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par mobar » 09 juil. 2024, 07:35
energy_isere a écrit : ↑25 mai 2024, 21:58
Bientôt des heures creuses solaires en France ?
Le tarif heures pleines/heures creuses existe en France depuis 1960. Il est bien ancré dans nos habitudes de consommations. Mais il pourrait bientôt évoluer. Avec l’apparition de nouveaux créneaux d’heures creuses « solaires » qui nous encourageraient à consommer lorsque les centrales photovoltaïques produisent le plus
Les opposants aux EnR et les suppôts du nuke vont bientôt nous inventer des tarifs de rachat négatifs pour la production du photovoltaïque lors des périodes ou le réseau n'est pas demandeur!

https://youtu.be/0pK01iKwb1U
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par energy_isere » 11 juil. 2024, 23:03
Énergies renouvelables : la France refuse toujours les objectifs de l'UE en plaidant pour son nucléaire
AFP le 11 juill. 2024
La France, en contentieux avec la Commission européenne pour son retard sur les énergies renouvelables, a envoyé à Bruxelles une stratégie climatique actualisée qui ne rehausse pas l'ambition sur l'éolien et le solaire autant qu'exigé, invoquant l'origine majoritairement décarbonée de son énergie, grâce au nucléaire.
La France persiste
La France mène depuis plusieurs années un bras de fer avec Bruxelles faute d'avoir atteint les objectifs fixés en 2009 de compter 23% d'énergies renouvelables dans sa consommation finale d'énergie en 2020.
Paris s'est encore fait épingler en décembre par la Commission pour avoir soumis un projet de "Plan national intégré énergie-climat" (Pniec) fixant un objectif de 33% de renouvelables d'ici 2030 au lieu des 44% exigés par une directive de 2018.
Six mois plus tard, la France persiste, selon la version actualisée du Pniec publiée mercredi par la Commission et consultée jeudi par l'AFP.
Elle garde les mêmes cibles de développement des renouvelables et préfère mettre en avant un objectif "décarboné", incluant donc le nucléaire, peu émetteur des gaz à effet de serre responsables du changement climatique.
La trajectoire prévue "permettra à la France d'atteindre 58% d'énergies décarbonées dans sa consommation finale d'énergie" en 2030, "ce qui contribue pleinement aux objectifs européens", se défend Paris.
Un objectif 2020 « atteint en 2024 »
Quant à l'objectif de 2020, il "sera atteint en 2024 et serait même dépassé de près d'un point", se félicite-t-on. "La France dispose d'un bouquet énergétique et électrique parmi les plus décarbonés de l'UE", se justifie-t-elle encore.
Pour cette raison, le gouvernement avait écrit à la Commission pour justifier son refus d'acheter "a posteriori (des) volumes de production d'énergies renouvelables à d'autres Etats", comme le prévoit la directive en cas de non-atteinte des objectifs.
La France prend ainsi le risque d'une procédure de sanctions par la Commission. Mais, profitant d'un retour en grâce du nucléaire, elle espère aussi rallier des Etats autour de son action pour remplacer les objectifs de renouvelables par des objectifs de décarbonation.
Globalement, "la France se fixe l'objectif d'une réduction brute de ses émissions de gaz à effet de serre d'au moins -50 % en 2030 par rapport à 1990", soit 270 millions de tonnes de CO2 équivalent (contre 373 MtCO2e en 2023), ajoute le Pniec actualisé.
Ce plan, que le gouvernement devait remettre à Bruxelles pour le 30 juin, n'est toutefois pas définitif car il compile trois documents stratégiques devant encore être mis en consultation publique: la programmation pluriannuelle de l'énergie (PPE), la 3e Stratégie nationale bas carbone (SNBC-3) et le 3e Plan national d'adaptation au changement climatique (PNACC-3). Mais le calendrier est désormais suspendu aux tractations politiques post-législatives.
https://www.connaissancedesenergies.org ... ire-240711
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par energy_isere » 26 juil. 2024, 20:19
Le montant du soutien financier aux énergies renouvelables revu à la hausse
Après deux années de recettes pour l’État, les énergies renouvelables vont de nouveau basculer du côté des dépenses. La Commission de régulation de l’énergie (Cre) évalue le montant du soutien à 4,2 milliards d’euros pour 2024 dont 240 millions pour l’éolien en mer.
Le montant des charges de service public de l’énergie devrait atteindre 240 millions d’euros pour l’éolien en mer en 2024, qui a vu la mise en service complète des parcs de Fécamp et de Saint-Brieuc. | ÉRIC HOURI
Loïc FABRÈGUES. Le marin 26 juillet 2024
L’État ne devra pas compter cette année sur les énergies renouvelables pour abonder son budget. Alors qu’elles y ont représenté des recettes à hauteur de 5,9 milliards d’euros au total en 2022 et 2023, elles s’inscriront dans la colonne des dépenses en 2024. La Commission de régulation de l’énergie (Cre) vient d’en estimer le montant à 4,2 milliards d’euros. Une somme très supérieure à ses prévisions. En juillet 2023, la Cre avait estimé que ces charges de service public de l’énergie (CSPE) s’élèveraient...
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par energy_isere » 02 oct. 2024, 19:21
La ministre de l'Energie Olga Givernet maintient les objectifs de développement de l'éolien
Olga Givernet, ministre déléguée chargée de l'énergie, a annoncé maintenir les objectifs de puissance installée dans l'éolien. Ce rythme est de 1,5 gigawatts (GW) supplémentaires par an dans l'éolien terrestre et de 45 GW mis en service en 2050 dans l'éolien en mer.
REUTERS 02 octobre 2024
Les objectifs restent les mêmes dans les éoliennes. Le gouvernement français compte maintenir le rythme actuel de développement de l'éolien terrestre avec 1,5 gigawatt (GW) de puissance installée supplémentaire par an, a déclaré Olga Givernet, ministre déléguée chargée de l'énergie. Elle s'est exprimée mercredi 2 octobre, lors d'une conférence organisée par l'organisation professionnelle France Renouvelables. La ministre a également déclaré que les décisions du nouvel exécutif seraient «fidèles» à l'objectif de la France d'atteindre 45 GW d'éolien en mer en service en 2050.
Elles incluront l'annonce dans les prochains jours d'une cartographie des «zones prioritaires» de développement de l'éolien en mer, suivie par un appel d'offres d'ici début 2025. Ces annonces confirment les projets du précédent gouvernement, dont le texte de programmation pluriannuelle de l'énergie (PPE) a été freiné par l'absence de majorité absolue à l'Assemblée nationale. Il était prévu à l'origine pour l'été 2023. Selon les versions successives présentées depuis la fin de l'année dernière, la PPE visait un maintien du rythme de développement de l'éolien terrestre à 1,5 GW par an, avec une «répartition plus équilibrée entre les territoires» et une capacité installée de 33 à 35 GW en 2030, contre 22 GW environ à fin 2023.
Développement conjoint du nucléaire et des énergies renouvelables
Lors de son discours de politique générale, mardi 1er octobre, le Premier ministre Michel Barnier a déclaré que le gouvernement comptait poursuivre «résolument» le développement du nucléaire, mais aussi des énergies renouvelables, tout «en mesurant mieux tous leurs impacts» - en particulier dans l'éolien - et que «les travaux de planification» reprendraient «immédiatement». Lors de la campagne des élections législatives, le Rassemblement national (RN) s'était engagé à «arrêter» les projets éoliens et à «démanteler progressivement» les parcs existants.
https://www.usinenouvelle.com/article/l ... n.N2219746
Marine Le Pen aidé de Jordan Bardella pourront toujours souffler sur les éoliennes terrestre pour essayer de les faires tomber.
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par energy_isere » 19 oct. 2024, 20:45
Éolien en mer: le gouvernement français publie sa feuille de route
Article de RFI 19 oct 2024
En France, le gouvernement veut poursuivre la décarbonation de la production d'énergie. Ce vendredi 18 octobre, plusieurs ministres étaient en déplacement à Fécamp en Normandie pour dévoiler leur feuille de route concernant l'éolien en mer, la « pièce maîtresse » de leur stratégie énergétique. A la clé, plusieurs annonces, notamment une carte des zones prioritaires de déploiement. Toutes les façades maritimes de l'Hexagone sont concernées.
Deux projets dans la Manche, un en Bretagne, un autre dans le golfe de Gascogne et un dernier dans le golfe du Lyon. Voilà où devraient s'installer les éoliennes en mer ces dix prochaines années et ainsi porter la production d'électricité nationale à 18 gigawatts (GW) en 2035 et 45 GW en 2050, contre 1,5 GW aujourd'hui.
Tous ces projets vont être soumis à un appel d'offre qui doit être lancé « dans les prochains mois » selon la ministre déléguée à l'Énergie, Olga Givernet. C'est le fameux « AO-10 », l'appel d'offre numéro 10, très attendu par la filière de l'éolien. « L'éolien en mer est une pièce maîtresse de notre stratégie énergétique, qui devra apporter 20% de notre production électrique en 2050 », a notamment déclaré Mme Givernet.
Débat public
Les arbitrages sont le résultat d'un débat public intitulé « La mer en débat » lancé en 2023. Ils doivent encore être affinés mais déjà le Syndicat des énergies renouvelables (SER) a réagi, saluant la volonté du gouvernement de soutenir l'éolien en mer. La filière représente aujourd'hui quelque 8 300 emplois, un chiffre qui devrait plus que doubler d'ici 10 ans.
La Ligue pour la protection des oiseaux (LPO), citée par l'AFP, s'est de son côté inquiétée de « l'insuffisante prise en compte des impacts écologiques potentiels » sur les aires marines protégées. « Les énergies renouvelables, dont l'éolien en mer, font partie du bouquet de solutions pour notre impérative transition énergétique, mais leur déploiement ne peut se faire à la hâte au détriment de la biodiversité », a ainsi déclaré Allain Bougrain Dubourg. Pour l'heure, trois parcs éoliens en mer sont en service dans l'Hexagone, trois sont en construction, deux ont été attribués et quatre procédures sont en cours, rappelle le ministère.
https://www.msn.com/fr-fr/actualite/fra ... 76d5&ei=71
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par energy_isere » 04 avr. 2025, 01:40
La production de gaz renouvelable progresse en France, malgré un ralentissement des nouvelles installations
AFP le 03 avril 2025
La production de gaz renouvelable en France, principalement par méthanisation, a augmenté de près de 30% en 2024 en dépit d'un net ralentissement des nouvelles installations, selon le 10e panorama des gaz renouvelables publié jeudi.
« Net ralentissement des mises en service »
La France a produit 11,6 térawattheures (TWh) de biométhane l'an dernier, pour 9,1 TWh en 2023 (+27%). C'est l'équivalent de la consommation d'énergie de 756 000 foyers ou 40 000 camions et bus, précise le rapport annuel de la filière (Syndicat des énergies renouvelables - SER -, Gaz et Territoires, GRDF, Natran et Teréga).
La production de gaz issu de la méthanisation de biodéchets (agricoles, ménagers, boues de stations d'épuration, stockage de déchets non dangereux) et injecté dans le réseau en 2024 représente 3,2% de la consommation française de gaz naturel.
Les acteurs notent toutefois "un net ralentissement des mises en service" : 79 nouvelles installations en 2024 (sur un total de 731), "un niveau équivalent à 2019" après 139 mises en service en 2023, 149 en 2022 et 151 en 2021.
Cela "résulte de la révision des tarifs d'achat en 2020, aggravée par les crises sanitaires et énergétiques successives", explique le document, qui prédit que "la tendance se prolongera en 2025".
L'objectif pour 2030 de la PPE salué par la filière, pas celui de 2035
Pour poursuivre son développement et contribuer à l'objectif de neutralité carbone en 2050, la filière souhaite continuer à bénéficier de soutiens publics, "en particulier pour les petits projets (inférieurs à 25 GWh par an)". Elle propose "que soient mis en place des dispositifs d'aides aux consommateurs de gaz renouvelables".
Les professionnels réclament aussi "un cadre dérogatoire" à la loi Zéro artificialisation nette (ZAN) "pour permettre l'implantation de nouveaux projets", alors que ce texte vise à freiner l'étalement urbain.
À plus long terme, "la filière salue l'objectif de 44 TWh de biométhane pour 2030" dans la feuille de route énergétique de la France, la programmation pluriannuelle de l'énergie (PPE) 2025-2035, étudiée au Parlement "dans les prochaines" semaines", selon François Bayrou.
Elle juge en revanche que l'objectif de 79 TWh pour 2035 "manque clairement d'ambition".
Le secteur regrette enfin que "le PPE n'intègre pas d'objectifs pour les technologies complémentaires de production de gaz renouvelable et bas-carbone" autres que la méthanisation.
https://www.connaissancedesenergies.org ... ons-250403
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par mobar » 04 avr. 2025, 07:44
Si le biogaz a le potentiel de remplacer 10% du flux de gaz naturel actuel, c'est un maximum
Pour remplacer le gaz naturel il va falloir chercher ailleurs, le substitut au gaz naturel disposant du plus important potentiel sera probablement l'hydrogène sous toutes les formes et dans une moindre mesure le gaz de synthèse issu de biomasse
https://youtu.be/0pK01iKwb1U
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par GillesH38 » 04 avr. 2025, 07:55
mobar a écrit : ↑04 avr. 2025, 07:44
Si le biogaz a le potentiel de remplacer 10% du flux de gaz naturel actuel, c'est un maximum
Pour remplacer le gaz naturel il va falloir chercher ailleurs, le substitut au gaz naturel disposant du plus important potentiel sera probablement l'hydrogène sous toutes les formes
et en plus, c'est pas cher

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par mobar » 04 avr. 2025, 08:00
A 190 euros le MWh de gaz naturel, il y a plein de substituts qui deviennent rentables
Le coût de production du biométhane se situe actuellement entre 90 et 100€/MWh PCS.
Selon l'ADEME
Du gaz renouvelable, mais à quel coût? Les différents scénarios estiment un montant total (production, stockage et utilisation) allant de 116 à 153 euros par MWh. Les différences s’expliquent notamment par “une sollicitation plus forte de la filière pyrogazéification qui a un coût de production plus faible que le power-to-gas”.
https://www.socialter.fr/article/un-gaz ... uel-prix-3
https://youtu.be/0pK01iKwb1U
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par GillesH38 » 04 avr. 2025, 09:20
je parlais de l'hydrogène (vert évidemment).
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par mobar » 04 avr. 2025, 11:57
l'hydrogène vert ne commencera a peser que quand les EnR auront remplacé l'électricité fossile ou fissile, peut être dans 200 ans!
https://youtu.be/0pK01iKwb1U
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par GillesH38 » 04 avr. 2025, 14:20
mobar a écrit : ↑04 avr. 2025, 11:57
l'hydrogène vert ne commencera a peser que quand les EnR auront remplacé l'électricité fossile ou fissile, peut être dans 200 ans!
et puis alors, ça sera pas cher, donc tout ira bien

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par mobar » 04 avr. 2025, 16:53
Quand la monnaie peut être imprimée par une banque, un état, des particuliers ou des ordinateurs la notion de cher devient très relative
https://youtu.be/0pK01iKwb1U
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par GillesH38 » 04 avr. 2025, 17:28
mobar a écrit : ↑04 avr. 2025, 16:53
Quand la monnaie peut être imprimée par une banque, un état, des particuliers ou des ordinateurs la notion de cher devient très relative
je pense que j'avais 10 ans quand j'ai commencé à comprendre pourquoi distribuer des billets à tout le monde n'allait pas rendre tout le monde riche, mais juste faire de l'inflation (parce que mon papa m'avait expliqué).
Apparemment il y en a qui n'ont pas encore atteint ce stade de compréhension

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par mobar » 04 avr. 2025, 17:32
eules trois catégories d'agent ont le pouvoir de création monétaire (même si la décision de création ne dépend pas uniquement d'eux) : les établissements de crédit, la Banque centrale et le Trésor public
Aucun des agents créateurs de la monnaie ne créent de richesse; si inflation il y a, c'est vers eux qu'il faut se tourner!
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