kercoz a écrit :@ux éminents économistes.
Complètement nul ds ce domaine, j'ai qd meme une approche intuitive.
Le/les systèmes de gestion des échanges (l'économie) serait structurellement (math) pervers .
Cette perversité ne se réalisant a plein que récemment, en raison de la suppression du facteur "TEMPS" qui freinait l'emballement structurel du système.
Ds les systèmes asservis electriques , pour éviter les phénomènes instables ou de résonnance , on "freine" volontairement le système.
Les précédentes civilisations se sont toutes écroulées , mais apres un tres long temps du a ce frein (circulation ralenti des biens et des informations). Elles n'ont pu qd meme éviter l'ecroulement par l'épuisement/eloignement de leurs resources .
Bonjour Kercoz,
je pense que le rapprochement de l'emballement monétaire avec la cybernétique est tout à fait intéressant, et le "raccourcissement" du temps n'est pas toujours une bonne chose, bien au contraire.
Sans ressortir le théorème du point fixe, il me semble clair que l'accélération des processus informatiques ne serait intéressant que si l'on convergeait nécessairement vers un équilibre - ce qui n'a aucune raison d'être le cas.
Et, comme vous le signalez fort justement, même en supposant qu'il se réalise ainsi un équilibre "virtuel" dans la sphère financière (en supposant que les algorithmes utilisés sous diverses formes et par divers traders aient le bon goût de converger), cet "équilibre" n'aurait plus rien à voir avec un éventuel équilibre dans la sphère économique: les processus réels ont des constantes de temps fort différentes.
Bravo pour votre "intuition",
cordialement,
Bruno Lemaire
PS. Il n'existe pas de catégorie "éminents économistes", sauf, bien sûr, pour les éminences auto-proclamées
