oui, mais 2012 moins que 2013 et paroxysme en 2014.rico a écrit :Forcément plus on va se rapprocher de 2012 plus les taches vont apparaître....
Tu tiendra bien jusqu' en 2014 Rico ?
d' aprés la source de Williams :

Modérateurs : Rod, Modérateurs
oui, mais 2012 moins que 2013 et paroxysme en 2014.rico a écrit :Forcément plus on va se rapprocher de 2012 plus les taches vont apparaître....
Merci de ce lien vers cette source passionnante, très crédible et vraiment très sérieuse. Une grande avancée pour la science et la société que ce site web qui sert depuis 5 ans de référence quasi-unique sur internet pour propager connerie après connerie sur le réchauffement.williams a écrit : Voir de nouvelles infos sur Pensée Unique : http://www.pensee-unique.eu/froid.html#penn
Williams
Lire tout l' article de la BBC dans : http://www.bbc.co.uk/news/science-environment-11480916....
One of the more recent satellites studying the Sun is the Solar Radiation and Climate Experiment (Sorce), launched by Nasa in 2003, with data collected and collated at the University of Colorado in Boulder, US.
Instruments on board the satellite provide readings of how the Sun's total energy output is changing, and breaks that down into various components across the spectrum from infrared through visible light into the ultraviolet.
The first years of readings from Sorce, covering 2004-2007, co-incided with the waning phase of the last solar cycle.
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Gilles, je pense que ca rejoint complétement ton post un peu au dessus.Solar surprise for climate issueBy Richard Black
Environment correspondent, BBC News 06 Octobre 2010
c'est ce que je dis dans mon commentaire : ce n'est pas forcément l'irradiance dans le visible qui a le role principal ! si la variation n'est pas due principalement à la variation du bilan énergétique total, mais à des effets plus subtils dus à la composante de haute énergie, cosmique ou UV, qui agissent sur l'ionisation de l'atmosphère (c'était l'hypothèse de Svensmark sur les nuages), alors la corrélation pourrait etre la bonne, mais pas due à la TSI (et en particulier on ne peut pas calculer un forçage juste avec la variation d'intensité).parisse a écrit :Complètement d'accord avec Angelus68, avant de remettre tout en question sur l'irradiance solaire sur la base de cet article, il faudrait quand même aussi chercher une explication sur le PAG pendant le minimum de Maunder qui aurait du selon cet article faire augmenter la T (toutes choses égales par ailleurs).
Pourquoi pas après tout, mais si ma mémoire est bonne, l'hypothèse de Svensmark a été bien remise en question. Ce qui importe au final, même si on ne comprend pas tous les mécanismes, c'est d'avoir une idée quantitative du forçage possible de l'activité solaire. Je ne pense pas que ça remette en cause environ 0.1 degré (pour max/min d'un cycle solaire), ni un peu plus (0.3 ou 0.4 degré) pour un minimum de Maunder.GillesH38 a écrit : c'est ce que je dis dans mon commentaire : ce n'est pas forcément l'irradiance dans le visible qui a le role principal ! si la variation n'est pas due principalement à la variation du bilan énergétique total, mais à des effets plus subtils dus à la composante de haute énergie, cosmique ou UV, qui agissent sur l'ionisation de l'atmosphère (c'était l'hypothèse de Svensmark sur les nuages), alors la corrélation pourrait etre la bonne, mais pas due à la TSI (et en particulier on ne peut pas calculer un forçage juste avec la variation d'intensité).
Comme tu dis c'est pas un hazard car ce fut de même pour le minimum de Dalton, de Sporer, Wolf...Angelus68 a écrit :Je suis d'accord avec vous, mais a mon avis c'est pas un énorme hasard que le Petit Age Glaciaire soit tomber en plein dans les dates du minimum de Maunder! Si c'était un hasard, c'est vraiment très gros alors..
Il y a un article là-dessus sur le blog de meteor:GillesH38 a écrit :je ne me rappelle pas avoir vu une étude claire montrant une variation de 0.1°C avec le cycle solaire. de toutes façons, ces composantes cycliques peuvent induire des réponses linéaires, mais déphasées (comme par exemple la marée est déphasée avec la position de la lune), et en plus, l'amplitude de la réponse dépend en général de la composante fréquentielle.
http://www.lefigaro.fr/sciences/2011/02 ... soleil.phpPremière vue intégrale du Soleil
07/02/2011 Le Figaro
+ VIDÉOS
Deux satellites envoyés par la Nasa en 2006 ont atteint dimanche deux points situés de part et d'autre de notre étoile. Les images qu'ils ont envoyées ont permis de reconstruire la surface complète de l'astre.
Les scientifiques peuvent désormais surveiller toute la surface du Soleil. A tout moment, et pendant les huit prochaines années, ils pourront savoir ce qui se passe de l'autre côté de notre étoile. La prouesse n'est possible que depuis dimanche. Des photos prises simultanément depuis deux points diamétralement opposés ont permis de reconstituer pour la première fois une image complète de la surface solaire à un moment précis.
Ces images ont été prises par deux satellites de la mission STEREO (Solar TErrestrial RElations Observatory) de la Nasa. Envoyés dans l'espace en 2006 dans deux directions opposées du système solaire, ils étaient situés dimanche de part et d'autre de l'astre. Dans les vidéos suivantes, la Terre et le Soleil sont fixes, les points rouge et bleu représentent les satellites STEREO. Les trajectoires relatives de Mercure et Vénus ont également été représentées.
Durant les huit prochaines années, ces satellites vont poursuivre leur course autour de notre étoile pour se rejoindre en 2015 derrière le Soleil et revenir peu à peu vers la Terre. Pendant tout ce temps, les scientifiques pourront combiner les images qu'ils reçoivent avec des photos prises par le Solar dynamic observatory situé en orbite autour de la Terre. Les astrophysiciens disposeront ainsi à tout moment d'une image à 360° du Soleil.
A l'issue de cette période, l'ensemble des données recueillies aura certainement permis de vérifier et d'affiner les modélisations de la dynamique des couches superficielles de notre étoile. Les astrophysiciens essayent en effet de prévoir ce qui se passe à tout moment sur sa face cachée. Le Soleil effectue un tour complet sur lui-même en approximativement 26 jours. Il s'agira donc, dans le futur, de prévoir ce qui se passe sur la face cachée sans avoir à l'observer.
A terme, ces travaux permettront de mieux anticiper les éruptions solaires qui peuvent être dévastatrices pour les satellites et certaines infrastructures électriques. Si l'activité solaire a été très ralentie ces cinq dernières années, notre étoile sort peu à peu de sa torpeur depuis fin 2010. Le besoin de surveillance se fait, pour cette raison, de plus en plus prégnant.