à leurs conditions de vie actuelles, sérieusement.Lorialet a écrit :Une dégradation, ça dépend par rapport à quoi.
Ne fais pas semblant de croire que ce sont les SDF actuels qui deviendront les paysans de demain
Modérateurs : Rod, Modérateurs
à leurs conditions de vie actuelles, sérieusement.Lorialet a écrit :Une dégradation, ça dépend par rapport à quoi.
C'est pour cela que j'indiquais plus haut la nécessité d'un dictateur éclairé (sic) pour mettre en pratique ces lois. Car, pour la majorité des gens (riches et pauvres confondus) les priver, par exemple, de téléphone portable ou de voitures c'est une régression de niveau de vie ou encore une atteinte insupportable à leur liberté. De même, comme le dit Mahiahi ci-dessus, ils ne considéreront pas que gratter la terre pour manger soit un progrès.Lorialet a écrit :Une dégradation, ça dépend par rapport à quoi.
Par rapport aux caissiers ? Aux manutentionnaires ? Aux chauffeurs ? Aux divers McJobs ?
Je pense que pour pas mal de monde savoir que son boulot ne sera pas à courte durée, et qu'il permettra de nourrir sa famille serais déjà une grosse amélioration.
Étonnement ériger des lois a déjà modifié complétement la réalité, souvent en faveur de ceux qui les crées d'ailleurs.
Nous sommes dans un système " à cliquets" ...sans marche arriere ...En espagne 20% de la population au chomage fume des pétards , en bas de leur immeuble et sont nourris par des "sans papiers" au 1/2 smig .....Ce sont leurs enfants , les enfants des immigrés qui repeupleront réenchanteront nos campagne. Il n'est que de voir les langues etrangeres necessaires pour discuter avec un plombier ou un maçon .mahiahi a écrit :à leurs conditions de vie actuelles, sérieusement.Lorialet a écrit :Une dégradation, ça dépend par rapport à quoi.
Ne fais pas semblant de croire que ce sont les SDF actuels qui deviendront les paysans de demain
Réponse :kercoz a écrit :J'ai tout lu .La pluspart des "outils" ne sont concevables que par des instances supranationales ...Alter Egaux a écrit :Faut tout lire, kercoz : le concept de Bello est décentralisé, puisque régionalisé.kercoz a écrit :on est là dans une démondialisation assistée a direction centralisée....
1. Locale et nationaleAlter Egaux a écrit :Les outils décrits par Bello pour y parvenir sont :
1- réforme de la propriété vers une économie mixte intégrant coopératives et entreprises privées et publiques, en opposition aux multinationales,
2- réforme des institutions internationales centralisées vers des institutions régionales baties sur le principes de coopération.
3- recherche des circuits industriels, agricoles et et productifs courts,
4- poser des conditions sanitaires, environnementales et sociales à l'importation des produits (par des normes, par exemple "objet recyclable"),
5- par système d'accord bilatéraux de commerce entre Etats, permettant, en échange de levée des barrières douanières contre le respect de conditions sociales et environnementales.
Ordonné au sens de la loi, ou au sens d'une dictature ?sceptique a écrit :En gros, la démondialisation sera ou ordonnée ou contrainte.
Alter Egaux a écrit : Les outils décrits par Bello pour y parvenir sont :
- réforme de la propriété vers une économie mixte intégrant coopératives et entreprises privées et publiques, en opposition aux multinationales,
mahiahi a écrit : Donc interventionnisme international (sinon, on ne peut que repousser "l'hydre" de chez soi)
Alter Egaux a écrit : - réforme des institutions internationales centralisées vers des institutions régionales baties sur le principes de coopération.
mahiahi a écrit : Et là, soit on se prive des moyens d'agir, soit on renonce à la coopération
Alter Egaux a écrit : - par système d'accord bilatéraux de commerce entre Etats, permettant, en échange de levée des barrières douanières contre le respect de conditions sociales et environnementales.
mahiahi a écrit : On retrouve les Bisounours à la Diplomatie
Ordonnée démocratiquement donc au sens de la loi me paraît être un programme politique impossible : annoncer à des gens qui estiment ne pas avoir assez que, en fait, ils vont avoir moins cela n'est pas facile !Alter Egaux a écrit :Ordonné au sens de la loi, ou au sens d'une dictature ?sceptique a écrit :En gros, la démondialisation sera ou ordonnée ou contrainte.
On parle du concept de démondialisation. J'ai cité les textes de l'OMC et du GATT permettant de ne pas se prendre des pénalités, validant au niveau international le concept.sceptique a écrit :Ordonnée démocratiquement donc au sens de la loi me paraît être un programme politique impossible
Tu es hors sol ou tu vis dans un paradis fiscal ? Que font actuellement les USA ? Ils font diminuer volontairement le niveau de vie des gens. Est ce une dictature ?sceptique a écrit :Par contre, avec une bonne dictature on arrive sans difficulté à diminuer le niveau de vie des gens.
On est dans le n'importe quoi!Alter Egaux a écrit : Tu es hors sol ou tu vis dans un paradis fiscal ? Que font actuellement les USA ? Ils font diminuer volontairement le niveau de vie des gens. Est ce une dictature ?
Et moins deux qui font trois. Le 28 novembre, en l’espace de quelques heures, l’armée française a perdu deux nouvelles positions sur le continent africain : le Sénégal, qu’elle n’avait plus quitté depuis deux cents ans et où elle comptait encore 350 hommes et femmes, et le Tchad, où elle était stationnée depuis plus de quarante ans. C’est dans ce dernier pays, dans lequel elle dispose à ce jour d’un millier de soldats, qu’elle a effectué le plus d’opérations extérieures (six depuis 1968). Lorsque les 1 350 militaires auront quitté ces deux États, la France n’aura plus que trois bases en Afrique — à Djibouti, en Côte d’Ivoire et au Gabon — et un peu moins de 2 000 soldats, contre 8 500 en 2022.
Le coup est rude pour la France, car ses dirigeants politiques et militaires subissent les événements depuis trois ans. Cette fois, les Français n’ont pas été chassés sous les invectives de milliers de manifestants brûlant des drapeaux bleu, blanc, rouge comme au Mali, au Burkina Faso et au Niger en 2022 et 2023. La retraite est sereinement imposée d’en haut. C’est en lisant la presse que Paris a appris la nouvelle concernant le Sénégal, à l’occasion d’entretiens accordés par le président Bassirou Diomaye Faye à des médias français. Si le départ des troupes françaises était l’une des principales revendications de la formation politique de ce dernier, le parti des Patriotes africains du Sénégal pour le travail, l’éthique et la fraternité (Pastef), à Paris les plus optimistes espéraient convaincre le nouveau régime de repousser l’échéance.
Pour ce qui est du Tchad, la décision, annoncée par le biais d’un simple communiqué, a fait l’effet d’une bombe alors que le ministre des affaires étrangères français de l’époque, M. Jean-Noël Barrot, venait tout juste de quitter N’Djamena. Au début, personne n’y a cru : ce pays a longtemps été considéré comme une place stratégique sur le continent africain — un « porte-avions idéal », selon les mots d’un haut gradé —, mais aussi comme un allié sûr, particulièrement