Sauf que l'Irak produit une grosse partie pour les USA.energy_isere a écrit :Il y a pas besoin. L' IRAN vend normalement son pétrole.
Et si l'Iran fait comme l'Arabie Saoudite, en diminuant ses exportations, rien ne vaut une "bonne guerre".

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Sauf que l'Irak produit une grosse partie pour les USA.energy_isere a écrit :Il y a pas besoin. L' IRAN vend normalement son pétrole.
Sauf que l'Irak produit une grosse partie pour les USAAlter Egaux a écrit :Sauf que l'Irak produit une grosse partie pour les USA.energy_isere a écrit :Il y a pas besoin. L' IRAN vend normalement son pétrole.
Et si l'Iran fait comme l'Arabie Saoudite, en diminuant ses exportations, rien ne vaut une "bonne guerre".
L' IRAN à 60 millions d'habitants contrairement à l'IRAK, et une économie beaucoup plus developpée. C' est evident que l' autoconsommation de l' Iran en pétrole va aller en augmentant.Alter Egaux a écrit :Sauf que l'Irak produit une grosse partie pour les USA.energy_isere a écrit :Il y a pas besoin. L' IRAN vend normalement son pétrole.
Et si l'Iran fait comme l'Arabie Saoudite, en diminuant ses exportations, rien ne vaut une "bonne guerre".
J' attends avec impatience car , je connais par ailleurs la réponse pour les exports pétrolier Irakiens de 2009 vers les US .energy_isere a écrit :Sauf que l'Irak produit une grosse partie pour les USAAlter Egaux a écrit :Sauf que l'Irak produit une grosse partie pour les USA.energy_isere a écrit :Il y a pas besoin. L' IRAN vend normalement son pétrole.
Et si l'Iran fait comme l'Arabie Saoudite, en diminuant ses exportations, rien ne vaut une "bonne guerre".
Peux tu argumenter cela ?.......
euh, vu ce qu'il ditenergy_isere a écrit :J' ai lu l' article. Je constate qu' il manque la mise sur le marché export des nouvelles capacités de production de l' IRAK entre maintenant et les 5 ans à venir.akochan a écrit :Une réflexion du pourquoi le pétrole monte sur 24h gold .
http://www.24hgold.com/francais/actuali ... d+Kunstler.
Pour eux ce n'est pas la spéculation mais bien la raréfaction des ressources.
Je parle de la production irakienne en direction des USA.energy_isere a écrit :Je te rapelle que sur les appels d' offres de l' an passé de developpement des champs pétrolier les USA n' ont quasimement rien remporté. Voir le fil spécifique.
Ce qui importe pour l' IRAK c' est pas la part de la production Irakienne actuelle qui va aux USA, masi bien que part ira aux USA quand ca se sera développe significativement dans les 5 prochaines années.
J' attend avec impatience le résultat de ta recherche.Alter Egaux a écrit :Je parle de la production irakienne en direction des USA.energy_isere a écrit :Je te rapelle que sur les appels d' offres de l' an passé de developpement des champs pétrolier les USA n' ont quasimement rien remporté. Voir le fil spécifique.
Ce qui importe pour l' IRAK c' est pas la part de la production Irakienne actuelle qui va aux USA, masi bien que part ira aux USA quand ca se sera développe significativement dans les 5 prochaines années.
Petit rappel : Voici ce que la production irakienne prévoyait en 2003.energy_isere a écrit :J' attend avec impatience le résultat de ta recherche.Alter Egaux a écrit :Je parle de la production irakienne en direction des USA.energy_isere a écrit :Je te rapelle que sur les appels d' offres de l' an passé de developpement des champs pétrolier les USA n' ont quasimement rien remporté. Voir le fil spécifique.
Ce qui importe pour l' IRAK c' est pas la part de la production Irakienne actuelle qui va aux USA, masi bien que part ira aux USA quand ca se sera développe significativement dans les 5 prochaines années.
http://indices.usinenouvelle.com/energi ... u-wti.3534Trop de WTI pèse sur le cours du WTI
Usine Nouvelle 11 Fev 2011
L’afflux de pétrole du Dakota, en attendant l’arrivée de pétrole canadien supplémentaire, affaiblit la cotation du WTI et pousse son écart avec celle du Brent vers de nouveaux records.
Alors que le cours du baril de Brent se maintient au-dessus du très symbolique seuil des 100 dollars, celui du WTI est redescendu sensiblement en-dessous des 90 dollars. Lors de la séance du 10 février sur le Nymex, l’écart entre les cours des deux bruts a même dépassé les 16 dollars, établissant un nouveau record. Le très haut niveau des stocks de pétrole à Cushing (faire lien avec article précédent) pèse toujours plus sur le WTI. « Un écart de deux ou trois dollars en faveur du pétrole de la Mer du Nord est traditionnel à cette période de l’année lorsque plusieurs raffineries alimentées par le pétrole de Cushing arrêtent leur activité pour maintenance », nous a expliqué un analyste de la SG.
Le doublement en deux ans de la production pétrolière du Dakota du Nord – devenu le quatrième Etat producteur des Etats-Unis –, ainsi que la progressive arrivée de pétrole canadien, a fait grimper les réserves de Cushing vers ses limites, alors même que celles-ci ont été élargies en 2010. Mais ce qui pèse le plus sur les cours du WTI est le prochain achèvement d’un pipeline qui va transporter un million de barils supplémentaire par semaine en provenance du Canada. Les raffineries proches étant incapables d’augmenter leur consommation de brut, deux oléoducs d’un million de baril par semaine de capacité vont être construits ; ils achemineront le pétrole vers le Golfe du Mexique où il pourra être raffiné au Texas, voire en Louisiane. Leur construction de devrait pas être achevée avant fin 2012/mi-2013. Cependant le remplissage du tuyau, qui devrait requérir 20 à 30 millions de barils a calculé l’analyste, réduira les stocks de Cushing dès mi-2012.
L’écart grandissant ne devrait pas avoir de conséquence immédiate pour le WTI, qui est toujours le contrat sur le pétrole le plus liquide et le plus traité. Les rééquilibrages entre les différentes matières des grands indices de référence (SPGSCI, DLBCI, DJ-UBSCI…), qui reçoivent une part importante des investissements sur les matières premières, ont été effectués en début d’année et leur composition restera stable pour l’année 2011. La réduction des investissements sur le WTI sera un processus très lent. Les entreprises qui se couvraient en utilisant des contrats WTI peuvent cependant perdre des sommes conséquentes. Le Louisiana Sweet, une qualité de brut proche du WTI, cote ainsi plus cher que le Brent.
Utiliser le Brent, dont la liquidité est limitée, peut être également compliqué. Même si d’autres qualités équivalentes ajoutent à ses volumes disponibles, son envol a été en partie provoqué par un accident sur le Rhin qui a immobilisé des centaines de bards transportant du pétrole. L’activité d’une plate-forme d’extraction en Mer du Nord vient également d’être arrêtée ; elle avait perdu le coussin de protection qui empêche les tankers de l’endommager. Les 20 à 30 000 barils/jour retirés à l’offre ont encore poussé les cours du Brent à la hausse, l’entraînant au-dessus du brut de Louisiane.
http://www.boursorama.com/infos/actuali ... a6eddf1cf2Pétrole : le baril finit à 85 dollars à New York après le départ de Moubarak
AFP le 11/02/2011 à 21:44
Les prix du pétrole ont nettement reculé vendredi à New York, après l'annonce du départ du président égyptien Hosni Moubarak, mais ils sont restés en légère hausse à Londres, signe de la prudence des opérateurs.
Sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de "light sweet crude" pour livraison en mars a terminé à 85,58 dollars, en recul de 1,15 dollar par rapport à la veille.
Mais, à Londres, sur l'IntercontinentalExchange, le baril de Brent de la mer du Nord à échéance identique a gagné 56 cents à 101,43 dollars.
Les cours ont décroché à New York "à la suite de la démission du président Moubarak", a expliqué Andy Lipow, de Lipow Oil Associates.
"En Europe, les gens attendent de voir comment la situation va évoluer en Egypte dans les semaines à venir", a ajouté l'analyste, relevant que le Vieux Continent était plus exposé aux approvisionnements en hydrocarbures en provenance du Proche-Orient.
L'Egypte contrôle deux routes stratégiques pour l'acheminement du pétrole des pays du Golfe: le canal de Suez et l'oléoduc Suez-Méditerranée (Sumed).
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Les cours à New York restent par ailleurs plombés par l'abondance des stocks de brut à New York.
Le terminal de Cushing (Oklahoma, sud), premier centre de stockage du pays, est proche de la saturation, une situation qui ne devrait pas s'arranger à court terme alors qu'un nouvel oléoduc a été mis en service mardi pour l'approvisionner, a relevé Andy Lipow.
Cet oléoduc, opéré par le groupe pétrolier TransCanada, permet d'acheminer le brut canadien vers Cushing. Il est intégré dans le réseau d'oléoducs Keystone, dont la capacité totale atteint 591.000 barils par jour.