PIB de l'Empire du Milieu aura dépassé celui des Etats-Unis dans la prochaine décennie, grâce notamment au développement des secteurs énergétiques et de la technologie.
La domination économique de la Chine sur le reste du monde semble de plus en plus proche. Après le cabinet PricewaterhouseCoopers, qui estimait dans une étude de 2008 que la Chine deviendrait la première puissance mondiale en 2025, Jun Ma, économiste en chef de la Deutsche Bank à Hongkong, rapproche l'échéance. Selon lui, le PIB annuel du pays aura dépassé celui des Etats-Unis très probablement en 2020, soit dans un peu moins de onze ans. Selon l'analyste, la croissance de la Chine sera tirée vers le haut par la vigueur des marchés émergents, qui représenteront environ 70% de la croissance mondiale dans la prochaine décennie. Cette dynamique sera rendue possible par les «investissements massifs» que ce «dragon asiatique» va effectuer auprès de ces pays émergents, qui dans onze ans, n'auront d'émergents que le nom.
Renforcement progressif du Yuan
Selon Jun Ma, le dépassement du PIB américain par la Chine aura pour conséquence une «appréciation graduelle du Yuan», qui pourrait alors être considérée comme une nouvelle monnaie de réserve potentielle.
En attendant, la crise financière affecte également la croissance de l'actuelle troisième puissance économique, le FMI estimant que la Chine ne connaîtra «qu'une» croissance de 6,5% cette année, tandis que le PIB mondial reculera de 1,3%. Du coup, Jun Ma estime qu'il faudra attendre environ 18 mois avant que le pays ne connaisse un nouveau cycle de croissance vigoureuse depuis le début de la contraction économique, soit «à partir de la mi-2010».
Comme leviers de croissance, le pays pourra compter tout particulièrement sur le développement des énergies nucléaires et éoliennes, des télécommunications, de la construction navale, de la recherche médicale, ou encore des entreprises de commerce de détail.
Chine verte : l’intensité énergétique a baissé de 2,9% au premier trimestre 2009
mercredi 29 avril 2009
L’intensité énergétique de la Chine a baissé de 2,89% au premier trimestre 2009, a annoncé mardi le Bureau d’Etat des Statistiques (BES).
Selon le BES, le chiffre, qui indique la quantité d’énergie nécessaire pour constituer une unité de produit intérieur brut (PIB), se fonde sur une augmentation de 3,04% de la consommation énergétique et une croissance de 6,1% du PIB au premier trimestre.
"Ce chiffre montre que les efforts du gouvernement central visant à stimuler la croissance économique et à réduire la consommation énergétique sont efficaces", a indiqué un responsable du BES.
Les experts ont attribué la réduction à "un changement positif dans la structure économique du pays". Au premier trimestre, la proportion du secteur tertiaire dans le PIB a augmenté de 1,6 point de pourcentage, alors que celle du secteur secondaire a baissé de 1,9 point de pourcentage.
La croissance de la production des industries à haute consommation énergétique a baissé de 12,5 points de pourcentage en base annuelle.
L’intensité énergétique des grandes industries ont chuté, avec l’industrie de l’acier en baisse de 7,51%, les métaux non-ferreux en baisse de 16,58% ; et la production électrique en baisse de 10,17%.
Sources Xinhua
Ils sont fous ces chinois, comme aurait dit mon arrière^80-grand-pèreHubai, Chine - Des fonctionnaires de l'administration locale ont reçu l'ordre de fumer près d'un quart de million de paquets de cigarettes afin de relancer l'économie de la province.
Un décret, publié par les officiels de la province de Hubai, menace d'amende les fonctionnaires qui fumeraient des cigarettes produites dans les provinces voisines. Dans les écoles, des quotas d'enseignants fumeurs ont été publiés alors qu'un village a reçu l'ordre d'acheter 400 cartons de cigarettes pour ses employés. Cette réforme vise à améliorer les recettes fiscales de la région et à protéger les fabricants de tabac locaux de la concurrence créée par les 100 cigarettiers en Chine. Au total, ce sont près de 230 000 paquets que devront fumer les fonctionnaires pour la marque Hubei. Le gouvernement chinois compte ainsi faire face à la baisse des exportations chinoises à l'étranger en promouvant l'économie locale via la taxe sur les cigarettes.