Si le marché n'est pas si con que ça (vous savez le Dieu marché vénéré par l'écrasante majorité des gens), il se rendra rapidement compte que les 400 milliards que les états préteront, seront prétés par des pays européens dejà endettés. A la place de ce marché, spéculateur sans conscience, j'enfonce la Grèce, le Portugal et l'Espagne, les autres pays viennent les aider et plient sur le poids de leur propre dette comme la Grèce. Au final, peu importe si la Grèce est sauvée par ce beau plan, si c'est pour se faire la France 1 an plus tard

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Quel monde magique que celui des bourses....
Cette crise est de toute façon insurmontable. Nous avons un avantage sur le Dieu marché, la majorité des économistes et des politiciens, nous savons très bien que toutes ces problèmes de dettes ne seront rien à côté de ce qu'on va devoir faire pour faire face au pic de production.
Faut pour éliminer la dette, soit de la croissance avec de l'inflation, soit dévaluer et avoir de la croissance ensuite pour repartir
Ce sera donc dans l'ordre, espérer la croissance qui ne viendra plus vraiment et donc agraver les problèmes existant, sortir de fait, de la zone euro pour dévaluer, pour se rendre compte de la croissance ne vient de toute façon pas... --> A ce moment la case défaut de payement, révolution, guerre est la suivante!!
Avec l'état d'endettement actuel, le pic qui arrive maintenant (entre aujourd'hui et 2020), je m'étonne qu'aucuns gouvernements ne prennent les devants: ce qui signifie déclancher un vaste conflit régionnal au risque qu'il devienne mondial pour s'accaparer les ressources nécessaires à sa survie dans les 10 ans... Serions-nous tous devenu de gentils humains? L'histoire est pourtant bourrée de conflits déclanchés par anticipation! Exemple: Pearl Harbour...
C'est paradoxal: il n'y a jamais eu autant de facteurs physiques alarmants pouvant être source de conflit et on ne s'est jamais autant entraidés... Alors gentils humains ou effet du monde magique des bourses?
Les forêts précèdent les hommes, les déserts les suivent.