Il y a aussi le Tres Gros Vélo (le TGV), un moyen de transport encore plus futuriste qui pourrait commencer à se voir dans les années 2020...
ce système servirait la maille fine qui complète la maille trop grossière des moyens de transports à grande vitesse.
comme le seul moyen de faire de la maille fine est d'aller lentement mais partout, avec peu d'énergie, et que l'usage de la maille fine est quotidien, voici le vélotrain, pouvant se contenter de la seule énergie musculaire (ou sinon d'environ 3 à 4wh/km par passager d'énergie électrique)
Le vélotrain est l'idée de la fitnesscar (hybride électrique musculaire à possibilité de cardio-régulation d'effort) associée à la collectivisation.
Une des solutions pourraient être un système ressemblant au monorail du parc d'attraction néo-zélandais (discussion forum à
http://velorizontal.bbfr.net/velorizont ... -t7817.htm et vidéos ici
http://pourlaterre.free.fr/velotrain.html charger la vidéo, préciser format 16/9im à la lecture pour la voir non déformée)
http://fitnesscar.free.fr/fitnesscar_fi ... taire.html
Les cabines seraient individuelles (permettant une plus grande souplesse d'utilisation en toute heure mais sur des grandes distances elles se grouperaient par le simple fait que les plus rapides rattrapent les plus lents. Cela égaliserait les performances, mettant les utilisateurs à la même allure, mais les groupes iraient plus vite pour une même puissance moyenne pour la même raison qu'un peloton de cycliste roule 10km/h plus vite qu'un coureur isolé.
Quand les cabines se groupent, l'énergie électrique pourrait aussi être partagée: le système ferait cadeau d'énergies aux plus faiblement chargés: la fiablilité serait augmentée. Le fait de s'entraider a aussi une valeur éducative à l'opposée de ce qui se passe sur la route avec les voitures dans les bouchons.
La pratique du fitness devrait être connue comme gestion d'effort.
Cela est un obstacle qu'il faudra intégrer: l'homme moderne qui a grandi en voiture (les gens nés après 1970) n'ont pas appris à gérer l'effort: ils font le yoyo entre un effort qui est au dessus de la zone d'entraînement, puis récupèrent à cause de la fatigue et des déchets acides.
En gros ils font 80 à 90% puissance le tiers du temps, soit une production de l'ordre de 25 à 30% en moyenne, et le 100% reste équivalent à quelque chose comme 1.5 watts/kilos, donc sans gestion d'effort, une production moyenne de l'ordre de 0.5 watts par kilo avec en plus de la fatigue et peu de résultats.
En faisant du 70% en continu, on est facilement dans le domaine du 1 watts par kilos des le début, mais en plus, le 100% devient équivalent à 3 à 5 watts par kilos, disons 4, et 70% de 4 donnent 2.8 watts/kilos. L'enjeu de permettre l'entraînement à la puissance aérobie est donc TRÈS IMPORTANT car cela tendrait à multiplier par plus de 4 l'apport de l'énergie musculaire, et de plus, si les utilisateurs réguliers disposent d'un puissance sur poids représentant au moins la moitié de celle d'un coureur cycliste, ils peuvent intégrer dans leur vie tout ce qui était impossible: aller vite et loin en vélo, passer la tondeuse à rouleau sans moteur aussi vite qu'avec le modèle à moteur (il faut entre 100 et 150 watts avec une tondeuse à rouleau pour égaler une tondeuse de 4000 watts)... etc.
Les obstacles liés à l'environnement.
Nous aurons le problème de la chaleur qui limitera l'effort des plus endurants (les plus endurants chauffent le plus, ils chauffent 3 fois leur puissance mécanique, par exemple 12 watts/kilos pour fournir 3 watts par kilos mécanique et 9 watts par kilos de chaleur), mais alors, le soleil abonde et l'énergie peut être apportée par le soleil (réaliste car le système étant dimensionné pour l'énergie humaine, un panneau solaire de 150 watts = une personne qui pédale "normalement")
Au contraire, il n'y aura quasiment pas de problème de chauffage tout le reste de l'année. La chaleur du corps suffit. Chez les athlètes endurants, un effort restant possible sur une heure en continu, et reproduisible chaque jour permet de se sentir parfaitement bien en slip dans une salle à -6°, une faible circulation d'air permet de "tolérer" que la température monte vers 3° avant de... souffrir de la chaleur.
Entre les athlètes d'endurance et l'homme de la rue, voici les températures de confort qu'on obtiendra dans 3 situations: sans déplacement d'air, avec ventilateur ou un déplacement d'air de l'ordre de 10km/h, et en vélo.
j'ai étudié aussi cela en détail.
http://thevenet.jean.free.fr/journal/te ... _fort.html