GillesH38 a écrit : ↑11 juin 2025, 05:33
pas compris ton point, tu veux dire qu'il n'y aurait pas eu de morts sans la puissance du 21e siècle ?
Si le covid est bien sorti d'un labo et de gains de fonctions, effectivement sans Fauci, Gates et consorts qui ont finance' les gains de fonction, puis ont finance' et fait distribue' les vaccins, les restrictions etc...., il y aurait eu 0 mort surnumeraire. Toutes les morts correspondent a des responsabilite's humaines et ne sont possibles que dans une société ou les experiences biologiques et le fichage electronique permettent la demesure.
Fauci avait par ailleurs deja sévi lors de la crise sida. On retrouve en ligne une video ou il terrorise les gens en expliquant que le sida peut se transmettre simplement en vivant dans la meme famille, par contact quotidien dans une fratrie, et il a fait distribuer l'azt particulierement toxique qui a aggrave' la situation de nombreuses personnes. Son mépris pour la vie humaine ne date pas d'aujourd'hui.
C'est la ou on voit le role de la projection psychologique. Il y a un groupe humain qui est responsable de 30 millions de morts, on a un recul historique permettant de voir des strategies de propagation de peur pour vendre des merdes au mepris des vies humaines, mais les projections psychologiques empechent de regarder ces elements factuels. Fauci est présenté comme un brave type alors que je pense que c'est un type qui merite la peine de mort pour l'ensemble de son oeuvre, sida et covide.
J'ai essaye' de trouver des appels clairs aux morts dans la litterature nazie. Je n'en ai pas trouvé. Il y en avait peut etre, mais s'il y en avait elles etaient rares. L'idee d'une industrialisation de la mort comme but des nazis, je n'y crois pas pour ma part. Je pense que le mecanisme est similaire a celui de la crise sanitaire : quelques personnes derangees mentalement en haut de la pyramide, qui ont un mepris pour la vie humaine, et la masse de gens derriere qui obeit pour que les trains arrivent a l'heure, avec une division des responsabilités qui fait que chacun participe a une folie sans avoir l'impression d'etre le moteur du train qui avance. Je pense que les mecanismes sont similaires.
On peut ecouter les discours de Gobbels et ceux qu'on entendait a l'epoque. Je suis peut etre tombé sur de mauvais discours, mais je n'ai pas entendu chez Goebbels les appels a la mort des bouc emissaires que j'ai entendus dans la crise sanitaire. J'ai lu une grande partie de Mein Kampf, et je n'ai pas trouve' non plus la violence de la crise sanitaire contre les boucs emissaires. C'est pour cela que je crois qu'il y a bcp de projection sur l'intentionalité nazie. Il me semble plus probable que ca s'est passe' comme la crise recente, avec des choses qui avancent dans un contexte ideologique de bouc-emisserisation et d'hallucinations collectives.
Cette these a laquelle j'adhere ( une intentionnalité molle des nazis, et une dynamique collective plutot qu'un affichage public d'extermination fortement piloté ) est compatible avec les discours que j'ai lus, mais aussi avec les questionnements post-guerre : est-ce que les allemands savaient ? La solution finale etait appelé "Reinstallation a l'est". Je pense que ce sont les memes mecanismes ici : est ce que les gens savaient pour les myocardites ou pour les pbs de fertilité ? Ben ca dépend, bien sur ceux qui voulaient savoir savaient, mais bien sur ceux qui voulaient ne pas voir pouvaient profiter d'un environnement mediatique permettant de ne pas voir ou de se mentir. Encore aujourd'hui, ceux qui veulent regarder YouTube et la prise de parole de Fauci sur la transmission du Sida le peuvent, ceux qui preferent regarder les medias mainstream et croire que son but est d'aider les gens le peuvent.
Finalement, le mal n'arrive jamais de facon frontale. Il arrive de facon cachée, et nous laisse la possibilité d'y adhérer ou de le rejeter. C'est la these du livre "La part du Diable" de Denis de Rougement et j'y adhère pleinement. Je pense que même dans l'horreur nazie, le mal avancait de facon cachée, et laissait a chacun la liberté d'y adhérer ou pas. Ce n'est pas le grand mouvement de haine generalisee qu'on nous presente a l'ecole. Ce serait trop facile d'y dire non.
La part du Diable, c'est l'idee que le Diable avance toujours de facon masquee, en se cachant dans d'infimes plis du bras plutot qu'en se montrant a decouvert. Ca me semble coller aux mecanismes humains que je constate sur ma propre psyché et sur celle des autres. Le mal est toujours fait au nom du bien. Le diable se présente sous les habits de Dieu et de l'Amour.